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Histoire de la pensée médicale en Occident, 4. Histoire de la pensée médicale contemporaine / Rachel A. Ankeny
Titre de série : Histoire de la pensée médicale en Occident, 4 Titre : Histoire de la pensée médicale contemporaine : évolutions, découvertes, controverses Type de document : texte imprimé Auteurs : Rachel A. Ankeny, Auteur ; Giovanni Berlinguer (1924-....), Auteur ; Alberto Cambrosio (1950-....), Auteur Editeur : Paris : Éd. du Seuil Année de publication : DL 2014, cop. 2014 Collection : Science ouverte, ISSN 0768-1607 Importance : 1 vol. (531 p.) Présentation : couv. ill. en noir et blanc Format : 22 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-02-096744-0 Catégories : Enseignements - Communications:Références
Médecine:Exercice de la médecine
Société et éthique:Dimension sociale:HistoireMots-clés : "Médecine--Europe" "Médecine--Recherche" "Philosophie_médicale--histoire" "Histoire_de_la_médecine" "Histoire_du_20ème_siècle" Résumé : .
Cet ouvrage s’inscrit dans le fil du travail collectif entrepris en 1995, l’ Histoire de la pensée médicale en Occident (trois volumes sous la direction de Mirko D. Grmek, Seuil, 1995, 1997, 1999). Il rend compte du déploiement des recherches pluridisciplinaires et transdisciplinaires de la pensée médicale et aborde les discussions et controverses actuelles sur les politiques de santé. Du fait du développement des connaissances théoriques et des innovations techniques, la notion même de soin, sous ses aspects sociaux, économiques, mais aussi épistémiques, se trouve questionnée. La pensée médicale ne saurait se limiter aux données biologiques, et ses composantes spécifiquement humaines et sociales sont explorées et interrogées ici dans une perspective historique qui tient compte des découvertes du dernier siècle.
Bernardino Fantini est professeur honoraire d’Histoire de la médecine et de la santé à la faculté de médecine de l’université de Genève et directeur du Centre collaborateur OMS pour la recherche historique en santé publique. Il travaille notamment sur l’histoire des maladies transmissibles et l’analyse philosophique et historique des idées biologiques et médicales.
Louise L. Lambrichs est écrivain, chercheuse associée au Centre de recherche psychanalyse, médecine et société (CRPMS). Elle a publié divers essais ayant trait à la pensée médicale à partir de la fin du XIXe siècle et à la spécificité de la démarche psychanalytique dans le cadre de la prise en charge des malades.Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6695 Histoire de la pensée médicale en Occident, 4. Histoire de la pensée médicale contemporaine : évolutions, découvertes, controverses [texte imprimé] / Rachel A. Ankeny, Auteur ; Giovanni Berlinguer (1924-....), Auteur ; Alberto Cambrosio (1950-....), Auteur . - Paris : Éd. du Seuil, DL 2014, cop. 2014 . - 1 vol. (531 p.) : couv. ill. en noir et blanc ; 22 cm. - (Science ouverte, ISSN 0768-1607) .
ISBN : 978-2-02-096744-0
Catégories : Enseignements - Communications:Références
Médecine:Exercice de la médecine
Société et éthique:Dimension sociale:HistoireMots-clés : "Médecine--Europe" "Médecine--Recherche" "Philosophie_médicale--histoire" "Histoire_de_la_médecine" "Histoire_du_20ème_siècle" Résumé : .
Cet ouvrage s’inscrit dans le fil du travail collectif entrepris en 1995, l’ Histoire de la pensée médicale en Occident (trois volumes sous la direction de Mirko D. Grmek, Seuil, 1995, 1997, 1999). Il rend compte du déploiement des recherches pluridisciplinaires et transdisciplinaires de la pensée médicale et aborde les discussions et controverses actuelles sur les politiques de santé. Du fait du développement des connaissances théoriques et des innovations techniques, la notion même de soin, sous ses aspects sociaux, économiques, mais aussi épistémiques, se trouve questionnée. La pensée médicale ne saurait se limiter aux données biologiques, et ses composantes spécifiquement humaines et sociales sont explorées et interrogées ici dans une perspective historique qui tient compte des découvertes du dernier siècle.
