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On the licitness of inducing palliative sedation and removal of artificial nutrition and hydration at the end-of-life / Pierre Mallia in Journal International de Bioéthique, Vol.25 N°4 (Décembre 2014)
[article]
Titre : On the licitness of inducing palliative sedation and removal of artificial nutrition and hydration at the end-of-life Type de document : texte imprimé Auteurs : Pierre Mallia, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : p. 69-81 Langues : Anglais Mots-clés : "alimentation_artificielle" "arrêt_de_traitement" "soins_palliatifs" "sédation_en_phase_palliative" Résumé : .
La question de la sédation palliative pour induire la perte de connaissance et de la cessation de la nutrition et de l’hydratation [NHA] en fin de vie a été soulevée récemment. Elle a également débouché sur une controverse au sujet du Liverpool Care Pathway, pratiqué au Royaume-Uni en fin de vie, dont le but était d’apporter à l’hôpital l’approche bio-psycho-sociale largement acceptée et utilisée dans les centres de soins palliatifs. L’argument consiste à dire que la légitimité de la souffrance existentielle dans le contexte d’un patient qui est déjà sous sédation, une situation qui peut rendre la personne vulnérable à ses propres sentiments, doit être prise en considération. Le fait que la NHA n’est pas toujours donnée dans le contexte des soins à domicile pose la question quant à sa légitimité lorsqu’elle est imposée à l’hôpital. De surcroît, alors qu’une norme de soins différente peut être légitime dans le contexte de soins à domicile lorsque des soins palliatifs sont administrés, ceci pose aussi la question : à quel point devons-nous être rigoureux lorsque le patient est dans un contexte hospitalier et qu’il s’agit d’augmenter la dose qui conduirait à la sédation ? Dans ce contexte on peut soutenir que l’on peut légitimement invoquer la doctrine du double effet où le bien n’est pas causé par l’induction délibérée du mal (sédation et cessation de la NHA)lorsque l’on y arrive de façon consécutive et prudente. Nous introduisons aussi une discussion de la question et de la dimension religieuses dans la relation soins – patient à la lumière des évolutions récentes en matière d’ontologie trinitaire appliquée aux contextes sociaux.Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6885
in Journal International de Bioéthique > Vol.25 N°4 (Décembre 2014) . - p. 69-81[article] On the licitness of inducing palliative sedation and removal of artificial nutrition and hydration at the end-of-life [texte imprimé] / Pierre Mallia, Auteur . - 2015 . - p. 69-81.
Langues : Anglais
in Journal International de Bioéthique > Vol.25 N°4 (Décembre 2014) . - p. 69-81
Mots-clés : "alimentation_artificielle" "arrêt_de_traitement" "soins_palliatifs" "sédation_en_phase_palliative" Résumé : .
La question de la sédation palliative pour induire la perte de connaissance et de la cessation de la nutrition et de l’hydratation [NHA] en fin de vie a été soulevée récemment. Elle a également débouché sur une controverse au sujet du Liverpool Care Pathway, pratiqué au Royaume-Uni en fin de vie, dont le but était d’apporter à l’hôpital l’approche bio-psycho-sociale largement acceptée et utilisée dans les centres de soins palliatifs. L’argument consiste à dire que la légitimité de la souffrance existentielle dans le contexte d’un patient qui est déjà sous sédation, une situation qui peut rendre la personne vulnérable à ses propres sentiments, doit être prise en considération. Le fait que la NHA n’est pas toujours donnée dans le contexte des soins à domicile pose la question quant à sa légitimité lorsqu’elle est imposée à l’hôpital. De surcroît, alors qu’une norme de soins différente peut être légitime dans le contexte de soins à domicile lorsque des soins palliatifs sont administrés, ceci pose aussi la question : à quel point devons-nous être rigoureux lorsque le patient est dans un contexte hospitalier et qu’il s’agit d’augmenter la dose qui conduirait à la sédation ? Dans ce contexte on peut soutenir que l’on peut légitimement invoquer la doctrine du double effet où le bien n’est pas causé par l’induction délibérée du mal (sédation et cessation de la NHA)lorsque l’on y arrive de façon consécutive et prudente. Nous introduisons aussi une discussion de la question et de la dimension religieuses dans la relation soins – patient à la lumière des évolutions récentes en matière d’ontologie trinitaire appliquée aux contextes sociaux.Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6885
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