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Blood donation and/or donated blood acceptance: The different stakeholders’ ethical considerations / O. Garraud ; J.-D. Tissot in Ethics, Medicine & Public Health, Vol.2 N°2 (Avril-Juin 2016)
[article]
Titre : Blood donation and/or donated blood acceptance: The different stakeholders’ ethical considerations Type de document : texte imprimé Auteurs : O. Garraud, Auteur ; J.-D. Tissot, Auteur Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 213-219 Langues : Anglais Mots-clés : Sang "Transfusion_sanguine" Éthique "Don_de_sang" Ajournement Sécurité Résumé : .
La transfusion sanguine dépend de dons de sang et donc de donneurs. Ces donneurs sont essentiellement des volontaires bénévoles, anonymes et non rémunérés, dont la motivation est d’aider les plus faibles et les malades. Bien que le volontariat soit en général considéré comme la pierre angulaire du don bénévole et de l’éthique associée au don de sang, et donc qu’il soit reconnu comme essentiel, il ne suffit pas puisque le sang donné (offert) doit l’être sans qu’il porte de défaut ou de caractère vicié, comme par exemple une infection transmissible. Ce paradigme — né après les affaires dites du sang contaminé — a complètement modifié la primauté de l’altruisme pour satisfaire un autre type d’équilibre. Qui doit porter par exemple la faute d’un sang vicié ? Est-ce sur l’établissement de transfusion qui en a accepté le don, ou sur le candidat au don qui n’a pas su s’interdire de donner ? Aucun don de sang ne saurait être totalement dénué de risque pour le receveur ; cela étant, principes de et de réalité s’intriquent pour limiter les situations considérées comme « à risque ». En général, on considère que l’ajournement au don de candidats jugés « à risque » est première pour garantir la qualité et la sécurité de la composante « don » de la chaîne transfusionnelle ; ceci fonctionne à quelques exceptions près. Une exception notable est la fin de précaution pour le risque lié aux relations sexuelles entre hommes ; cette fin d’ajournement tend en effet à diffuser pays à pays, avec une réévaluation nouvelle des risques induits. Cet essai tente de revisiter les grands principes éthiques du don de sang, de prendre en considération non seulement l’ajournement au don mais la non-acceptation de la candidature au don, ce qui est différent ; des points de vue, parfois contradictoires, des différentes parties prenantes seront évoqués sur ce sujet.Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=7191
in Ethics, Medicine & Public Health > Vol.2 N°2 (Avril-Juin 2016) . - p. 213-219[article] Blood donation and/or donated blood acceptance: The different stakeholders’ ethical considerations [texte imprimé] / O. Garraud, Auteur ; J.-D. Tissot, Auteur . - 2016 . - p. 213-219.
Langues : Anglais
in Ethics, Medicine & Public Health > Vol.2 N°2 (Avril-Juin 2016) . - p. 213-219
Mots-clés : Sang "Transfusion_sanguine" Éthique "Don_de_sang" Ajournement Sécurité Résumé : .
La transfusion sanguine dépend de dons de sang et donc de donneurs. Ces donneurs sont essentiellement des volontaires bénévoles, anonymes et non rémunérés, dont la motivation est d’aider les plus faibles et les malades. Bien que le volontariat soit en général considéré comme la pierre angulaire du don bénévole et de l’éthique associée au don de sang, et donc qu’il soit reconnu comme essentiel, il ne suffit pas puisque le sang donné (offert) doit l’être sans qu’il porte de défaut ou de caractère vicié, comme par exemple une infection transmissible. Ce paradigme — né après les affaires dites du sang contaminé — a complètement modifié la primauté de l’altruisme pour satisfaire un autre type d’équilibre. Qui doit porter par exemple la faute d’un sang vicié ? Est-ce sur l’établissement de transfusion qui en a accepté le don, ou sur le candidat au don qui n’a pas su s’interdire de donner ? Aucun don de sang ne saurait être totalement dénué de risque pour le receveur ; cela étant, principes de et de réalité s’intriquent pour limiter les situations considérées comme « à risque ». En général, on considère que l’ajournement au don de candidats jugés « à risque » est première pour garantir la qualité et la sécurité de la composante « don » de la chaîne transfusionnelle ; ceci fonctionne à quelques exceptions près. Une exception notable est la fin de précaution pour le risque lié aux relations sexuelles entre hommes ; cette fin d’ajournement tend en effet à diffuser pays à pays, avec une réévaluation nouvelle des risques induits. Cet essai tente de revisiter les grands principes éthiques du don de sang, de prendre en considération non seulement l’ajournement au don mais la non-acceptation de la candidature au don, ce qui est différent ; des points de vue, parfois contradictoires, des différentes parties prenantes seront évoqués sur ce sujet.Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=7191
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