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Auteur William Saad Hossne |
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Committees for ethics in research involving human subjects in Journal International de Bioéthique, Vol.19 N°1-2 (Mars - Juin 2008)
[article]
Titre : Committees for ethics in research involving human subjects Type de document : texte imprimé Auteurs : William Saad Hossne, Auteur ; Sonia Vieira, Auteur ; Corina Bontempo Duca De Freitas, Auteur Année de publication : 2008 Article en page(s) : p. 131-141 Langues : Anglais Mots-clés : "Comité_éthique_de_la_recherche" "Essai_thérapeutique" "Sujet_se_prêtant_à_la_recherche" "Règle_de_bonne_pratique" Brésil Résumé : .
Depuis octobre 1996 il existe au Brésil des directives pour la recherche utilisant des sujets humains. Désormais les sujets humains savent si leur traitement fait partie de la recherche. Le mensonge n'est plus toléré. Mais il ne suffit pas de dire que nous proposons une explication au sujet potentiel et que nous proposons un choix avant qu'il ne soit confronté à un formulaire de consentement éclairé. Comme dans tous les domaines d'activité professionnelle, une étude scientifique a besoin de contrôles sociaux. Au Brésil, l'ultime responsabilité d'une étude réside avec le chercheur, mais dans chaque institution engagée dans la recherche il y a un comité d'éthique pour la recherche. Tous les comités sont subordonnés à la Commission Nationale de l'Ethique dans la Recherche, qui est soumise à l'Institut Brésilien de la Santé. Au cours de 2005 environ 17000 protocoles concernant 700000 sujets humains ont été examinés par 475 comités répartis sur tout le pays. Environ 7000 personnes travaillent actuellement au sein de ces comités.Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=4269
in Journal International de Bioéthique > Vol.19 N°1-2 (Mars - Juin 2008) . - p. 131-141[article] Committees for ethics in research involving human subjects [texte imprimé] / William Saad Hossne, Auteur ; Sonia Vieira, Auteur ; Corina Bontempo Duca De Freitas, Auteur . - 2008 . - p. 131-141.
Langues : Anglais
in Journal International de Bioéthique > Vol.19 N°1-2 (Mars - Juin 2008) . - p. 131-141
Mots-clés : "Comité_éthique_de_la_recherche" "Essai_thérapeutique" "Sujet_se_prêtant_à_la_recherche" "Règle_de_bonne_pratique" Brésil Résumé : .
Depuis octobre 1996 il existe au Brésil des directives pour la recherche utilisant des sujets humains. Désormais les sujets humains savent si leur traitement fait partie de la recherche. Le mensonge n'est plus toléré. Mais il ne suffit pas de dire que nous proposons une explication au sujet potentiel et que nous proposons un choix avant qu'il ne soit confronté à un formulaire de consentement éclairé. Comme dans tous les domaines d'activité professionnelle, une étude scientifique a besoin de contrôles sociaux. Au Brésil, l'ultime responsabilité d'une étude réside avec le chercheur, mais dans chaque institution engagée dans la recherche il y a un comité d'éthique pour la recherche. Tous les comités sont subordonnés à la Commission Nationale de l'Ethique dans la Recherche, qui est soumise à l'Institut Brésilien de la Santé. Au cours de 2005 environ 17000 protocoles concernant 700000 sujets humains ont été examinés par 475 comités répartis sur tout le pays. Environ 7000 personnes travaillent actuellement au sein de ces comités.Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=4269 Futile and/or useless medical care: from anguish to the serenity of a bioethical balance / William Saad Hossne in Journal International de Bioéthique, Vol.25 N°4 (Décembre 2014)
[article]
Titre : Futile and/or useless medical care: from anguish to the serenity of a bioethical balance Type de document : texte imprimé Auteurs : William Saad Hossne, Auteur ; Leo Pessini, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : p. 83-109 Langues : Anglais Mots-clés : "ethique_clinique" "traitement_inutile" "acharnement_thérapeutique" "analyse_éthique" Résumé : .
