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Principes d'éthique médicale / Henri Brunswic ; Michel Pierson
Titre : Principes d'éthique médicale : ouvr. collectif sous la dir. de Henri Brunswic & Michel Pierson Type de document : texte imprimé Auteurs : Henri Brunswic, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Michel Pierson, Directeur de publication, rédacteur en chef Editeur : Paris : Vuibert Année de publication : 1999 Importance : IX-244 p. Format : 23 cm ISBN/ISSN/EAN : 2-7117-5264-X Langues : Français Catégories : Enseignements - Communications:Références
Ethique:Ethique biomédicale
Médecine:Relation entre professionnels de santé et patientsMots-clés : "Éthique_médicale" "Relations_médecin--patient" "RELATION_MEDECIN--MALADE" Résumé : .
« Le médecin doit remplir plusieurs missions :
affirmer le diagnostic, fixer les indications thérapeutiques, transmettre la vérité au malade, lui expliquer les raisons de ses décisions. La médecine du passé est, pour une très large part, restée une médecine thérapeutique s'efforçant, selon les préceptes hippocratiques, de retarder la mort et de diminuer la souffrance.
La médecine du futur, très différente, sera pour une large part préventive avec, le long de chaque voie, des questions éthiques nouvelles ou renouvelées.
Le médecin apprend pendant ses études et tout au long de sa vie, or l'éthique ne s'enseigne pas comme la chimie : des méthodes particulières doivent être proposées et, dès maintenant, un très vigoureux effort d'éducation doit être entrepris.
La biologie moderne montre qu'entre les hommes il n'y a pas inégalité mais différence, que tel caractère avantageux ici est désavantageux là (ainsi telle anomalie de l'hémoglobine protège contre le paludisme). Cette éducation apportera aux générations futures les informations nécessaires, tant du côté de la biologie que du côté de l'éthique et leur permettra d'allier les progrès de la connaissance à ce respect de la personne qui gouverne toute la bioéthique ».
D'après Jean BERNARD, dans sa conclusion.
Sous la direction de
Henri BRUNSWIC & Michel PIERSON
avec le concours de 17 enseignants et spécialistes dont le Pr Jean BERNARD.
Préface du Pr Jean-François MATTEI, rapporteur des lois sur la bioéthique
Postface du Pr Bernard GLORION, président de l'Ordre des médecins
Plan du livre
Préface : J.-F. Mattei
Adresse : J. Roland
Introduction : H. Brunswic et M. Pierson
I. La relation médecin-malade : les grands principes
G. Rauber, M. Pierson, F. Baumann, ]. Werner, P. Gérard, A. Henry
II. Aujourd'hui, l'homme modifié par la médecine
M. Pierson, A. Clèdes, B. Foliguet, J.-M. Mantz
III. Dérives et trahisons de l'éthique
I. Ferai et H. Brunswic, M. Pierson, M. Reviron
IV. Perspectives pour la médecine de l'avenir
J.-F. Grilliat et 0. Jeandel, J.-M. Mantz, P. Deschamps
Conclusions
J. Bernard, B. Clorion
Annexes : textes législatifs
Note de contenu : Bibliogr. p. 241-244 Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=19 Principes d'éthique médicale : ouvr. collectif sous la dir. de Henri Brunswic & Michel Pierson [texte imprimé] / Henri Brunswic, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Michel Pierson, Directeur de publication, rédacteur en chef . - Paris : Vuibert, 1999 . - IX-244 p. ; 23 cm.
ISBN : 2-7117-5264-X
Langues : Français
Catégories : Enseignements - Communications:Références
Ethique:Ethique biomédicale
Médecine:Relation entre professionnels de santé et patientsMots-clés : "Éthique_médicale" "Relations_médecin--patient" "RELATION_MEDECIN--MALADE" Résumé : .
« Le médecin doit remplir plusieurs missions :
affirmer le diagnostic, fixer les indications thérapeutiques, transmettre la vérité au malade, lui expliquer les raisons de ses décisions. La médecine du passé est, pour une très large part, restée une médecine thérapeutique s'efforçant, selon les préceptes hippocratiques, de retarder la mort et de diminuer la souffrance.
