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How nonverbal communication shapes doctor-patient relationship: From paternalism to the ethics of care in oncology / C. Bommier in Journal International de Bioéthique, Vol.24 N°4 (Décembre 2013)
[article]
Titre : How nonverbal communication shapes doctor-patient relationship: From paternalism to the ethics of care in oncology Type de document : texte imprimé Auteurs : C. Bommier, Auteur ; Marie-France Mamzer-Bruneel, Auteur ; D. Desmarchelier, Auteur ; Christian Hervé, Auteur Année de publication : 2014 Article en page(s) : p. 137-158 Langues : Anglais Mots-clés : "relation_médecin_patient" cancer paternalisme "éthique_clinique" communication "pratique_médicale" "information_du_patient" Résumé : .
Le but de cette étude est de rechercher, après la dénonciation du paternalisme menée jusqu’aujourd’hui, si une utilisation maîtrisée de la communication non orale par les praticiens risque de le laisser subsister dans la consultation en oncologie (choisie comme exemple de relation médecin-patient). Ainsi, l’étude a consisté en une recherche qualitative basée sur des observations et des questionnaires, et s’est fondée sur des références de sociologie et d’anthropologie reconnues. Nous avons pu constater que l’encadrement législatif contraignant de la relation médecin-patient n’a fait que déplacer le problème du paternalisme du langage parlé vers un nouvel outil que les médecins ne savent pas encore totalement maîtriser et dont les patients négligent encore trop l’existence : la communication non orale. Cette étude montre que toutes les lois encadrant la relation médecin-patient peuvent être contournées et qu’une maîtrise de la communication non orale peut aboutir à un retour au paternalisme. Alors, le rejet du paternalisme doit se traduire par une lecture appropriée de l’histoire du patient: cette lecture, en terme éthique, n’est valable que si on veille au conditionnement non paternaliste du patient par la structure hospitalière, à la compréhension de sa temporalité par le médecin, et à l’engagement complet de ce dernier dans le serment d’Hippocrate, codifié par l’éthique du care.Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6724
in Journal International de Bioéthique > Vol.24 N°4 (Décembre 2013) . - p. 137-158[article] How nonverbal communication shapes doctor-patient relationship: From paternalism to the ethics of care in oncology [texte imprimé] / C. Bommier, Auteur ; Marie-France Mamzer-Bruneel, Auteur ; D. Desmarchelier, Auteur ; Christian Hervé, Auteur . - 2014 . - p. 137-158.
Langues : Anglais
in Journal International de Bioéthique > Vol.24 N°4 (Décembre 2013) . - p. 137-158
Mots-clés : "relation_médecin_patient" cancer paternalisme "éthique_clinique" communication "pratique_médicale" "information_du_patient" Résumé : .
Le but de cette étude est de rechercher, après la dénonciation du paternalisme menée jusqu’aujourd’hui, si une utilisation maîtrisée de la communication non orale par les praticiens risque de le laisser subsister dans la consultation en oncologie (choisie comme exemple de relation médecin-patient). Ainsi, l’étude a consisté en une recherche qualitative basée sur des observations et des questionnaires, et s’est fondée sur des références de sociologie et d’anthropologie reconnues. Nous avons pu constater que l’encadrement législatif contraignant de la relation médecin-patient n’a fait que déplacer le problème du paternalisme du langage parlé vers un nouvel outil que les médecins ne savent pas encore totalement maîtriser et dont les patients négligent encore trop l’existence : la communication non orale. Cette étude montre que toutes les lois encadrant la relation médecin-patient peuvent être contournées et qu’une maîtrise de la communication non orale peut aboutir à un retour au paternalisme. Alors, le rejet du paternalisme doit se traduire par une lecture appropriée de l’histoire du patient: cette lecture, en terme éthique, n’est valable que si on veille au conditionnement non paternaliste du patient par la structure hospitalière, à la compréhension de sa temporalité par le médecin, et à l’engagement complet de ce dernier dans le serment d’Hippocrate, codifié par l’éthique du care.Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6724 How nonverbal communication shapes doctor-patient relationship: from paternalism to the ethics of care in oncology / C. Bommier in Journal International de Bioéthique, Vol.25 N°4 (Décembre 2014)
[article]
Titre : How nonverbal communication shapes doctor-patient relationship: from paternalism to the ethics of care in oncology Type de document : texte imprimé Auteurs : C. Bommier, Auteur ; Marie-France Mamzer-Bruneel, Auteur ; D. Desmarchelier, Auteur ; Christian Hervé, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : p. 29-49 Langues : Anglais Mots-clés : "relation_médecin_patient" paternalisme "communication_non_verbale" Résumé : .
