Centre de Ressources et de Documentation de l'Espace Éthique PACA-Corse
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Pourquoi la science ? / Michel Meulders
Titre : Pourquoi la science ? : impacts et limites de la recherche Type de document : texte imprimé Auteurs : Michel Meulders, Directeur de publication, rédacteur en chef Editeur : Seyssel : Champ vallon Année de publication : 1997 Collection : Collection Milieux, ISSN 0291-7157 Importance : 257 p. Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 2-87673-244-0 Langues : Français Catégories : Philosophie:Philosophie des sciences
Sciences
Société et éthique:Dimension sociale:SociologieMots-clés : RECHERCHE "Recherche--Aspect_social" "SCIENCE--Essai" "Sciences_et_civilisation" "Sciences--Philosophie" "Recherche--Sociologie" "Sciences--Aspect_social" "Économie_politique--Philosophie" Résumé : .
L'impact des développements scientifiques et technologiques sur l'évolution de la société et sur les modes de vie n'est plus à démontrer. Cette dernière moitié du vingtième siècle, en particulier, a connu l'accélération considérable d'un processus d'intégration d'éléments technologiques aux modes de production économique et à la vie sociale. Plus largement, depuis trois siècles, les développements scientifiques marquent profondément nos représentations culturelles. Les méthodes de production des savoirs scientifiques conduisent à une parcellisation de la connaissance et à un oubli du point de vue de la globalité. Par ailleurs, les producteurs du savoir pratique tendent à répondre aux attentes des commanditaires, essentiellement guidés par la rentabilité économique de leurs entreprises. Paradoxalement, nos sociétés profondément modelées par le processus constant de développement des connaissances et d'innovation technologique manquent d'instances d'analyse et d'évaluation de ces processus. Doit-on se résigner à une science proposant des savoirs parcellaires au service d'un développement économique aveugle? Quelles seraient les conditions pour susciter un processus d'innovation technologique attentif aux implications sociales de toute nouveauté? "Pourquoi la science?" aborde ces questions selon quatre orientations:
- les relations entre sciences et techniques,
- l'impact de la science et des techniques sur la culture,
- le rapport à l'économie,
- les régulations du développement scientifique.
Dialogue contrasté entre disciplines et orientations philosophiques variées, l'ouvrage interroge les enjeux du développement scientifique et technologique dans une société démocratique.
Note de contenu : Notes bibliogr. Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=268 Pourquoi la science ? : impacts et limites de la recherche [texte imprimé] / Michel Meulders, Directeur de publication, rédacteur en chef . - Seyssel : Champ vallon, 1997 . - 257 p. ; 21 cm. - (Collection Milieux, ISSN 0291-7157) .
ISBN : 2-87673-244-0
Langues : Français
Catégories : Philosophie:Philosophie des sciences
Sciences
Société et éthique:Dimension sociale:SociologieMots-clés : RECHERCHE "Recherche--Aspect_social" "SCIENCE--Essai" "Sciences_et_civilisation" "Sciences--Philosophie" "Recherche--Sociologie" "Sciences--Aspect_social" "Économie_politique--Philosophie" Résumé : .
L'impact des développements scientifiques et technologiques sur l'évolution de la société et sur les modes de vie n'est plus à démontrer. Cette dernière moitié du vingtième siècle, en particulier, a connu l'accélération considérable d'un processus d'intégration d'éléments technologiques aux modes de production économique et à la vie sociale. Plus largement, depuis trois siècles, les développements scientifiques marquent profondément nos représentations culturelles. Les méthodes de production des savoirs scientifiques conduisent à une parcellisation de la connaissance et à un oubli du point de vue de la globalité. Par ailleurs, les producteurs du savoir pratique tendent à répondre aux attentes des commanditaires, essentiellement guidés par la rentabilité économique de leurs entreprises. Paradoxalement, nos sociétés profondément modelées par le processus constant de développement des connaissances et d'innovation technologique manquent d'instances d'analyse et d'évaluation de ces processus. Doit-on se résigner à une science proposant des savoirs parcellaires au service d'un développement économique aveugle? Quelles seraient les conditions pour susciter un processus d'innovation technologique attentif aux implications sociales de toute nouveauté? "Pourquoi la science?" aborde ces questions selon quatre orientations:
- les relations entre sciences et techniques,
- l'impact de la science et des techniques sur la culture,
- le rapport à l'économie,
- les régulations du développement scientifique.
Dialogue contrasté entre disciplines et orientations philosophiques variées, l'ouvrage interroge les enjeux du développement scientifique et technologique dans une société démocratique.