La médecine du futur, très différente, sera pour une large part préventive avec, le long de chaque voie, des questions éthiques nouvelles ou renouvelées.
Le médecin apprend pendant ses études et tout au long de sa vie, or l'éthique ne s'enseigne pas comme la chimie : des méthodes particulières doivent être proposées et, dès maintenant, un très vigoureux effort d'éducation doit être entrepris.
La biologie moderne montre qu'entre les hommes il n'y a pas inégalité mais différence, que tel caractère avantageux ici est désavantageux là (ainsi telle anomalie de l'hémoglobine protège contre le paludisme). Cette éducation apportera aux générations futures les informations nécessaires, tant du côté de la biologie que du côté de l'éthique et leur permettra d'allier les progrès de la connaissance à ce respect de la personne qui gouverne toute la bioéthique ».
D'après Jean BERNARD, dans sa conclusion.
Sous la direction de
Henri BRUNSWIC & Michel PIERSON
avec le concours de 17 enseignants et spécialistes dont le Pr Jean BERNARD.
Préface du Pr Jean-François MATTEI, rapporteur des lois sur la bioéthique
Postface du Pr Bernard GLORION, président de l'Ordre des médecins
Plan du livre
Préface : J.-F. Mattei
Adresse : J. Roland
Introduction : H. Brunswic et M. Pierson
I. La relation médecin-malade : les grands principes
G. Rauber, M. Pierson, F. Baumann, ]. Werner, P. Gérard, A. Henry
II. Aujourd'hui, l'homme modifié par la médecine
M. Pierson, A. Clèdes, B. Foliguet, J.-M. Mantz
III. Dérives et trahisons de l'éthique
I. Ferai et H. Brunswic, M. Pierson, M. Reviron
IV. Perspectives pour la médecine de l'avenir
J.-F. Grilliat et 0. Jeandel, J.-M. Mantz, P. Deschamps
Conclusions
J. Bernard, B. Clorion
Annexes : textes législatifs
Note de contenu : Bibliogr. p. 241-244 Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=19 Exemplaires
Code-barres Cote Support Disponibilité 10151 02 BRU Ouvrage Disponible 10157 02 BRU Ouvrage Disponible 10152 02BRU Ouvrage Disponible 10154 02BRU Ouvrage Disponible 10153 02BRU Ouvrage Disponible Initiation à l'éthique médicale
Titre : Initiation à l'éthique médicale Type de document : texte imprimé Auteurs : Henri Brunswic, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Michel Pierson, Directeur de publication, rédacteur en chef Editeur : Paris : Vuibert Année de publication : 2002 Importance : X-245 p. Présentation : couv. ill. en coul. Format : 23 cm ISBN/ISSN/EAN : 2-7117-5276-3 Langues : Français Catégories : Enseignements - Communications:Références
Ethique:Ethique biomédicaleMots-clés : "Éthique_médicale" "Anthropologie_médicale" "Relations_médecin_patient" Résumé : .
«Le médecin doit remplir plusieurs missions:
affirmer le diagnostic, fixer les indications thérapeutiques, transmettre la vérité au malade, lui expliquer les raisons de ses décisions. La médecine du passé est, pour une très large part, restée une médecine thérapeutique s'efforçant, selon les préceptes hippocratiques, de retarder la mort et de diminuer la souffrance.
La médecine du futur, très différente, sera pour une large part préventive avec, le long de chaque voie, des questions éthiques nouvelles ou renouvelées.
Le médecin apprend pendant ses études et tout au long de sa vie, or l'éthique ne s'enseigne pas comme la chimie: des méthodes particulières doivent être proposées et, dès maintenant, un très vigoureux effort d'éducation doit être entrepris.
La biologie moderne montre qu'entre les hommes il n'y a pas inégalité mais différence, que tel caractère avantageux ici est désavantageux là (ainsi telle anomalie de l'hémoglobine protège contre le paludisme). Cette éducation apportera aux générations futures les informations nécessaires, tant du côté de la biologie que du côté de l'éthique et leur permettra d'allier les progrès de la connaissance à ce respect de la personne qui gouverne toute la bioéthique».
