Centre de Ressources et de Documentation de l'Espace Éthique PACA-Corse
En raison de circonstances exceptionnelles, l'accès au centre de documentation n'est possible que sur réservation.
A partir de cette page vous pouvez :
Retourner au premier écran avec les étagères virtuelles... | Votre compte |
Résultat de la recherche
2 résultat(s) recherche sur le mot-clé '"Consentement_parental"'
Ajouter le résultat dans votre panier Affiner la recherche Générer le flux rss de la recherche
Partager le résultat de cette recherche Interroger des sources externes
Dignity and informed consent in the treatment of mature minors / Bidemi Ademola Bello in Journal International de Bioéthique, Vol.21 N°4 (Décembre 2010)
[article]
Titre : Dignity and informed consent in the treatment of mature minors Type de document : texte imprimé Auteurs : Bidemi Ademola Bello, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : p. 103-122 Note générale : Dignity and biomedicine Langues : Anglais Mots-clés : Dignité "Consentement_éclairé" "Consentement_parental" Autonomie Mineur "Intérêt_de_l_enfant" Législation "Incapable_de_droit" "Refus_du_traitement" Résumé : .
Dans le monde d'aujourd'hui, comme en témoignent diverses dispositions dans le domaine du droit de l'homme, l'accent est mis sur l'affirmation et la protection des droits inébranlables de chaque personne et en particulier de la dignité humaine et du respect de l'autonomie humaine. Les professionnels de la santé se préoccupent de la protection du droit à la dignité de chaque patient. Ceci a conduit à la formulation de la notion de l'auto-détermination et du consentement éclairé dans les diagnostics médicaux et les traitements. Cependant, ces principes soulèvent un vrai souci surtout dans le domaine des mineurs matures, un groupe d'individus qui par leur conduite demandent un certain niveau de respect mais qui peuvent en même temps être considérés comme n'étant pas capables de prendre les «meilleures» décisions éclairées, surtout lorsqu'il s'agit de la santé.
Les questions suivantes peuvent résulter des soucis sus-cités:
- les jeunes matures ont-ils le droit à l'auto-détermination et au consentement éclairé malgré la crainte supposée qu'il leur manque la capacité à prendre des décisions éclairées?
- si non, qui devrait décider pour eux - leurs parents, le professionnel de la santé ou la société/le gouvernement (surtout étant donné que les 3 (trois) groupes concernés peuvent défendre des points de vue bien différents et contradictoires sur ce qui est le mieux pour l'enfant);
- si la réponse à la question initiale est oui, dans quelle mesure les mineurs matures doivent-ils être informés de leur choix médicaux et être autorisés à exercer leur droit à l'auto-détermination?
- faut-il les guider?
- et qui devrait les guider?
Pour résoudre le problème mentionné ci-dessus, il a fallu prendre en considération non seulement les dispositions juridiques et bio-éthiques de certains pays mais aussi les conventions internationales auxquelles plusieurs pays souscrivent.
Ensuite, il est devenu évident que la plupart des autorités pensent que les mineurs matures devraient être pleinement informés et être autorisés à avoir leur mot à dire dans les décisions concernant leur santé, tout en les conseillant avec peu d'exceptions.
Finalement, vu l'importance du respect pour la dignité humaine, l'autonomie et l'auto-détermination ainsi que de l'information médicale dans notre monde d'aujourd'hui, il faudra recommander que les lois dans un certain nombre de juridictions soient révisées afin de refléter la tendance internationale actuelle et ensuite amendées ou remplacées selon le besoin.Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=5385
in Journal International de Bioéthique > Vol.21 N°4 (Décembre 2010) . - p. 103-122[article] Dignity and informed consent in the treatment of mature minors [texte imprimé] / Bidemi Ademola Bello, Auteur . - 2011 . - p. 103-122.
Dignity and biomedicine
Langues : Anglais
in Journal International de Bioéthique > Vol.21 N°4 (Décembre 2010) . - p. 103-122
Mots-clés : Dignité "Consentement_éclairé" "Consentement_parental" Autonomie Mineur "Intérêt_de_l_enfant" Législation "Incapable_de_droit" "Refus_du_traitement" Résumé : .
Dans le monde d'aujourd'hui, comme en témoignent diverses dispositions dans le domaine du droit de l'homme, l'accent est mis sur l'affirmation et la protection des droits inébranlables de chaque personne et en particulier de la dignité humaine et du respect de l'autonomie humaine. Les professionnels de la santé se préoccupent de la protection du droit à la dignité de chaque patient. Ceci a conduit à la formulation de la notion de l'auto-détermination et du consentement éclairé dans les diagnostics médicaux et les traitements. Cependant, ces principes soulèvent un vrai souci surtout dans le domaine des mineurs matures, un groupe d'individus qui par leur conduite demandent un certain niveau de respect mais qui peuvent en même temps être considérés comme n'étant pas capables de prendre les «meilleures» décisions éclairées, surtout lorsqu'il s'agit de la santé.
Les questions suivantes peuvent résulter des soucis sus-cités:
- les jeunes matures ont-ils le droit à l'auto-détermination et au consentement éclairé malgré la crainte supposée qu'il leur manque la capacité à prendre des décisions éclairées?
