Centre de Ressources et de Documentation de l'Espace Éthique PACA-Corse
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Ce qu'on voit et ce qu'on ne voit pas / Frédéric Bastiat
Titre : Ce qu'on voit et ce qu'on ne voit pas Type de document : texte imprimé Auteurs : Frédéric Bastiat, Auteur Editeur : Paris : Romillat Année de publication : 1994 Collection : Retour au texte, ISSN 1160-1353 Importance : 255 p. Présentation : couv. ill Format : 18 cm ISBN/ISSN/EAN : 2-87894-004-0 Langues : Français Catégories : Société et éthique:Dimension économique:Economie Mots-clés : "Bastiat,Frédéric"
Economie "Libre_échange" "Libéralisme_économique"Résumé : .
Oublié en France, Frédéric Bastiat est considéré aux États-Unis comme un auteur de première importance. Son pamphlet, La Loi, y a été diffusé à plus d'un million d'exemplaires.
Qui était Frédéric Bastiat? Homme d'action et extraordinaire propagandiste, il est né à Bayonne en 1801. Il se fait connaître à quarante cinq ans par son combat en faveur du Libre Échange. En cinq ans, au prix d'une activité exceptionnelle, il écrit une œuvre considérable tout en menant un combat politique intense. Après la révolution de 1848, il se rallie franchement à la République. Il est élu député des Landes à l'Assemblée constituante, puis à la Législative. Il y siège à la gauche et devient vice-président du Comité des finances.
Visionnaire, Frédéric Bastiat a su anticiper dès 1848 les errements qui conduiront à l'effondrement à l'Est des sociétés communistes. Défenseur des petites gens, il prend le parti des consommateurs contre celui des spoliateurs. Il combat le protectionnisme, comme la conquête de l'Algérie. Pamphlétaire, il dénonce chez les «hommes de l'État» la soumission aux intérêts privés contre l'intérêt général. Il polémique avec Lamartine, Proudhon, Louis Blanc...
Il meurt à Rome 24 décembre 1850. Il a quarante neuf ans. Ses textes clés, dont certains sont ici republiés en France pour la première fois depuis 1854, sont précédés d'une table ronde présidée par Alain Madelin, ministre des Entreprises et du Développement.
Note de contenu : La couv. porte en plus: choix de sophismes et de pamphlets économiques. - Recueil de textes extr. de diverses revues et publications, 1848-1864. Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=227 Ce qu'on voit et ce qu'on ne voit pas [texte imprimé] / Frédéric Bastiat, Auteur . - Paris : Romillat, 1994 . - 255 p. : couv. ill ; 18 cm. - (Retour au texte, ISSN 1160-1353) .
ISBN : 2-87894-004-0
Langues : Français
Catégories : Société et éthique:Dimension économique:Economie Mots-clés : "Bastiat,Frédéric"
Economie "Libre_échange" "Libéralisme_économique"Résumé : .
Oublié en France, Frédéric Bastiat est considéré aux États-Unis comme un auteur de première importance. Son pamphlet, La Loi, y a été diffusé à plus d'un million d'exemplaires.
Qui était Frédéric Bastiat? Homme d'action et extraordinaire propagandiste, il est né à Bayonne en 1801. Il se fait connaître à quarante cinq ans par son combat en faveur du Libre Échange. En cinq ans, au prix d'une activité exceptionnelle, il écrit une œuvre considérable tout en menant un combat politique intense. Après la révolution de 1848, il se rallie franchement à la République. Il est élu député des Landes à l'Assemblée constituante, puis à la Législative. Il y siège à la gauche et devient vice-président du Comité des finances.
Visionnaire, Frédéric Bastiat a su anticiper dès 1848 les errements qui conduiront à l'effondrement à l'Est des sociétés communistes. Défenseur des petites gens, il prend le parti des consommateurs contre celui des spoliateurs. Il combat le protectionnisme, comme la conquête de l'Algérie. Pamphlétaire, il dénonce chez les «hommes de l'État» la soumission aux intérêts privés contre l'intérêt général. Il polémique avec Lamartine, Proudhon, Louis Blanc...
Il meurt à Rome 24 décembre 1850. Il a quarante neuf ans. Ses textes clés, dont certains sont ici republiés en France pour la première fois depuis 1854, sont précédés d'une table ronde présidée par Alain Madelin, ministre des Entreprises et du Développement.