D'après Jean BERNARD, dans sa conclusion.
Sous la direction de
Henri BRUNSWIC & Michel PIERSON
avec le concours de 17 enseignants et spécialistes dont le Pr Jean BERNARD.
Préface du Pr Jean-François MATTEI, rapporteur des lois sur la bioéthique
Postface du Pr Bernard GLORION, président de l'Ordre des médecins
Plan du livre
Préface : J.-F. Mattei
Adresse : J. Roland
Introduction : H. Brunswic et M. Pierson
I. La relation médecin-malade : les grands principes
G. Rauber, M. Pierson, F. Baumann, ]. Werner, P. Gérard, A. Henry
II. Aujourd'hui, l'homme modifié par la médecine
M. Pierson, A. Clèdes, B. Foliguet, J.-M. Mantz
III. Dérives et trahisons de l'éthique
I. Ferai et H. Brunswic, M. Pierson, M. Reviron
IV. Perspectives pour la médecine de l'avenir
J.-F. Grilliat et 0. Jeandel, J.-M. Mantz, P. Deschamps
Conclusions
J. Bernard, B. Clorion
Annexes : textes législatifs
Bibliographie thématique
Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=1144 Initiation à l'éthique médicale [texte imprimé] / Henri Brunswic, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Michel Pierson, Directeur de publication, rédacteur en chef . - Paris : Vuibert, 2002 . - X-245 p. : couv. ill. en coul. ; 23 cm.
ISBN : 2-7117-5276-3
Langues : Français
Catégories : Enseignements - Communications:Références
Ethique:Ethique biomédicaleMots-clés : "Éthique_médicale" "Anthropologie_médicale" "Relations_médecin_patient" Résumé : .
«Le médecin doit remplir plusieurs missions:
affirmer le diagnostic, fixer les indications thérapeutiques, transmettre la vérité au malade, lui expliquer les raisons de ses décisions. La médecine du passé est, pour une très large part, restée une médecine thérapeutique s'efforçant, selon les préceptes hippocratiques, de retarder la mort et de diminuer la souffrance.
La médecine du futur, très différente, sera pour une large part préventive avec, le long de chaque voie, des questions éthiques nouvelles ou renouvelées.
Le médecin apprend pendant ses études et tout au long de sa vie, or l'éthique ne s'enseigne pas comme la chimie: des méthodes particulières doivent être proposées et, dès maintenant, un très vigoureux effort d'éducation doit être entrepris.
La biologie moderne montre qu'entre les hommes il n'y a pas inégalité mais différence, que tel caractère avantageux ici est désavantageux là (ainsi telle anomalie de l'hémoglobine protège contre le paludisme). Cette éducation apportera aux générations futures les informations nécessaires, tant du côté de la biologie que du côté de l'éthique et leur permettra d'allier les progrès de la connaissance à ce respect de la personne qui gouverne toute la bioéthique».
D'après Jean BERNARD, dans sa conclusion.
Sous la direction de
Henri BRUNSWIC & Michel PIERSON
avec le concours de 17 enseignants et spécialistes dont le Pr Jean BERNARD.
Préface du Pr Jean-François MATTEI, rapporteur des lois sur la bioéthique
Postface du Pr Bernard GLORION, président de l'Ordre des médecins
Plan du livre
Préface : J.-F. Mattei
Adresse : J. Roland
Introduction : H. Brunswic et M. Pierson
I. La relation médecin-malade : les grands principes
G. Rauber, M. Pierson, F. Baumann, ]. Werner, P. Gérard, A. Henry
II. Aujourd'hui, l'homme modifié par la médecine
M. Pierson, A. Clèdes, B. Foliguet, J.-M. Mantz
III. Dérives et trahisons de l'éthique
I. Ferai et H. Brunswic, M. Pierson, M. Reviron
IV. Perspectives pour la médecine de l'avenir
J.-F. Grilliat et 0. Jeandel, J.-M. Mantz, P. Deschamps
Conclusions
J. Bernard, B. Clorion
Annexes : textes législatifs
Bibliographie thématique
Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=1144 Exemplaires
Code-barres Cote Support Disponibilité 10155 02BRU Ouvrage Disponible 10156 02BRU Ouvrage Disponible La Recherche peut-elle se passer d'éthique? / Brigitte Debuire
Titre : La Recherche peut-elle se passer d'éthique? Type de document : texte imprimé Auteurs : Brigitte Debuire, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Emmanuel Hirsch, Directeur de publication, rédacteur en chef Editeur : Paris : Vuibert Année de publication : 2004 Autre Editeur : Paris : Assistance publique-Hôpitaux de Paris. Espace éthique Importance : 126 p. Présentation : couv. ill. Format : 24 cm ISBN/ISSN/EAN : 2-7117-7275-6 Langues : Français Catégories : Ethique:Ethique biomédicale
Sciences:Recherche:Recherche biomédicaleMots-clés : "Recherche--Aspect_moral--Congrès" "RECHERCHE--CONGRES" "ETHIQUE--CONGRES" Résumé : .
Il n'est pas de sujet qui franchisse davantage les frontières des disciplines que les questions d'éthique. Le monde universitaire dans son entier doit s'interroger sur ses responsabilités et les attentes de la société en matière de recherche scientifique. En s'impliquant dans cette réflexion, les universitaires assument la part essentielle de leur fonction au sein de la cité et apportent une contribution majeure dans l'élaboration du progrès social. Dans ces conditions, et même si cela semble aller de soi, il est indispensable de réaffirmer avec force la liberté de la recherche. Appliqué à cette dernière, le principe de précaution ne doit pas devenir un principe d'inaction qui aboutirait à une sclérose scientifique. En effet, le chercheur va au-delà du connu et, par conséquent, du sûr.
Par nature, les limites à la liberté de la recherche relèvent directement des chercheurs eux-mêmes. Toutefois elles doivent être discutées, définies et contrôlées par la société. Etant données les conséquences économiques et sociales des activités de recherche, la société a la responsabilité de définir et de soutenir les priorités de recherche. A l'heure actuelle, les outils d'évaluation de l'impact de la recherche sur la société sont malheureusement inexistants ou peu adéquats. Ils sont pourtant indispensables pour garantir la nécessaire transparence dans les choix politiques de la recherche.
Ramenée a des contingences exclusivement économiques, la recherche scientifique tend à s'organiser comme les autres activités marchandes. Cela va à l'encontre de toute justice sociale. Dans le même ordre d'idée, les priorités de recherche des pays développés ne coïncident pas nécessairement avec celles des pays en émergence, Le seul jeu du libre-échange — au sens libéral du terme — ne permet guère aux pays pauvres de combler leur retard structurel.
Par leurs connaissances, les scientifiques disposent de fait d'un pouvoir implicite considérable. A ce jour, ils n'en font pas un usage scandaleux sur le plan éthique. Les enquêtes d'opinion montrent que les citoyens expriment une remarquable confiance en leurs chercheurs. Ils ont donc le devoir de ne pas la trahir, en faisant preuve de responsabilité éthique dans leurs travaux.
Xavier Chapuisat
Brigitte Déduire est professeur, praticien hospitalier, chef de service de biochimie à l'hôpital Paul Brousse, AP-HP, et vice-présidente du conseil scientifique de l'Université Paris-Sud 11.
Emmanuel Hirsch est directeur de l'Espace éthique/AP-HP, directeur du Département de recherche en éthique Paris-Sud 11/AP-HP et professeur d'éthique médicale à la Faculté de médecine Paris-Sud 11.
Note de contenu : .
Actes du cinquième colloque de l'Université de Paris-Sud 11, 13 janvier 2004, Cité des sciences et de l'industrie, Paris.
Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=1238 La Recherche peut-elle se passer d'éthique? [texte imprimé] / Brigitte Debuire, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Emmanuel Hirsch, Directeur de publication, rédacteur en chef . - Paris : Vuibert : Paris : Assistance publique-Hôpitaux de Paris. Espace éthique, 2004 . - 126 p. : couv. ill. ; 24 cm.
ISBN : 2-7117-7275-6
Langues : Français
Catégories : Ethique:Ethique biomédicale
Sciences:Recherche:Recherche biomédicaleMots-clés : "Recherche--Aspect_moral--Congrès" "RECHERCHE--CONGRES" "ETHIQUE--CONGRES" Résumé : .
Il n'est pas de sujet qui franchisse davantage les frontières des disciplines que les questions d'éthique. Le monde universitaire dans son entier doit s'interroger sur ses responsabilités et les attentes de la société en matière de recherche scientifique. En s'impliquant dans cette réflexion, les universitaires assument la part essentielle de leur fonction au sein de la cité et apportent une contribution majeure dans l'élaboration du progrès social. Dans ces conditions, et même si cela semble aller de soi, il est indispensable de réaffirmer avec force la liberté de la recherche. Appliqué à cette dernière, le principe de précaution ne doit pas devenir un principe d'inaction qui aboutirait à une sclérose scientifique. En effet, le chercheur va au-delà du connu et, par conséquent, du sûr.
Par nature, les limites à la liberté de la recherche relèvent directement des chercheurs eux-mêmes. Toutefois elles doivent être discutées, définies et contrôlées par la société. Etant données les conséquences économiques et sociales des activités de recherche, la société a la responsabilité de définir et de soutenir les priorités de recherche. A l'heure actuelle, les outils d'évaluation de l'impact de la recherche sur la société sont malheureusement inexistants ou peu adéquats. Ils sont pourtant indispensables pour garantir la nécessaire transparence dans les choix politiques de la recherche.
Ramenée a des contingences exclusivement économiques, la recherche scientifique tend à s'organiser comme les autres activités marchandes. Cela va à l'encontre de toute justice sociale. Dans le même ordre d'idée, les priorités de recherche des pays développés ne coïncident pas nécessairement avec celles des pays en émergence, Le seul jeu du libre-échange — au sens libéral du terme — ne permet guère aux pays pauvres de combler leur retard structurel.
Par leurs connaissances, les scientifiques disposent de fait d'un pouvoir implicite considérable. A ce jour, ils n'en font pas un usage scandaleux sur le plan éthique. Les enquêtes d'opinion montrent que les citoyens expriment une remarquable confiance en leurs chercheurs. Ils ont donc le devoir de ne pas la trahir, en faisant preuve de responsabilité éthique dans leurs travaux.
Xavier Chapuisat
Brigitte Déduire est professeur, praticien hospitalier, chef de service de biochimie à l'hôpital Paul Brousse, AP-HP, et vice-présidente du conseil scientifique de l'Université Paris-Sud 11.
Emmanuel Hirsch est directeur de l'Espace éthique/AP-HP, directeur du Département de recherche en éthique Paris-Sud 11/AP-HP et professeur d'éthique médicale à la Faculté de médecine Paris-Sud 11.
Note de contenu : .
Actes du cinquième colloque de l'Université de Paris-Sud 11, 13 janvier 2004, Cité des sciences et de l'industrie, Paris.
Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=1238 Exemplaires
Code-barres Cote Support Disponibilité 10804 05DEB Ouvrage Disponible 10805 05DEB Ouvrage Disponible Ces enfants qui vivent le cancer d'un parent / Marie-France Delaigue-Cosset
Titre : Ces enfants qui vivent le cancer d'un parent Type de document : texte imprimé Auteurs : Marie-France Delaigue-Cosset, Auteur ; Nicole Landry-Dattée, Auteur Editeur : Paris : Assistance publique-Hôpitaux de Paris Année de publication : 2005 Autre Editeur : Paris : Vuibert Collection : Espace éthique, ISSN 1287-0404 Importance : 140 p. Présentation : couv. ill. Format : 24 cm ISBN/ISSN/EAN : 2-7117-7276-4 Langues : Français Catégories : Maladies:Etude des maladies:Cancer
Personne humaine:Corps humain - Etapes de la vie:Enfance
Réanimation - Fin de vie:Attitude envers la mort
Société et éthique:Dimension sociale:FamilleMots-clés : "Cancer--Aspect_psychologique" "Enfants_et_mort" "Parents_et_enfants" "Relations_parent_enfant" "Psychologie_infantile" "Deuil--Enfant" "Attitude_envers_mort--Enfant" Tumeurs Résumé : .
