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Auteur J. Dahl Rendtorff |
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Basic ethical principles as symbolic foundations and core values of European biolaw / J. Dahl Rendtorff in Ethics, Medicine & Public Health, Vol.2 N°2 (Avril-Juin 2016)
[article]
Titre : Basic ethical principles as symbolic foundations and core values of European biolaw : Des principes éthiques fondamentaux comme des fondations symboliques et des valeurs fondamentaux du bio-droit européen Type de document : texte imprimé Auteurs : J. Dahl Rendtorff, Auteur Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 205-212 Langues : Anglais Mots-clés : Bioéthique Bio-droit Autonomie Intégrité Dignité Vulnérabilité "Corps_humain" Résumé : .
L’article présente une analyse des principes éthiques fondamentaux d’autonomie, de dignité, d’intégrité et de vulnérabilité comme l’essence de la fonction symbolique de la bioéthique et du bio-droit européen et aussi de la fondation de ces bio-droits impliqués dans ce droit européen. Cela est montré dans la considération des droits de l’individu à son propre corps comme des droits de l’homme. La méthodologie est une herméneutique critique d’analyse des présuppositions de la pratique juridique dans la fonction symbolique des principes comme le fondement du droit. La gouvernance des problèmes biomédicaux est considérée comme un exercice du jugement réfléchissant et du jugement législatif informé par des principes fondamentaux et fondé sur un univers symbolique de protection de la personne humaine dans le bio-droit. L’idéal bioéthique du respect de l’autonomie a été introduit dans le droit par la notion de consentement éclairé comme le fondement d’autodétermination. En plus, les principes de dignité, d’intégrité et de vulnérabilité deviennent plus en plus important comme des principes juridiques. Dans ce sens, ils sont plus que des principes juridiques et aussi des symboles forts de l’humanité. Cela se manifeste dans le cas du développement des droits de l’homme pour inclure des droits par rapport au corps humain et ses parties. Cette approche peut être considérée comme une conception symbolique du droit fondé sur des principes qui se manifeste derrière la conception pragmatique et positive du droit. Une zone spéciale de la protection des personnes humaines entre personne et choses peut être définie. Les principes de la non-commercialisation et de l’anonymat de la donation des parties du corps humain sont des idées importantes. Ces principes sont généralement reconnus, mais ils sont quand même toujours des principes controverses qui peuvent être conçues comme des visions de l’humanité de l’homme et de l’humanité en tension avec la sous-humanité et la trans-humanité dans le progrès de la technologie biomédicale. Nous pouvons également observer une sorte de besoin de légitimité concernant la définition du corps humain et c’est pourquoi il est nécessaire de développer le bio-droit comme un narratif symbolique fondé sur les principes fondamentaux du respect pour la dignité, l’intégrité et la vulnérabilité de la personne humaine. C’est le fondement pour la compréhension du rôle du corps entre personne et chose dans le bio-droit. On peut observer un double statut du corps entre sujet et objet qui est conçu en termes de fonction symbolique du corps comme un symbole important du futur de l’humanité. Sur le fondement des interprétations de législations et de la pratique juridique en Europe nous pouvons définir le concept d’humanité au bio-droit comme un droit orienté vers les principes et comme une pensée symbolique juridique qui prend l’autonomie, la dignité, l’intégrité et la vulnérabilité comme des principes important pour protéger la personne humaine dans le développement biotechnologique. Le corps humain comme objet symbolique a reçu une position spéciale dans la sphère de justice de la biomédecine qui implique des générations futures des êtres humains. Les nouveaux bio-droits incluent des droits de l’individu à son corps en même temps que les limites de ces droits sont imposées par l’État. L’intervention par l’État dans le corps humain se manifeste alors dans l’espace symbolique entre le biopouvoir de l’État et la protection de la sphère privée et de la dignité du corps humain dans la législation et dans la création de la loi. Les visions de l’humanité, exprimées dans la fonction symbolique du bio-droit, exprime un humanisme qui cherche à être concerné avec l’humanité de dans le but d’assurer qu’il existera de la vie humaine réelle et authentique sur la terre. Cette vision de l’humanité se réalisera dans la nature réflexive des principes de bio-droit a une fonction symbolique qui nous donne un sens d’une signification plus profonde du respect pour l’humanité. C’est la signification de la protection symbolique de l’humanité de la personne à travers le respect pour les principes fondamentaux de l’autonomie, de la dignité, de l’intégrité dans le bio-droit et dans la pratique juridique et de la législation concernant la protection du corps humain dans le développement de la biotechnologie et de la biomédecine.Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=7190
in Ethics, Medicine & Public Health > Vol.2 N°2 (Avril-Juin 2016) . - p. 205-212[article] Basic ethical principles as symbolic foundations and core values of European biolaw : Des principes éthiques fondamentaux comme des fondations symboliques et des valeurs fondamentaux du bio-droit européen [texte imprimé] / J. Dahl Rendtorff, Auteur . - 2016 . - p. 205-212.