Le but de cette étude est de rechercher, après la dénonciation du paternalisme menée jusqu’aujourd’hui, si une utilisation maîtrisée de la communication non orale par les praticiens risque de le laisser subsister dans la consultation en oncologie (choisie comme exemple de relation médecin-patient). Ainsi, l’étude a consisté en une recherche qualitative basée sur des observations et des questionnaires, et s’est fondée sur des références de sociologie et d’anthropologie reconnues. Nous avons pu constater que l’encadrement législatif contraignant de la relation médecin-patient n’a fait que déplacer le problème du paternalisme du langage parlé vers un nouvel outil que les médecins ne savent pas encore totalement maîtriser et dont les patients négligent encore trop l’existence : la communication non orale. Cette étude montre que toutes les lois encadrant la relation médecin-patient peuvent être contournées et qu’une maîtrise de la communication non orale peut aboutir à un retour au paternalisme. Alors, le rejet du paternalisme doit se traduire par une lecture appropriée de l’histoire du patient : cette lecture, en terme éthique, n’est valable que si on veille au conditionnement non paternaliste du patient par la structure hospitalière, à la compréhension de sa temporalité par le médecin, et à l’engagement complet de ce dernier dans le serment d’Hippocrate, codifié par l’éthique du care.Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6883
in Journal International de Bioéthique > Vol.25 N°4 (Décembre 2014) . - p. 29-49[article] How nonverbal communication shapes doctor-patient relationship: from paternalism to the ethics of care in oncology [texte imprimé] / C. Bommier, Auteur ; Marie-France Mamzer-Bruneel, Auteur ; D. Desmarchelier, Auteur ; Christian Hervé, Auteur . - 2015 . - p. 29-49.
Langues : Anglais
in Journal International de Bioéthique > Vol.25 N°4 (Décembre 2014) . - p. 29-49
Mots-clés : "relation_médecin_patient" paternalisme "communication_non_verbale" Résumé : .
Le but de cette étude est de rechercher, après la dénonciation du paternalisme menée jusqu’aujourd’hui, si une utilisation maîtrisée de la communication non orale par les praticiens risque de le laisser subsister dans la consultation en oncologie (choisie comme exemple de relation médecin-patient). Ainsi, l’étude a consisté en une recherche qualitative basée sur des observations et des questionnaires, et s’est fondée sur des références de sociologie et d’anthropologie reconnues. Nous avons pu constater que l’encadrement législatif contraignant de la relation médecin-patient n’a fait que déplacer le problème du paternalisme du langage parlé vers un nouvel outil que les médecins ne savent pas encore totalement maîtriser et dont les patients négligent encore trop l’existence : la communication non orale. Cette étude montre que toutes les lois encadrant la relation médecin-patient peuvent être contournées et qu’une maîtrise de la communication non orale peut aboutir à un retour au paternalisme. Alors, le rejet du paternalisme doit se traduire par une lecture appropriée de l’histoire du patient : cette lecture, en terme éthique, n’est valable que si on veille au conditionnement non paternaliste du patient par la structure hospitalière, à la compréhension de sa temporalité par le médecin, et à l’engagement complet de ce dernier dans le serment d’Hippocrate, codifié par l’éthique du care.Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6883
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