«Auprès des enfants qu'elles accueillent, écoutent et accompagnent chaque jour dans le cadre de leurs consultations, Nicole Landry-Dattée et Marie-France Delaigue-Cosset ont appris qu'au-delà des mots, des émotions et des circonstances même extrêmes, les forces de la vie confèrent une faculté de surmonter le cancer, de maintenir une invulnérable relation de présence et de soutien, pour ne pas dire d'amour. C'est ce qu'elles nous donnent à comprendre à travers un témoignage et des analyses d'une justesse et d'une intensité exceptionnelles. Ce livre d'expérience et de réflexion prend la dimension d'un témoignage résolument philosophique. Il nous permet de puiser dans ces échanges avec les enfants, la capacité d'assumer autrement nos responsabilités humaines et sociales auprès et au service de la personne malade ainsi que de ses proches. Pour celles et ceux qui sont confrontés personnellement au cancer ou à d'autres maladies graves, ce document constituera également une source d'inspiration, un savoir, un mode d'accompagnement et peut-être de réconfort, dotés de la valeur d'un acte de vie.»
Emmanuel Hirsch
Marie-France Delaigue-Cosset est médecin anesthésiste-réanimateur, à l'institut Gustave-Roussy de Villejuit.
Nicole Landry-Dattée, psychologue-psychanalyste, est chargée à l'institut Gustave-Roussy du soutien psychologique des malades et de leur famille.
Ensemble, elles ont mis en place à l'institut Gustave-Roussy le premier groupe de soutien aux enfants de parents atteints de cancer, qu'elles coaniment depuis dix ans.Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=3137 Ces enfants qui vivent le cancer d'un parent [texte imprimé] / Marie-France Delaigue-Cosset, Auteur ; Nicole Landry-Dattée, Auteur . - Paris : Assistance publique-Hôpitaux de Paris : Paris : Vuibert, 2005 . - 140 p. : couv. ill. ; 24 cm. - (Espace éthique, ISSN 1287-0404) .
ISBN : 2-7117-7276-4
Langues : Français
Catégories : Maladies:Etude des maladies:Cancer
Personne humaine:Corps humain - Etapes de la vie:Enfance
Réanimation - Fin de vie:Attitude envers la mort
Société et éthique:Dimension sociale:FamilleMots-clés : "Cancer--Aspect_psychologique" "Enfants_et_mort" "Parents_et_enfants" "Relations_parent_enfant" "Psychologie_infantile" "Deuil--Enfant" "Attitude_envers_mort--Enfant" Tumeurs Résumé : .
«Auprès des enfants qu'elles accueillent, écoutent et accompagnent chaque jour dans le cadre de leurs consultations, Nicole Landry-Dattée et Marie-France Delaigue-Cosset ont appris qu'au-delà des mots, des émotions et des circonstances même extrêmes, les forces de la vie confèrent une faculté de surmonter le cancer, de maintenir une invulnérable relation de présence et de soutien, pour ne pas dire d'amour. C'est ce qu'elles nous donnent à comprendre à travers un témoignage et des analyses d'une justesse et d'une intensité exceptionnelles. Ce livre d'expérience et de réflexion prend la dimension d'un témoignage résolument philosophique. Il nous permet de puiser dans ces échanges avec les enfants, la capacité d'assumer autrement nos responsabilités humaines et sociales auprès et au service de la personne malade ainsi que de ses proches. Pour celles et ceux qui sont confrontés personnellement au cancer ou à d'autres maladies graves, ce document constituera également une source d'inspiration, un savoir, un mode d'accompagnement et peut-être de réconfort, dotés de la valeur d'un acte de vie.»