La souffrance prolongée du processus de la mort, qui ajoute plus de souffrances et prolonge la mort plutôt qu’éteindre la durée de vie, est l’un des problèmes bioéthiques les plus complexes débattus aujourd’hui dans le contexte des soins de fin de vie. La complexité commence dans la définition même de cette problématique bioéthique. Notre quête est marquée par « l’angoisse créative » (pas celle pathologique, qui nous paralyse face à la vie), qui vise à identifier les différents termes et les néologismes afin de nommer et de définir l’enjeu bioéthique : dystanasie, la médecine et/ou le traitement vain et inutile, afin de définir les gestes diagnostiques et thérapeutiques médicaux qui ne sont plus bénéfiques pour le patient dans ses derniers stades de la vie. Pour la solution de la problématique bioéthique, nous avons recours à des « lumières » dans la littérature scientifique médicale et bioéthique internationales, ainsi que dans la tradition brésilienne de l’éthique médicale, dans sa version codifiée. Bien qu’un traitement particulier puisse être vain et donc inutile, le soin, lui, ne sera jamais vain et inutile. Au c ?ur de toutes les actions de soins doit être présente la « philia » (amour, amitié). Oui, nous pouvons être guéris d’une maladie mortelle, mais pas de notre mortalité et de la finitude. Notre condition d’exister n’est pas une pathologie. Lorsque nous oublions cela, nous tombons dans la technolatrie, et les instruments de guérison et de soins se transforment facilement en outils de torture. Cet article cherche à présenter une méthodologie de la façon de gérer ces situations éthiquement conflictuelles en approfondissant certains concepts éthiques fondamentaux, tels que le processus de délibération, la décision et la responsabilité des médecins ainsi que le rôle des commissions de bioéthique. La recherche de la réponse adéquate nous aide sur le chemin qui mène de l’angoisse à la sérénité.Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6886
in Journal International de Bioéthique > Vol.25 N°4 (Décembre 2014) . - p. 83-109[article] Futile and/or useless medical care: from anguish to the serenity of a bioethical balance [texte imprimé] / William Saad Hossne, Auteur ; Leo Pessini, Auteur . - 2015 . - p. 83-109.
Langues : Anglais
in Journal International de Bioéthique > Vol.25 N°4 (Décembre 2014) . - p. 83-109
Mots-clés : "ethique_clinique" "traitement_inutile" "acharnement_thérapeutique" "analyse_éthique" Résumé : .
La souffrance prolongée du processus de la mort, qui ajoute plus de souffrances et prolonge la mort plutôt qu’éteindre la durée de vie, est l’un des problèmes bioéthiques les plus complexes débattus aujourd’hui dans le contexte des soins de fin de vie. La complexité commence dans la définition même de cette problématique bioéthique. Notre quête est marquée par « l’angoisse créative » (pas celle pathologique, qui nous paralyse face à la vie), qui vise à identifier les différents termes et les néologismes afin de nommer et de définir l’enjeu bioéthique : dystanasie, la médecine et/ou le traitement vain et inutile, afin de définir les gestes diagnostiques et thérapeutiques médicaux qui ne sont plus bénéfiques pour le patient dans ses derniers stades de la vie. Pour la solution de la problématique bioéthique, nous avons recours à des « lumières » dans la littérature scientifique médicale et bioéthique internationales, ainsi que dans la tradition brésilienne de l’éthique médicale, dans sa version codifiée. Bien qu’un traitement particulier puisse être vain et donc inutile, le soin, lui, ne sera jamais vain et inutile. Au c ?ur de toutes les actions de soins doit être présente la « philia » (amour, amitié). Oui, nous pouvons être guéris d’une maladie mortelle, mais pas de notre mortalité et de la finitude. Notre condition d’exister n’est pas une pathologie. Lorsque nous oublions cela, nous tombons dans la technolatrie, et les instruments de guérison et de soins se transforment facilement en outils de torture. Cet article cherche à présenter une méthodologie de la façon de gérer ces situations éthiquement conflictuelles en approfondissant certains concepts éthiques fondamentaux, tels que le processus de délibération, la décision et la responsabilité des médecins ainsi que le rôle des commissions de bioéthique. La recherche de la réponse adéquate nous aide sur le chemin qui mène de l’angoisse à la sérénité.Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6886
pour une recherche utilisant le catalogue AMU: