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Auteur Stéphanie Hennette-Vauchez |
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Bioéthique, biodroit, biopolitique / Stéphanie Hennette-Vauchez
Titre : Bioéthique, biodroit, biopolitique : réflexions à l'occasion du vote de la loi du 4 août 2004 Type de document : texte imprimé Auteurs : Stéphanie Hennette-Vauchez, Auteur Editeur : Paris : LGDJ Année de publication : 2006 Collection : Droit et société Sous-collection : Série Ethique num. 43 Importance : 154 p. Format : 24 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-275-03099-9 Prix : 20 € Langues : Français Catégories : Droit - Législation
Ethique:Ethique biomédicale
Société et éthique:Dimension politiqueMots-clés : "Bioéthique--Droit--France" "Éthique_médicale--France" Biopolitique Résumé : .
Procréation médicalement assistée, interruption de grossesse, expérimentation biomédicale, brevetabilité du vivant, droit à la mort, recherche sur l'embryon, clonage... depuis les années 1980, la question "bioéthique" acquiert une saillance sans cesse plus grande dans l'espace public. Indisponibilité du corps humain, respect de l'être humain dès le commencement de la vie, principe constitutionnel de sauvegarde de la dignité de la personne, érection du clonage reproductif en "crime contre l'espèce humaine", apparition de conventions internationales (Conseil de l'Europe, UNESCO...): l'effort de régulation et de qualification juridique en matière de bioéthique va, lui aussi et sur la même période, s'intensifiant.
Le présent ouvrage se propose de rendre compte de ce double mouvement de diversification et de juridicisation de la problématique bioéthique. La double hypothèse sur laquelle il repose est la suivante. Fondamentalement, l'émergence d'un droit de la bioéthique a nécessairement pour effet de dessiner une certaine politique du vivant, de distinguer entre modalités légitimes et illégitimes de gouvernement des corps et des conduites. Accessoirement, si la bioéthique a initialement pu être un sujet dont on soulignait à l'envi la spécificité (enjeux dits "fondamentaux", et donc modalités de régulation juridique spécifiques, a-politiques, etc.), elle est aujourd'hui, par certains aspects, un sujet comme les autres - susceptible alors, comme les autres, d'être un des lieux d'expression de clivages de type politique, axiologique. On cherche dès lors à mettre à nu certains des éléments centraux et points d'achoppement de cette nouvelle "biopolitique", les obstacles qu'elle rencontre et les limites auxquelles elle se heurte.
Stéphanie Hennette-Vauchez est professeur de droit public à l'Université Paris XII. Ses travaux portent notamment sur le contenu et les conditions d'élaboration d'un droit de la bioéthique.
Ont collaboré à cet ouvrage Florence Bellivier, professeur de droit privé à l'Université Paris X Nanterre, Charlotte Girard, maître de conférences en droit public à l'Université de Rouen, Sabine Boussard, professeur de droit public à l'Université de Franche-Comté, Xavier Bioy, professeur de droit public à l'Université Toulouse I, Pierre Egéa, professeur de droit public à l'Université Antilles-Guyane.Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=4608 Bioéthique, biodroit, biopolitique : réflexions à l'occasion du vote de la loi du 4 août 2004 [texte imprimé] / Stéphanie Hennette-Vauchez, Auteur . - Paris : LGDJ, 2006 . - 154 p. ; 24 cm. - (Droit et société. Série Ethique; 43) .
ISBN : 978-2-275-03099-9 : 20 €
Langues : Français
Catégories : Droit - Législation
Ethique:Ethique biomédicale
Société et éthique:Dimension politiqueMots-clés : "Bioéthique--Droit--France" "Éthique_médicale--France" Biopolitique Résumé : .
Procréation médicalement assistée, interruption de grossesse, expérimentation biomédicale, brevetabilité du vivant, droit à la mort, recherche sur l'embryon, clonage... depuis les années 1980, la question "bioéthique" acquiert une saillance sans cesse plus grande dans l'espace public. Indisponibilité du corps humain, respect de l'être humain dès le commencement de la vie, principe constitutionnel de sauvegarde de la dignité de la personne, érection du clonage reproductif en "crime contre l'espèce humaine", apparition de conventions internationales (Conseil de l'Europe, UNESCO...): l'effort de régulation et de qualification juridique en matière de bioéthique va, lui aussi et sur la même période, s'intensifiant.
Le présent ouvrage se propose de rendre compte de ce double mouvement de diversification et de juridicisation de la problématique bioéthique. La double hypothèse sur laquelle il repose est la suivante. Fondamentalement, l'émergence d'un droit de la bioéthique a nécessairement pour effet de dessiner une certaine politique du vivant, de distinguer entre modalités légitimes et illégitimes de gouvernement des corps et des conduites. Accessoirement, si la bioéthique a initialement pu être un sujet dont on soulignait à l'envi la spécificité (enjeux dits "fondamentaux", et donc modalités de régulation juridique spécifiques, a-politiques, etc.), elle est aujourd'hui, par certains aspects, un sujet comme les autres - susceptible alors, comme les autres, d'être un des lieux d'expression de clivages de type politique, axiologique. On cherche dès lors à mettre à nu certains des éléments centraux et points d'achoppement de cette nouvelle "biopolitique", les obstacles qu'elle rencontre et les limites auxquelles elle se heurte.