Note de contenu : Notes bibliogr. Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=268 Exemplaires
Code-barres Cote Support Disponibilité 10851 05MEU Ouvrage Disponible La vie et la mort des monstres
Titre : La vie et la mort des monstres Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Claude Beaune, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Université Jean Moulin, Editeur scientifique Editeur : Seyssel : Champ vallon Année de publication : 2004 Collection : Milieux, ISSN 0291-71576 Importance : 254 p. Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 2-87673-396-X Prix : 24 EUR Note générale : Publ. à l'occasion du colloque organisé par la Faculté de philosophie de l'Université Jean-Moulin (Lyon 3), les 16 et 17 mai 2003 Langues : Français Catégories : Société et éthique:Dimension sociale:Tabou Mots-clés : "Monstruosités--Congrès" "Monstres--Aspect_symbolique" "Monstres--Aspect_religieux" "Monstres--Aspect_médical" Résumé : .
Le montre, dit G. Ganguilhem, «met en question la vie» car il interroge l'ordre qui est le sien. Il touche aussi à la mort, à toutes les morts naturelles et surtout surnaturelles. Il est unique, inclassable, indicible peut-être et fantastique à coup sûr. La science n'a pas renoncé à le comprendre, à le fabriquer même, mais elle n'épuise pas la question: l'image du monstre, entre vie et mort, nous convie à interroger la dernière image du miroir, celle de notre clair-obscur.
Textes de:
Jean-Claude BEAUNE; Gérard CARRET; Denis CETTOUR; Gérard CHAZAL; François DAGOGNET; Robert DAMIEN; Jérôme DARGENT; Denis FOREST; Jean GAYON; Pierre GUENANCIA; Jacques LAMBERT; Pascal MAIRE; Daniel PARROCHIA; Marie-Frédérique PELLEGRIN; Franck PERRET-GENTIL; Roland QUILLIOT; Jean-Christophe THALABARD.
Note de contenu : Notes bibliogr. Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=2448 La vie et la mort des monstres [texte imprimé] / Jean-Claude Beaune, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Université Jean Moulin, Editeur scientifique . - Seyssel : Champ vallon, 2004 . - 254 p. : ill., couv. ill. en coul. ; 21 cm. - (Milieux, ISSN 0291-71576) .
ISBN : 2-87673-396-X : 24 EUR
Publ. à l'occasion du colloque organisé par la Faculté de philosophie de l'Université Jean-Moulin (Lyon 3), les 16 et 17 mai 2003
Langues : Français
Catégories : Société et éthique:Dimension sociale:Tabou Mots-clés : "Monstruosités--Congrès" "Monstres--Aspect_symbolique" "Monstres--Aspect_religieux" "Monstres--Aspect_médical" Résumé : .
Le montre, dit G. Ganguilhem, «met en question la vie» car il interroge l'ordre qui est le sien. Il touche aussi à la mort, à toutes les morts naturelles et surtout surnaturelles. Il est unique, inclassable, indicible peut-être et fantastique à coup sûr. La science n'a pas renoncé à le comprendre, à le fabriquer même, mais elle n'épuise pas la question: l'image du monstre, entre vie et mort, nous convie à interroger la dernière image du miroir, celle de notre clair-obscur.
Textes de:
Jean-Claude BEAUNE; Gérard CARRET; Denis CETTOUR; Gérard CHAZAL; François DAGOGNET; Robert DAMIEN; Jérôme DARGENT; Denis FOREST; Jean GAYON; Pierre GUENANCIA; Jacques LAMBERT; Pascal MAIRE; Daniel PARROCHIA; Marie-Frédérique PELLEGRIN; Franck PERRET-GENTIL; Roland QUILLIOT; Jean-Christophe THALABARD.
Note de contenu : Notes bibliogr. Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=2448 Exemplaires
Code-barres Cote Support Disponibilité 11868 11BEA Ouvrage Disponible Physiologie de la veuve / Anne Carol
Titre : Physiologie de la veuve : une histoire médicale de la guillotine Type de document : texte imprimé Auteurs : Anne Carol, Auteur Editeur : Seyssel : Champ vallon Année de publication : impr. 2012, cop. 2012 Collection : La Chose publique Importance : 1 vol. (308 p.) Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 22 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-87673-582-8 Prix : 27 EUR Catégories : Réanimation - Fin de vie:Attitude envers la mort
Réanimation - Fin de vie:Mort
Société et éthique:Dimension sociale:HistoireMots-clés : "Guillotine--Histoire" "Décapitation--Aspect_médical" "Peine_de_mort" "Débats_et_controverses" Mort "Décollation--histoire" Résumé : .