Emmanuel Hirsch
Marie-France Delaigue-Cosset est médecin anesthésiste-réanimateur, à l'institut Gustave-Roussy de Villejuit.
Nicole Landry-Dattée, psychologue-psychanalyste, est chargée à l'institut Gustave-Roussy du soutien psychologique des malades et de leur famille.
Ensemble, elles ont mis en place à l'institut Gustave-Roussy le premier groupe de soutien aux enfants de parents atteints de cancer, qu'elles coaniment depuis dix ans.Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=3137 Exemplaires
Code-barres Cote Support Disponibilité 11297 08DEL Ouvrage Disponible La vie existe-t-elle ? / John Stewart
Titre : La vie existe-t-elle ? : réconcilier génétique et biologie Type de document : texte imprimé Auteurs : John Stewart, Auteur Editeur : Paris : Vuibert Année de publication : 2004 Importance : 150 p. Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 24 cm ISBN/ISSN/EAN : 2-7117-5368-9 Prix : 18 EUR Note générale : Bibliogr. p. 149-150. Index Langues : Français Catégories : Maladies:Génétique et ses applications
Maladies:Génétique et ses applications:Evolution, gènes, biodiversité
Sciences:Sciences:BiologieMots-clés : "Génétique--20e_siècle" "Biologie--20e_siècle" "GENETIQUE_BIOCHIMIQUE" "Biologie_moléculaire" "Vie--biologie" Résumé : .
"On n’interroge plus la vie dans les laboratoires" déclarait François Jacob. Partant de ce constat, l’auteur explique comment on a pu en arriver là: l’objet central de la biologie contemporaine n’est plus la vie, mais le gène.
Or, depuis son fondement par Mendel au XIXe siècle, la génétique est ce qu’on appelle une science différentielle – au sens où une différence dans un facteur génétique est la cause d’une différence dans un phénotype observable. Il s’ensuit que, là où il n’y a pas de différences, la génétique n’est plus opérationnelle. En clair, la génétique ne permet pas d’observer ce qui est invariant ni même de concevoir qu’il existe. C’est notamment le cas pour l’invariant le plus important: le fait que les organismes vivants ne soient pas des "choses", mais des flux d’énergie et de matière qui sont organisés de telle sorte que des organismes se produisent en permanence, d’instant en instant. Cet invariant – appelé autopoïèse – est ignoré de la génétique. D’où le divorce historique qui sépare la génétique de la biologie des organismes.
On peut penser que les grandes découvertes de la biologie moléculaire rendent caduques ces considérations d’histoire et de philosophie des sciences; mais il n’en est rien. En 1953 on a découvert la structure moléculaire de l’ADN, (support matériel des gènes) ainsi que le "code génétique" par lequel des séquences de nucléotides dans l’ADN spécifient des séquences d’acides aminés dans des protéines. Mais un organisme vivant ne se réduit pas à un assemblage de protéines. Et les notions-clés d’"l’information", de "message" et de "code" – importées de la cybernétique – ont une face cachée: aucun message codé ne porte en lui-même le dispositif permettant de l’interpréter.
Enfin, l’auteur ne s’arrête pas à cette analyse critique. Dans la dernière partie, il examine les possibilités d’une réconciliation entre une véritable biologie des organismes et une génétique ramenée à sa juste place par une reconnaissance de ses limites: ce n’est pas parce que les gènes ne peuvent pas tout faire qu’ils ne peuvent rien faire. Ils ne peuvent pas constituer ce qu’il y a à encoder ni mettre en place le système de codage; mais les gènes peuvent constituer le support d’informations codées puisque ces mêmes informations ont permis depuis 3 milliards d’années l’évolution par variation aléatoire et sélection naturelle; une évolution à laquelle nous ne devons pas moins que l'ensemble des organismesvivants actuels.
Généticien de formation, John Stewart est depuis 1979 chargé de recherche au CNRS.