Bernardino Fantini est professeur honoraire d’Histoire de la médecine et de la santé à la faculté de médecine de l’université de Genève et directeur du Centre collaborateur OMS pour la recherche historique en santé publique. Il travaille notamment sur l’histoire des maladies transmissibles et l’analyse philosophique et historique des idées biologiques et médicales.
Louise L. Lambrichs est écrivain, chercheuse associée au Centre de recherche psychanalyse, médecine et société (CRPMS). Elle a publié divers essais ayant trait à la pensée médicale à partir de la fin du XIXe siècle et à la spécificité de la démarche psychanalytique dans le cadre de la prise en charge des malades.Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6695 Exemplaires
Code-barres Cote Support Disponibilité 11000 07ANK Ouvrage Disponible Pourquoi la personne âgée n’est-elle pas une personne ? / Serge Boarini in Ethique et santé, Vol.13 N°2 (Juin 2016)
[article]
Titre : Pourquoi la personne âgée n’est-elle pas une personne ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Serge Boarini (1960-....), Auteur Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 60-64 Langues : Français Mots-clés : "Personne_humaine" "Personne_âgée" Vieillard "Histoire_de_la_médecine" Résumé : .
Comment a été élaborée la notion de « personne âgée » et comment cette notion s’est-elle affirmée au détriment de la figure du « vieillard » ? Quels sont les facteurs qui ont retardé la reconnaissance de la « personne âgée » ? L’article est le second volet de cette étude plus générale consacrée à l’analyse de ces raisons. Parmi ces dernières, le regard médical empêchait d’attribuer la qualité de « personne » au vieillard tant que le vieillissement est considéré comme l’usure asynchrone d’organes isolés. Au cours du XIXe siècle, les soins apportés au grand âge ne sont pas seulement médicaux. Le vieillard est inclus dans une société qui prend d’abord la forme d’une institution, l’hospice. En 1920, A. Lacassagne crée le concept de séniculture et lance un programme pour une société de séniculture dont l’intention est de responsabiliser la personne vieillissante. Le vieillard devient acteur de son vieillissement. Cependant, le vieillard n’accède pas au statut de personne : il est enserré dans un ensemble de prescriptions qui ne le considèrent pas dans sa singularité.Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=7175
in Ethique et santé > Vol.13 N°2 (Juin 2016) . - p. 60-64[article] Pourquoi la personne âgée n’est-elle pas une personne ? [texte imprimé] / Serge Boarini (1960-....), Auteur . - 2016 . - p. 60-64.
Langues : Français
in Ethique et santé > Vol.13 N°2 (Juin 2016) . - p. 60-64
Mots-clés : "Personne_humaine" "Personne_âgée" Vieillard "Histoire_de_la_médecine" Résumé : .
Comment a été élaborée la notion de « personne âgée » et comment cette notion s’est-elle affirmée au détriment de la figure du « vieillard » ? Quels sont les facteurs qui ont retardé la reconnaissance de la « personne âgée » ? L’article est le second volet de cette étude plus générale consacrée à l’analyse de ces raisons. Parmi ces dernières, le regard médical empêchait d’attribuer la qualité de « personne » au vieillard tant que le vieillissement est considéré comme l’usure asynchrone d’organes isolés. Au cours du XIXe siècle, les soins apportés au grand âge ne sont pas seulement médicaux. Le vieillard est inclus dans une société qui prend d’abord la forme d’une institution, l’hospice. En 1920, A. Lacassagne crée le concept de séniculture et lance un programme pour une société de séniculture dont l’intention est de responsabiliser la personne vieillissante. Le vieillard devient acteur de son vieillissement. Cependant, le vieillard n’accède pas au statut de personne : il est enserré dans un ensemble de prescriptions qui ne le considèrent pas dans sa singularité.Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=7175 Pourquoi la personne âgée n’est-elle pas une personne ? (Le regard médical sur les vieillards au cours du XIXe siècle). Vitesses et temporalités du corps du vieillard / Serge Boarini in Ethique et santé, Vol.11 N°2 (Juin 2014)
[article]
Titre : Pourquoi la personne âgée n’est-elle pas une personne ? (Le regard médical sur les vieillards au cours du XIXe siècle). Vitesses et temporalités du corps du vieillard Type de document : texte imprimé Auteurs : Serge Boarini (1960-....), Auteur Année de publication : 2014 Article en page(s) : p. 77-84 Langues : Français Mots-clés : "Personne_humaine" "Personne_âgée" Vieillard "Histoire_de_la_médecine" Hygiène Morale Résumé : .