Conçue par un médecin et par un chirurgien, la guillotine succède aux supplices d'Ancien Régime et invente la mort pénale idéale : prompte et douce. Mais des doutes surgissent très vite sur son instantanéité. Comment concevoir qu'une tête séparée en une fraction de seconde du corps soit immédiatement et totalement privée de vie, de conscience, de sensation ? Et si la mort infligée n'est pas immédiate, quelle souffrance le décapité n'endure-t-il pas. Cette possibilité physiologique, discutée très tôt par les médecins, envahit l'art, l'imaginaire et les débats autour de la peine de mort tout au long du XIXe siècle. Elle alimente un dialogue entre la société et ces experts autour de l'humanité de la guillotine et ses alternatives possibles. Mais elle offre aussi aux médecins, partagés entre le désir de rassurer leurs contemporains et celui d'assouvir leur curiosité de physiologistes, des conditions d'expérimentation proches de la vivisection, qu'il s'agisse de vérifier la survie éventuelle au pied de l'échafaud ou de tenter de transfuser les têtes exsangues au laboratoire. Se pose alors la question du corps du condamné, de ses usages, de sa dignité au regard de la médecine et de la société, et des pouvoirs qui s'exercent sur lui ; un corps dont les condamnés n'affirmeront que tardivement le droit à disposer post mortem, à la fin du XIXe siècle.
Anne Carol est professeur d'histoire contemporaine à l'Université d'Aix-Marseille I et membre de l'Institut Universitaire de France. Elle a notamment publié Les Médecins et la mort, XIXe-XXe siècles (Aubier, 2004, Prix de la Société Française d'Histoire de la Médecine).Note de contenu : Bibliogr. p. 307-[309]. Notes bibliogr. Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6993 Physiologie de la veuve : une histoire médicale de la guillotine [texte imprimé] / Anne Carol, Auteur . - Seyssel : Champ vallon, impr. 2012, cop. 2012 . - 1 vol. (308 p.) : ill., couv. ill. en coul. ; 22 cm. - (La Chose publique) .
ISBN : 978-2-87673-582-8 : 27 EUR
Catégories : Réanimation - Fin de vie:Attitude envers la mort
Réanimation - Fin de vie:Mort
Société et éthique:Dimension sociale:HistoireMots-clés : "Guillotine--Histoire" "Décapitation--Aspect_médical" "Peine_de_mort" "Débats_et_controverses" Mort "Décollation--histoire" Résumé : .
Conçue par un médecin et par un chirurgien, la guillotine succède aux supplices d'Ancien Régime et invente la mort pénale idéale : prompte et douce. Mais des doutes surgissent très vite sur son instantanéité. Comment concevoir qu'une tête séparée en une fraction de seconde du corps soit immédiatement et totalement privée de vie, de conscience, de sensation ? Et si la mort infligée n'est pas immédiate, quelle souffrance le décapité n'endure-t-il pas. Cette possibilité physiologique, discutée très tôt par les médecins, envahit l'art, l'imaginaire et les débats autour de la peine de mort tout au long du XIXe siècle. Elle alimente un dialogue entre la société et ces experts autour de l'humanité de la guillotine et ses alternatives possibles. Mais elle offre aussi aux médecins, partagés entre le désir de rassurer leurs contemporains et celui d'assouvir leur curiosité de physiologistes, des conditions d'expérimentation proches de la vivisection, qu'il s'agisse de vérifier la survie éventuelle au pied de l'échafaud ou de tenter de transfuser les têtes exsangues au laboratoire. Se pose alors la question du corps du condamné, de ses usages, de sa dignité au regard de la médecine et de la société, et des pouvoirs qui s'exercent sur lui ; un corps dont les condamnés n'affirmeront que tardivement le droit à disposer post mortem, à la fin du XIXe siècle.
Anne Carol est professeur d'histoire contemporaine à l'Université d'Aix-Marseille I et membre de l'Institut Universitaire de France. Elle a notamment publié Les Médecins et la mort, XIXe-XXe siècles (Aubier, 2004, Prix de la Société Française d'Histoire de la Médecine).Note de contenu : Bibliogr. p. 307-[309]. Notes bibliogr. Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6993 Exemplaires
Code-barres Cote Support Disponibilité 11720 10CAR Ouvrage Disponible
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