Centre de Ressources et de Documentation de l'Espace Éthique PACA-Corse
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Être sa dépouille (ou ne pas l’être). Hypothèse philosophique sur le refus au don d’organes / Baptiste Morizot in Ethique et santé, Vol.12 N°1 (mars 2015)
[article]
Titre : Être sa dépouille (ou ne pas l’être). Hypothèse philosophique sur le refus au don d’organes Type de document : texte imprimé Auteurs : Baptiste Morizot, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : p. 22-28 Langues : Français Mots-clés : Éthique Philosophie Mort Greffe Refus Résumé : .
On entend poser ici le problème du refus au prélèvement d’organes en contexte français. Ce taux de refus demeure élevé (33,8 % en 2012), et ce malgré les campagnes de sensibilisation au don d’organes. Comment une approche philosophique pourrait-elle éclairer ce phénomène ? Nous faisons l’hypothèse qu’une enquête conceptuelle approfondie, portant sur la mort et ses représentations, permettrait de révéler une raison significative de ces refus, et d’en déduire des solutions pratiques visant à en diminuer le nombre. La méthode utilisée consiste à croiser : (1) une enquête de terrain auprès des infirmiers coordinateurs de prélèvement, quotidiennement confrontés aux refus des proches des défunts ; (2) avec une enquête philosophique portant sur la représentation duale de la mort, distinguée en fonction de la perspective du sujet qui la pense. L’hypothèse est que « mon » rapport à ma dépouille diffère absolument de « mon » rapport à la dépouille d’un proche : leur contenu et leur valence sont inversés. Cette différence discrète et subjective aurait des répercussions objectives et concrètes sur le protocole de ravitaillement en organes en vue de la transplantation. C’est par le biais d’une expérimentation philosophique sur soi, que le lecteur sera convié à comprendre, de l’intérieur , un motif du refus au don d’organes, pour saisir dans le même mouvement sur quel point il est raisonnable et compréhensible ; et sur quel point il mérite d’être transformé par l’information et l’explication.Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6895
in Ethique et santé > Vol.12 N°1 (mars 2015) . - p. 22-28[article] Être sa dépouille (ou ne pas l’être). Hypothèse philosophique sur le refus au don d’organes [texte imprimé] / Baptiste Morizot, Auteur . - 2015 . - p. 22-28.
Langues : Français
in Ethique et santé > Vol.12 N°1 (mars 2015) . - p. 22-28
Mots-clés : Éthique Philosophie Mort Greffe Refus Résumé : .
On entend poser ici le problème du refus au prélèvement d’organes en contexte français. Ce taux de refus demeure élevé (33,8 % en 2012), et ce malgré les campagnes de sensibilisation au don d’organes. Comment une approche philosophique pourrait-elle éclairer ce phénomène ? Nous faisons l’hypothèse qu’une enquête conceptuelle approfondie, portant sur la mort et ses représentations, permettrait de révéler une raison significative de ces refus, et d’en déduire des solutions pratiques visant à en diminuer le nombre. La méthode utilisée consiste à croiser : (1) une enquête de terrain auprès des infirmiers coordinateurs de prélèvement, quotidiennement confrontés aux refus des proches des défunts ; (2) avec une enquête philosophique portant sur la représentation duale de la mort, distinguée en fonction de la perspective du sujet qui la pense. L’hypothèse est que « mon » rapport à ma dépouille diffère absolument de « mon » rapport à la dépouille d’un proche : leur contenu et leur valence sont inversés. Cette différence discrète et subjective aurait des répercussions objectives et concrètes sur le protocole de ravitaillement en organes en vue de la transplantation. C’est par le biais d’une expérimentation philosophique sur soi, que le lecteur sera convié à comprendre, de l’intérieur , un motif du refus au don d’organes, pour saisir dans le même mouvement sur quel point il est raisonnable et compréhensible ; et sur quel point il mérite d’être transformé par l’information et l’explication.Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6895 La valeur positive du refus de prélèvement / Marc Grassin in Ethique et santé, Vol.10 N°4 (Décembre 2013)
[article]
Titre : La valeur positive du refus de prélèvement Type de document : texte imprimé Auteurs : Marc Grassin, Auteur Année de publication : 2014 Article en page(s) : p. 200-204 Langues : Français Mots-clés : Éthique Don_organe Refus Famille "Conflit_de_loyauté" Résumé : .
Nous défendons l’hypothèse que la diminution du taux de refus au prélèvement d’organe par les familles passe par la reconnaissance et la valorisation de la dimension éthique du refus. La demande faite aux familles génère des tensions personnelles et culturelles et des conflits de loyauté. Dans ce contexte, la décision est moins une décision rationnelle qu’une décision existentielle. Les professionnels ont besoin de comprendre ce que leur demande génère pour aider les familles à prendre des décisions libres. Le refus doit être reconnu comme une décision positive et éthique. Cette attitude assurera une relation de confiance et facilitera l’activité sur le long terme. Un taux trop faible de refus pourrait avoir un effet contre productif sur l’activité de prélèvement.Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6562
in Ethique et santé > Vol.10 N°4 (Décembre 2013) . - p. 200-204[article] La valeur positive du refus de prélèvement [texte imprimé] / Marc Grassin, Auteur . - 2014 . - p. 200-204.
Langues : Français
in Ethique et santé > Vol.10 N°4 (Décembre 2013) . - p. 200-204
Mots-clés : Éthique Don_organe Refus Famille "Conflit_de_loyauté" Résumé : .
Nous défendons l’hypothèse que la diminution du taux de refus au prélèvement d’organe par les familles passe par la reconnaissance et la valorisation de la dimension éthique du refus. La demande faite aux familles génère des tensions personnelles et culturelles et des conflits de loyauté. Dans ce contexte, la décision est moins une décision rationnelle qu’une décision existentielle. Les professionnels ont besoin de comprendre ce que leur demande génère pour aider les familles à prendre des décisions libres. Le refus doit être reconnu comme une décision positive et éthique. Cette attitude assurera une relation de confiance et facilitera l’activité sur le long terme. Un taux trop faible de refus pourrait avoir un effet contre productif sur l’activité de prélèvement.Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6562
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