Comment a été élaborée la notion de «personne âgée» et comment cette notion s’est-elle affirmée au détriment de la figure du «vieillard»? Quels sont les facteurs qui ont retardé la reconnaissance de la «personne âgée»? L’article est le premier volet de cette étude plus générale consacrée à l’analyse de ces raisons. Il aborde l’un des facteurs qui a contribué à ne pas reconnaître la personne âgée comme une personne, à savoir la supposition, sous-jacente aux études médicales du XIXe siècle, selon laquelle le vieillissement se fait à plusieurs vitesses. La personne âgée n’est pas une personne parce qu’en elle, croit-on, co-cheminent des séquences temporelles distinctes et parce que ces séquences connaissent des vitesses asynchrones de vieillissement. Si cette diversité des vitesses du vieillissement exprime la désunion des organes et des fonctions propres à cet âge de la vie, entrelaçant ainsi le temps et l’espace du corps, elle montre surtout que la personnalité est implicitement conçue comme devant être nécessairement fondée dans l’unité du corps et dans le consensus des organes.Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6620
in Ethique et santé > Vol.11 N°2 (Juin 2014) . - p. 77-84[article] Pourquoi la personne âgée n’est-elle pas une personne ? (Le regard médical sur les vieillards au cours du XIXe siècle). Vitesses et temporalités du corps du vieillard [texte imprimé] / Serge Boarini (1960-....), Auteur . - 2014 . - p. 77-84.
Langues : Français
in Ethique et santé > Vol.11 N°2 (Juin 2014) . - p. 77-84
Mots-clés : "Personne_humaine" "Personne_âgée" Vieillard "Histoire_de_la_médecine" Hygiène Morale Résumé : .
Comment a été élaborée la notion de «personne âgée» et comment cette notion s’est-elle affirmée au détriment de la figure du «vieillard»? Quels sont les facteurs qui ont retardé la reconnaissance de la «personne âgée»? L’article est le premier volet de cette étude plus générale consacrée à l’analyse de ces raisons. Il aborde l’un des facteurs qui a contribué à ne pas reconnaître la personne âgée comme une personne, à savoir la supposition, sous-jacente aux études médicales du XIXe siècle, selon laquelle le vieillissement se fait à plusieurs vitesses. La personne âgée n’est pas une personne parce qu’en elle, croit-on, co-cheminent des séquences temporelles distinctes et parce que ces séquences connaissent des vitesses asynchrones de vieillissement. Si cette diversité des vitesses du vieillissement exprime la désunion des organes et des fonctions propres à cet âge de la vie, entrelaçant ainsi le temps et l’espace du corps, elle montre surtout que la personnalité est implicitement conçue comme devant être nécessairement fondée dans l’unité du corps et dans le consensus des organes.Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6620 Le prêtre et le médecin / Georges Minois
Titre : Le prêtre et le médecin : des saints guérisseurs à la bioéthique Type de document : texte imprimé Auteurs : Georges Minois, Auteur Editeur : Paris : CNRS éditions Année de publication : impr. 2015, cop. 2015 Importance : 1 vol. (456 p.) Présentation : couv. ill. en coul. Format : 23 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-271-08652-5 Prix : 25 EUR Mots-clés : "Église_et_société" "Religion_et_sciences--Histoire" "Religion_et_morale" "Sciences_et_morale" "Médecine--Aspect_religieux" "Médecine--Philosophie" Bioéthique "Religion_et_médecine" Clergé "Conscience_morale" "Histoire_de_la_médecine" Résumé : .