- si non, qui devrait décider pour eux - leurs parents, le professionnel de la santé ou la société/le gouvernement (surtout étant donné que les 3 (trois) groupes concernés peuvent défendre des points de vue bien différents et contradictoires sur ce qui est le mieux pour l'enfant);
- si la réponse à la question initiale est oui, dans quelle mesure les mineurs matures doivent-ils être informés de leur choix médicaux et être autorisés à exercer leur droit à l'auto-détermination?
- faut-il les guider?
- et qui devrait les guider?
Pour résoudre le problème mentionné ci-dessus, il a fallu prendre en considération non seulement les dispositions juridiques et bio-éthiques de certains pays mais aussi les conventions internationales auxquelles plusieurs pays souscrivent.
Ensuite, il est devenu évident que la plupart des autorités pensent que les mineurs matures devraient être pleinement informés et être autorisés à avoir leur mot à dire dans les décisions concernant leur santé, tout en les conseillant avec peu d'exceptions.
Finalement, vu l'importance du respect pour la dignité humaine, l'autonomie et l'auto-détermination ainsi que de l'information médicale dans notre monde d'aujourd'hui, il faudra recommander que les lois dans un certain nombre de juridictions soient révisées afin de refléter la tendance internationale actuelle et ensuite amendées ou remplacées selon le besoin.Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=5385 Information, consentement et refus de l'enfant dans la recherche biomédicale / Chantal Aubert-Fourmy in Journal International de Bioéthique, Vol.10 N°1-2 (Mars-juin 1999)
[article]
Titre : Information, consentement et refus de l'enfant dans la recherche biomédicale Type de document : texte imprimé Auteurs : Chantal Aubert-Fourmy, Auteur Année de publication : 2004 Article en page(s) : p. 125-134 Langues : Français Mots-clés : "Recherche_sur_homme" "Consentement_éclairé" Mineur Enfant Enquête "Consentement_parental" Cancer "Information_du_patient" "Information_des_parents" Résumé : .
La Loi Huriet-Sérusclat réglementant la recherche biomédicale stipule que «le consentement du mineur... doit être recherché lorsqu'il est apte à exprimer sa volonté. Il ne peut être passé outre à son refus ou à la révocation de son consentement». Quels critères permettent de juger si un enfant est apte à exprimer sa volonté? Comment, à partir de quel âge et par qui va-t-il être informé? J'ai tenté de répondre à ces questions en menant une enquête auprès de pédiatres investigateurs, de parents, d'enfants de 6 à 11 ans et de spécialistes de la communication pour enfant. 83% des pédiatres informent les enfants de la recherche biomédicale à laquelle ils vont participer et 75% leur demandent leur consentement. Un tiers d'entre eux s'aide d'une lettre d'information rédigée spécialement à leur intention. 96% des parents pensent qu'un enfant doit donner son consentement si l'on envisage sa participation à une étude biomédicale. 40% des parents veulent informer eux-mêmes leur enfant. Les enfants, eux, veulent tous être informés par le médecin, dès l'âge de 6 ans, ne demandant la participation des parents qu'au moment de la prise de décision. Ils privilégient le dialogue avec «quelqu'un de très compétent» par rapport à une lettre d'information qui leur paraît secondaire.
Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=2997
in Journal International de Bioéthique > Vol.10 N°1-2 (Mars-juin 1999) . - p. 125-134[article] Information, consentement et refus de l'enfant dans la recherche biomédicale [texte imprimé] / Chantal Aubert-Fourmy, Auteur . - 2004 . - p. 125-134.
Langues : Français
in Journal International de Bioéthique > Vol.10 N°1-2 (Mars-juin 1999) . - p. 125-134
Mots-clés : "Recherche_sur_homme" "Consentement_éclairé" Mineur Enfant Enquête "Consentement_parental" Cancer "Information_du_patient" "Information_des_parents" Résumé : .
La Loi Huriet-Sérusclat réglementant la recherche biomédicale stipule que «le consentement du mineur... doit être recherché lorsqu'il est apte à exprimer sa volonté. Il ne peut être passé outre à son refus ou à la révocation de son consentement». Quels critères permettent de juger si un enfant est apte à exprimer sa volonté? Comment, à partir de quel âge et par qui va-t-il être informé? J'ai tenté de répondre à ces questions en menant une enquête auprès de pédiatres investigateurs, de parents, d'enfants de 6 à 11 ans et de spécialistes de la communication pour enfant. 83% des pédiatres informent les enfants de la recherche biomédicale à laquelle ils vont participer et 75% leur demandent leur consentement. Un tiers d'entre eux s'aide d'une lettre d'information rédigée spécialement à leur intention. 96% des parents pensent qu'un enfant doit donner son consentement si l'on envisage sa participation à une étude biomédicale. 40% des parents veulent informer eux-mêmes leur enfant. Les enfants, eux, veulent tous être informés par le médecin, dès l'âge de 6 ans, ne demandant la participation des parents qu'au moment de la prise de décision. Ils privilégient le dialogue avec «quelqu'un de très compétent» par rapport à une lettre d'information qui leur paraît secondaire.
Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=2997
pour une recherche utilisant le catalogue AMU: