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Les arrêts de traitement à propos des greffes : exploration et analyse des perceptions de professionnels de santé français / Eric Fourneret in Journal International de Bioéthique, Vol.25 N°4 (Décembre 2014)
[article]
Titre : Les arrêts de traitement à propos des greffes : exploration et analyse des perceptions de professionnels de santé français Type de document : texte imprimé Auteurs : Eric Fourneret, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : p. 131-144 Langues : Français Mots-clés : "prélèvement_d’organe" "arrêt_de_traitement" "donneur_a_cœur_arrêté" Résumé : .
Peut-on prélever les organes d’une personne en fin de vie après avoir décidé d’arrêter ses traitements ? Les donneurs décédés après un arrêt cardiaque constituent, depuis la réunion de Maastricht de 1995, une source d’organes réactualisée pour répondre au besoin croissant de demandes de greffe. Si certains pays les ont autorisés, la catégorie dite « Maastricht 3 » suscite un questionnement éthique majeur. En France, les professionnels de santé impliqués dans les dons d’organes sont-ils prêts pour inclure les malades en fin de vie, les personnes cérébrolésées, celles en état végétatif chronique et bien d’autres encore, dans une procédure de prélèvement Maastricht 3 ? En explorant la narration de certains d’entre eux, cet article rend compte des résultats d’une recherche soutenue par l’Agence de la biomédecine et veut aider à mieux comprendre les enjeux moraux des arrêts de traitements à propos des greffes.Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6888
in Journal International de Bioéthique > Vol.25 N°4 (Décembre 2014) . - p. 131-144[article] Les arrêts de traitement à propos des greffes : exploration et analyse des perceptions de professionnels de santé français [texte imprimé] / Eric Fourneret, Auteur . - 2015 . - p. 131-144.
Langues : Français
in Journal International de Bioéthique > Vol.25 N°4 (Décembre 2014) . - p. 131-144
Mots-clés : "prélèvement_d’organe" "arrêt_de_traitement" "donneur_a_cœur_arrêté" Résumé : .
Peut-on prélever les organes d’une personne en fin de vie après avoir décidé d’arrêter ses traitements ? Les donneurs décédés après un arrêt cardiaque constituent, depuis la réunion de Maastricht de 1995, une source d’organes réactualisée pour répondre au besoin croissant de demandes de greffe. Si certains pays les ont autorisés, la catégorie dite « Maastricht 3 » suscite un questionnement éthique majeur. En France, les professionnels de santé impliqués dans les dons d’organes sont-ils prêts pour inclure les malades en fin de vie, les personnes cérébrolésées, celles en état végétatif chronique et bien d’autres encore, dans une procédure de prélèvement Maastricht 3 ? En explorant la narration de certains d’entre eux, cet article rend compte des résultats d’une recherche soutenue par l’Agence de la biomédecine et veut aider à mieux comprendre les enjeux moraux des arrêts de traitements à propos des greffes.Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6888 Faisabilité et questionnement éthique du prélèvement d’organes et de tissus sur des donneurs de catégorie III de Maastricht / Guillaume Durand in Journal International de Bioéthique, Vol.25 N°4 (Décembre 2014)
[article]
Titre : Faisabilité et questionnement éthique du prélèvement d’organes et de tissus sur des donneurs de catégorie III de Maastricht Type de document : texte imprimé Auteurs : Guillaume Durand, Auteur ; Maud Jonas, Auteur ; Julien Lorber, Auteur ; Gérard Dabouis, Auteur ; Daniel Villers, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : p. 113-130 Langues : Français Mots-clés : "prélèvement_d’organe" "arrêt_de_traitement" "donneur_a_cœur_arrêté" "consentement_d’un_tiers" famille Résumé : .
La procédure dite de Maastricht III (M III) prévoit de réaliser des prélèvements d’organes chez des patients dont l’arrêt cardiaque est consécutif à une décision d’arrêt des traitements (AT) de réanimation. Cette procédure semble devoir être bientôt appliquée en France.
La présente étude vise à évaluer la faisabilité pratique de cette procédure particulière selon deux aspects : faisabilité médicale et faisabilité sociétale. Dans le service de réanimation médicale du CHU de Nantes, une cohorte prospective de patients neuro-lésés, pour lesquels une décision d’arrêt des traitements (AT) a été prise conformément à la Loi Leonetti, a été prospectivement constituée. L’évolution des paramètres circulatoires après la mise en œuvre de l’AT ainsi que le délai écoulé entre l’AT et la survenue de l’arrêt cardiaque ont été relevés afin de connaitre le temps d’ischémie chaude, qui, s’il se prolonge au delà de 120 mn interdit la greffe. L’étude a également porté sur l’incidence du consentement au prélèvement d’organes qu’auraient formulé les familles et/ou les proches s’ils avaient été sollicités pour une procédure MIII lors de l’annonce de la décision collégiale d’arrêt des traitements de réanimation. La position et les arguments rapportés par la famille ont été analysés au cours d’un entretien avec deux membres de la Consultation d’Ethique Clinique, indépendants du service de réanimation.
Cette étude devrait contribuer à préciser le pourcentage attendu de patients en AT dont la durée d’ischémie chaude est compatible avec la greffe d’organes ainsi que les arguments développés par les familles et ou les proches vis-à-vis de ces prélèvements d’organes réalisés à l’issue d’une décision d’arrêt des traitements de réanimationPermalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6887
in Journal International de Bioéthique > Vol.25 N°4 (Décembre 2014) . - p. 113-130[article] Faisabilité et questionnement éthique du prélèvement d’organes et de tissus sur des donneurs de catégorie III de Maastricht [texte imprimé] / Guillaume Durand, Auteur ; Maud Jonas, Auteur ; Julien Lorber, Auteur ; Gérard Dabouis, Auteur ; Daniel Villers, Auteur . - 2015 . - p. 113-130.
Langues : Français
in Journal International de Bioéthique > Vol.25 N°4 (Décembre 2014) . - p. 113-130
Mots-clés : "prélèvement_d’organe" "arrêt_de_traitement" "donneur_a_cœur_arrêté" "consentement_d’un_tiers" famille Résumé : .
La procédure dite de Maastricht III (M III) prévoit de réaliser des prélèvements d’organes chez des patients dont l’arrêt cardiaque est consécutif à une décision d’arrêt des traitements (AT) de réanimation. Cette procédure semble devoir être bientôt appliquée en France.
La présente étude vise à évaluer la faisabilité pratique de cette procédure particulière selon deux aspects : faisabilité médicale et faisabilité sociétale. Dans le service de réanimation médicale du CHU de Nantes, une cohorte prospective de patients neuro-lésés, pour lesquels une décision d’arrêt des traitements (AT) a été prise conformément à la Loi Leonetti, a été prospectivement constituée. L’évolution des paramètres circulatoires après la mise en œuvre de l’AT ainsi que le délai écoulé entre l’AT et la survenue de l’arrêt cardiaque ont été relevés afin de connaitre le temps d’ischémie chaude, qui, s’il se prolonge au delà de 120 mn interdit la greffe. L’étude a également porté sur l’incidence du consentement au prélèvement d’organes qu’auraient formulé les familles et/ou les proches s’ils avaient été sollicités pour une procédure MIII lors de l’annonce de la décision collégiale d’arrêt des traitements de réanimation. La position et les arguments rapportés par la famille ont été analysés au cours d’un entretien avec deux membres de la Consultation d’Ethique Clinique, indépendants du service de réanimation.
Cette étude devrait contribuer à préciser le pourcentage attendu de patients en AT dont la durée d’ischémie chaude est compatible avec la greffe d’organes ainsi que les arguments développés par les familles et ou les proches vis-à-vis de ces prélèvements d’organes réalisés à l’issue d’une décision d’arrêt des traitements de réanimationPermalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6887
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