Langues : Anglais
in Ethics, Medicine & Public Health > Vol.2 N°2 (Avril-Juin 2016) . - p. 205-212
Mots-clés : Bioéthique Bio-droit Autonomie Intégrité Dignité Vulnérabilité "Corps_humain" Résumé : .
L’article présente une analyse des principes éthiques fondamentaux d’autonomie, de dignité, d’intégrité et de vulnérabilité comme l’essence de la fonction symbolique de la bioéthique et du bio-droit européen et aussi de la fondation de ces bio-droits impliqués dans ce droit européen. Cela est montré dans la considération des droits de l’individu à son propre corps comme des droits de l’homme. La méthodologie est une herméneutique critique d’analyse des présuppositions de la pratique juridique dans la fonction symbolique des principes comme le fondement du droit. La gouvernance des problèmes biomédicaux est considérée comme un exercice du jugement réfléchissant et du jugement législatif informé par des principes fondamentaux et fondé sur un univers symbolique de protection de la personne humaine dans le bio-droit. L’idéal bioéthique du respect de l’autonomie a été introduit dans le droit par la notion de consentement éclairé comme le fondement d’autodétermination. En plus, les principes de dignité, d’intégrité et de vulnérabilité deviennent plus en plus important comme des principes juridiques. Dans ce sens, ils sont plus que des principes juridiques et aussi des symboles forts de l’humanité. Cela se manifeste dans le cas du développement des droits de l’homme pour inclure des droits par rapport au corps humain et ses parties. Cette approche peut être considérée comme une conception symbolique du droit fondé sur des principes qui se manifeste derrière la conception pragmatique et positive du droit. Une zone spéciale de la protection des personnes humaines entre personne et choses peut être définie. Les principes de la non-commercialisation et de l’anonymat de la donation des parties du corps humain sont des idées importantes. Ces principes sont généralement reconnus, mais ils sont quand même toujours des principes controverses qui peuvent être conçues comme des visions de l’humanité de l’homme et de l’humanité en tension avec la sous-humanité et la trans-humanité dans le progrès de la technologie biomédicale. Nous pouvons également observer une sorte de besoin de légitimité concernant la définition du corps humain et c’est pourquoi il est nécessaire de développer le bio-droit comme un narratif symbolique fondé sur les principes fondamentaux du respect pour la dignité, l’intégrité et la vulnérabilité de la personne humaine. C’est le fondement pour la compréhension du rôle du corps entre personne et chose dans le bio-droit. On peut observer un double statut du corps entre sujet et objet qui est conçu en termes de fonction symbolique du corps comme un symbole important du futur de l’humanité. Sur le fondement des interprétations de législations et de la pratique juridique en Europe nous pouvons définir le concept d’humanité au bio-droit comme un droit orienté vers les principes et comme une pensée symbolique juridique qui prend l’autonomie, la dignité, l’intégrité et la vulnérabilité comme des principes important pour protéger la personne humaine dans le développement biotechnologique. Le corps humain comme objet symbolique a reçu une position spéciale dans la sphère de justice de la biomédecine qui implique des générations futures des êtres humains. Les nouveaux bio-droits incluent des droits de l’individu à son corps en même temps que les limites de ces droits sont imposées par l’État. L’intervention par l’État dans le corps humain se manifeste alors dans l’espace symbolique entre le biopouvoir de l’État et la protection de la sphère privée et de la dignité du corps humain dans la législation et dans la création de la loi. Les visions de l’humanité, exprimées dans la fonction symbolique du bio-droit, exprime un humanisme qui cherche à être concerné avec l’humanité de dans le but d’assurer qu’il existera de la vie humaine réelle et authentique sur la terre. Cette vision de l’humanité se réalisera dans la nature réflexive des principes de bio-droit a une fonction symbolique qui nous donne un sens d’une signification plus profonde du respect pour l’humanité. C’est la signification de la protection symbolique de l’humanité de la personne à travers le respect pour les principes fondamentaux de l’autonomie, de la dignité, de l’intégrité dans le bio-droit et dans la pratique juridique et de la législation concernant la protection du corps humain dans le développement de la biotechnologie et de la biomédecine.Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=7190
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