Après dix ans de recherches combinant génétique et physiologie, il a travaillé successivement dans les domaines de la sociologie des sciences, de l’immunologie théorique, des sciences cognitives, et de la philosophie de la technique. Il est l’auteur d’une centaine d’articles scientifiques, et de plusieurs livres, notamment sur l’hérédité du QI, les manipulations génétiques, et l’évolution du système immunitaire. Il est actuellement rattaché à l’Université de Technologie de Compiègne.Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=3425 La vie existe-t-elle ? : réconcilier génétique et biologie [texte imprimé] / John Stewart, Auteur . - Paris : Vuibert, 2004 . - 150 p. : ill., couv. ill. en coul. ; 24 cm.
ISBN : 2-7117-5368-9 : 18 EUR
Bibliogr. p. 149-150. Index
Langues : Français
Catégories : Maladies:Génétique et ses applications
Maladies:Génétique et ses applications:Evolution, gènes, biodiversité
Sciences:Sciences:BiologieMots-clés : "Génétique--20e_siècle" "Biologie--20e_siècle" "GENETIQUE_BIOCHIMIQUE" "Biologie_moléculaire" "Vie--biologie" Résumé : .
"On n’interroge plus la vie dans les laboratoires" déclarait François Jacob. Partant de ce constat, l’auteur explique comment on a pu en arriver là: l’objet central de la biologie contemporaine n’est plus la vie, mais le gène.
Or, depuis son fondement par Mendel au XIXe siècle, la génétique est ce qu’on appelle une science différentielle – au sens où une différence dans un facteur génétique est la cause d’une différence dans un phénotype observable. Il s’ensuit que, là où il n’y a pas de différences, la génétique n’est plus opérationnelle. En clair, la génétique ne permet pas d’observer ce qui est invariant ni même de concevoir qu’il existe. C’est notamment le cas pour l’invariant le plus important: le fait que les organismes vivants ne soient pas des "choses", mais des flux d’énergie et de matière qui sont organisés de telle sorte que des organismes se produisent en permanence, d’instant en instant. Cet invariant – appelé autopoïèse – est ignoré de la génétique. D’où le divorce historique qui sépare la génétique de la biologie des organismes.
On peut penser que les grandes découvertes de la biologie moléculaire rendent caduques ces considérations d’histoire et de philosophie des sciences; mais il n’en est rien. En 1953 on a découvert la structure moléculaire de l’ADN, (support matériel des gènes) ainsi que le "code génétique" par lequel des séquences de nucléotides dans l’ADN spécifient des séquences d’acides aminés dans des protéines. Mais un organisme vivant ne se réduit pas à un assemblage de protéines. Et les notions-clés d’"l’information", de "message" et de "code" – importées de la cybernétique – ont une face cachée: aucun message codé ne porte en lui-même le dispositif permettant de l’interpréter.
Enfin, l’auteur ne s’arrête pas à cette analyse critique. Dans la dernière partie, il examine les possibilités d’une réconciliation entre une véritable biologie des organismes et une génétique ramenée à sa juste place par une reconnaissance de ses limites: ce n’est pas parce que les gènes ne peuvent pas tout faire qu’ils ne peuvent rien faire. Ils ne peuvent pas constituer ce qu’il y a à encoder ni mettre en place le système de codage; mais les gènes peuvent constituer le support d’informations codées puisque ces mêmes informations ont permis depuis 3 milliards d’années l’évolution par variation aléatoire et sélection naturelle; une évolution à laquelle nous ne devons pas moins que l'ensemble des organismesvivants actuels.
Généticien de formation, John Stewart est depuis 1979 chargé de recherche au CNRS.
Après dix ans de recherches combinant génétique et physiologie, il a travaillé successivement dans les domaines de la sociologie des sciences, de l’immunologie théorique, des sciences cognitives, et de la philosophie de la technique. Il est l’auteur d’une centaine d’articles scientifiques, et de plusieurs livres, notamment sur l’hérédité du QI, les manipulations génétiques, et l’évolution du système immunitaire. Il est actuellement rattaché à l’Université de Technologie de Compiègne.Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=3425 Exemplaires
Code-barres Cote Support Disponibilité 11510 08STE Ouvrage Disponible Ethique, médecine et société / Emmanuel Hirsch
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