Note de contenu : La couv. porte en plus: choix de sophismes et de pamphlets économiques. - Recueil de textes extr. de diverses revues et publications, 1848-1864. Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=227 Exemplaires
Code-barres Cote Support Disponibilité 1250 Archive2 Ouvrage Exclu du prêt La patience et l'inquiétude / Michel Geoffroy
Titre : La patience et l'inquiétude : pour fonder une éthique du soin Type de document : texte imprimé Auteurs : Michel Geoffroy, Auteur Editeur : Paris : Romillat Année de publication : 2004 Collection : Collection Espace éthique et politique Importance : 319 p. Présentation : ill., couv. ill. Format : 24 cm ISBN/ISSN/EAN : 2-87894-085-7 Prix : 23 EUR Langues : Français Catégories : Ethique:Ethique biomédicale
Médecine:Relation entre professionnels de santé et patientsMots-clés : "Éthique_médicale" "Relations_médecin_patient--Philosophie" "Relation_médecin_malade" Résumé : .
Pourquoi le regard scientifique, tel que les médecins l'ont hérité du cartésianisme est-il intrinsèquement an-éthique?
Parce qu'il réifie le malade, réduit le temps de celui-ci à l'instantanéité de leur conscience de sujets connaissant, et leur fait rater la rencontre avec lui.
Pourquoi, pourtant, le soignant peut-il ouvrir sa temporalité et laisser advenir le temps du patient? Pourquoi le médecin peut-il devenir Patient?
Quels principes moraux, quelles conditions métaphysiques obligent l'ego égoïste à être altéré par l'autre?
Certains répondront: «l'impératif catégorique!» ou bien: «le devoir!» D'autres: «la transcendance absolue du visage de l'autre!» ou bien: «la radicale extériorité du malade qui me surplombe!»
Qu'est-ce qui oblige le fort envers le faible?
Pourquoi le riche, le bien portant, le bien-au-chaud-chez-lui-derrière-ses-remparts peut-il sortir de sa solitude monadique, être inquiété et obligé à se porter vers le pauvre, le mal-vêtu, le vagabond, le malade?
Certains répondront: «la pitié!» ou bien «la compassion!». D'autres: «la responsabilité! la solidarité!» ou bien: «L'engagement!»
L'inquiétude est la condition ontologique nécessaire à la patience. Alors que les philosophies de la quiétude, alors que les sagesses, alors même que la métaphysique de Levinas peinent à rendre compte de l'obligation du Même par l'Autre, l'inquiétude, ici décrite comme déchirure de l'homme par l'être, c'est-à-dire par le temps, rend possible la patience, la co-présence l'accueil d'autrui, donc l'éthique.
Michel Geoffroy, docteur en médecine, docteur en philosophie, est responsable d'une unité de soins palliatifs.Note de contenu : Bibliogr. p. 311-319 Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=3132 La patience et l'inquiétude : pour fonder une éthique du soin [texte imprimé] / Michel Geoffroy, Auteur . - Paris : Romillat, 2004 . - 319 p. : ill., couv. ill. ; 24 cm. - (Collection Espace éthique et politique) .
ISBN : 2-87894-085-7 : 23 EUR
Langues : Français
Catégories : Ethique:Ethique biomédicale
Médecine:Relation entre professionnels de santé et patientsMots-clés : "Éthique_médicale" "Relations_médecin_patient--Philosophie" "Relation_médecin_malade" Résumé : .
Pourquoi le regard scientifique, tel que les médecins l'ont hérité du cartésianisme est-il intrinsèquement an-éthique?
Parce qu'il réifie le malade, réduit le temps de celui-ci à l'instantanéité de leur conscience de sujets connaissant, et leur fait rater la rencontre avec lui.
Pourquoi, pourtant, le soignant peut-il ouvrir sa temporalité et laisser advenir le temps du patient? Pourquoi le médecin peut-il devenir Patient?
Quels principes moraux, quelles conditions métaphysiques obligent l'ego égoïste à être altéré par l'autre?
Certains répondront: «l'impératif catégorique!» ou bien: «le devoir!» D'autres: «la transcendance absolue du visage de l'autre!» ou bien: «la radicale extériorité du malade qui me surplombe!»
Qu'est-ce qui oblige le fort envers le faible?
Pourquoi le riche, le bien portant, le bien-au-chaud-chez-lui-derrière-ses-remparts peut-il sortir de sa solitude monadique, être inquiété et obligé à se porter vers le pauvre, le mal-vêtu, le vagabond, le malade?
Certains répondront: «la pitié!» ou bien «la compassion!». D'autres: «la responsabilité! la solidarité!» ou bien: «L'engagement!»
L'inquiétude est la condition ontologique nécessaire à la patience. Alors que les philosophies de la quiétude, alors que les sagesses, alors même que la métaphysique de Levinas peinent à rendre compte de l'obligation du Même par l'Autre, l'inquiétude, ici décrite comme déchirure de l'homme par l'être, c'est-à-dire par le temps, rend possible la patience, la co-présence l'accueil d'autrui, donc l'éthique.
Michel Geoffroy, docteur en médecine, docteur en philosophie, est responsable d'une unité de soins palliatifs.Note de contenu : Bibliogr. p. 311-319 Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=3132 Exemplaires
Code-barres Cote Support Disponibilité 11091 07GEO Ouvrage Disponible
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