Les relations entre l'Eglise et la médecine furent longtemps conflictuelles. Au Moyen Age, l'impuissance de la médecine face aux maladies garantissait la suprématie du prêtre : la vie humaine, disait-il, est misérable, le corps méprisable, la mort inéluctable, et la douleur une bénédiction du ciel. Cette conception est progressivement remise en cause à partir de la Renaissance, où quelques médecins commencent à secouer les traditions. Avec les avancées de la chirurgie et de la dissection, ils émettent des doutes sur l'existence d'un au-delà et sur la conception dualiste de l'homme, corps et âme : l'homme ne serait-il pas un produit de la nature, une pure machine, dont le médecin serait le mécanicien ? Au nom de ces idées, de nombreux médecins se révoltent contre la tutelle des prêtres, et au XIXe siècle, avec le courant scientiste, la médecine devient le fer de lance de l'athéisme.
Mais, avec la vague bioéthique, le prêtre est récemment revenu dans le débat, autour des problèmes inédits - procréation artificielle, euthanasie, clones thérapeutiques, manipulations génétiques. La religion, qui a perdu le combat scientifique, entend gagner le combat moral. Mais sa morale, basée sur des écrits deux fois millénaires, est-elle encore adaptée aux réalités du XXIe siècle ?
Georges Minois, ancien élève de l'Ecole normale supérieure, agrégé, est docteur en histoire et docteur d'État es lettres. Spécialiste de l'histoire culturelle, il a publié une quarantaine d'ouvrages traduits en vingt-deux langues, dont L'Église et la science (l99l), Histoire de l'athéisme (1998) et plus récemment Charles le Téméraire (2015).Note de contenu : Notes bibliogr. p. [405]-450 Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=7405 Le prêtre et le médecin : des saints guérisseurs à la bioéthique [texte imprimé] / Georges Minois, Auteur . - Paris : CNRS éditions, impr. 2015, cop. 2015 . - 1 vol. (456 p.) : couv. ill. en coul. ; 23 cm.
ISBN : 978-2-271-08652-5 : 25 EUR
Mots-clés : "Église_et_société" "Religion_et_sciences--Histoire" "Religion_et_morale" "Sciences_et_morale" "Médecine--Aspect_religieux" "Médecine--Philosophie" Bioéthique "Religion_et_médecine" Clergé "Conscience_morale" "Histoire_de_la_médecine" Résumé : .
Les relations entre l'Eglise et la médecine furent longtemps conflictuelles. Au Moyen Age, l'impuissance de la médecine face aux maladies garantissait la suprématie du prêtre : la vie humaine, disait-il, est misérable, le corps méprisable, la mort inéluctable, et la douleur une bénédiction du ciel. Cette conception est progressivement remise en cause à partir de la Renaissance, où quelques médecins commencent à secouer les traditions. Avec les avancées de la chirurgie et de la dissection, ils émettent des doutes sur l'existence d'un au-delà et sur la conception dualiste de l'homme, corps et âme : l'homme ne serait-il pas un produit de la nature, une pure machine, dont le médecin serait le mécanicien ? Au nom de ces idées, de nombreux médecins se révoltent contre la tutelle des prêtres, et au XIXe siècle, avec le courant scientiste, la médecine devient le fer de lance de l'athéisme.
Mais, avec la vague bioéthique, le prêtre est récemment revenu dans le débat, autour des problèmes inédits - procréation artificielle, euthanasie, clones thérapeutiques, manipulations génétiques. La religion, qui a perdu le combat scientifique, entend gagner le combat moral. Mais sa morale, basée sur des écrits deux fois millénaires, est-elle encore adaptée aux réalités du XXIe siècle ?
Georges Minois, ancien élève de l'Ecole normale supérieure, agrégé, est docteur en histoire et docteur d'État es lettres. Spécialiste de l'histoire culturelle, il a publié une quarantaine d'ouvrages traduits en vingt-deux langues, dont L'Église et la science (l99l), Histoire de l'athéisme (1998) et plus récemment Charles le Téméraire (2015).Note de contenu : Notes bibliogr. p. [405]-450 Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=7405 Exemplaires
Code-barres Cote Support Disponibilité 11957 11 MIN Ouvrage Disponible
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