Stéphanie Hennette-Vauchez est professeur de droit public à l'Université Paris XII. Ses travaux portent notamment sur le contenu et les conditions d'élaboration d'un droit de la bioéthique.
Ont collaboré à cet ouvrage Florence Bellivier, professeur de droit privé à l'Université Paris X Nanterre, Charlotte Girard, maître de conférences en droit public à l'Université de Rouen, Sabine Boussard, professeur de droit public à l'Université de Franche-Comté, Xavier Bioy, professeur de droit public à l'Université Toulouse I, Pierre Egéa, professeur de droit public à l'Université Antilles-Guyane.Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=4608 Exemplaires
Code-barres Cote Support Disponibilité 10209 02HEN Ouvrage Sorti jusqu'au 07/03/2024 Disposer de soi ? / Stéphanie Hennette-Vauchez
Titre : Disposer de soi ? : une analyse du discours juridique sur les droits de la personne sur son corps Type de document : texte imprimé Auteurs : Stéphanie Hennette-Vauchez, Auteur Editeur : Paris : L'Harmattan Année de publication : 2004 Collection : Logiques juridiques, ISSN 1159-375X Importance : 447 p. Format : 24 cm ISBN/ISSN/EAN : 2-7475-5917-3 Prix : 36,50 EUR Langues : Français Catégories : Droit - Législation
Personne humaine:Corps humain - Etapes de la vie:Corps humainMots-clés : "Personnes--droit--France" "Corps_humain--Droit--France" "Dons_organes--Droit--France" "Droit_à_la_mort--France" Résumé : .
A partir d'une analyse du corpus que constitue le discours doctrinal juridique relatif à la question des rapports de la personne à son corps, ce travail développe une double analyse. Il souligne en premier lieu l'existence d'un décalage important entre la substance de ce discours doctrinal et la réalité du droit positif qu'il prétend décrire. L'auteure s'interroge alors sur les raisons de ce décalage et suggère que la doctrine ne se place pas exclusivement sur le terrain traditionnel de la validité juridique formelle, mais emprunte également parfois à des conceptions plus empiriques ou axiologiques de la validité.
En second lieu, et alors même que la doctrine affirme, dans une quasi-unanimité, l'existence d'un «droit de la personne à disposer de son corps», l'auteure met en évidence que les normes juridiques intervenant sur le terrain des rapports de la personne à son corps (refus de soins, prélèvements d'organes, maternité de substitution...) sont bien plus des normes restrictives, voire prohibitives de certains usages du corps qu'elles ne consacrent des droits nouveaux au profit de la personne. En cela, la définition juridique des rapports de la personne à son corps semble révéler la constitution progressive d'un ordre public corporel bien plus qu'elle ne participerait d'un mouvement plus généralement diagnostiqué d'inflation des droits subjectifs.
Stéphanie HENNETTE-VAUCHEZ est professeure de droit public ù l'Université Paris XII Saint Maur. Ses travaux portent notamment sur l'analyse du contenu et des conditions d'élaboration d'un droit de la bioéthique.
Note de contenu : Bibliogr. p. 427-438 Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=2044 Disposer de soi ? : une analyse du discours juridique sur les droits de la personne sur son corps [texte imprimé] / Stéphanie Hennette-Vauchez, Auteur . - Paris : L'Harmattan, 2004 . - 447 p. ; 24 cm. - (Logiques juridiques, ISSN 1159-375X) .
ISBN : 2-7475-5917-3 : 36,50 EUR
Langues : Français
Catégories : Droit - Législation
Personne humaine:Corps humain - Etapes de la vie:Corps humainMots-clés : "Personnes--droit--France" "Corps_humain--Droit--France" "Dons_organes--Droit--France" "Droit_à_la_mort--France" Résumé : .
A partir d'une analyse du corpus que constitue le discours doctrinal juridique relatif à la question des rapports de la personne à son corps, ce travail développe une double analyse. Il souligne en premier lieu l'existence d'un décalage important entre la substance de ce discours doctrinal et la réalité du droit positif qu'il prétend décrire. L'auteure s'interroge alors sur les raisons de ce décalage et suggère que la doctrine ne se place pas exclusivement sur le terrain traditionnel de la validité juridique formelle, mais emprunte également parfois à des conceptions plus empiriques ou axiologiques de la validité.
En second lieu, et alors même que la doctrine affirme, dans une quasi-unanimité, l'existence d'un «droit de la personne à disposer de son corps», l'auteure met en évidence que les normes juridiques intervenant sur le terrain des rapports de la personne à son corps (refus de soins, prélèvements d'organes, maternité de substitution...) sont bien plus des normes restrictives, voire prohibitives de certains usages du corps qu'elles ne consacrent des droits nouveaux au profit de la personne. En cela, la définition juridique des rapports de la personne à son corps semble révéler la constitution progressive d'un ordre public corporel bien plus qu'elle ne participerait d'un mouvement plus généralement diagnostiqué d'inflation des droits subjectifs.
Stéphanie HENNETTE-VAUCHEZ est professeure de droit public ù l'Université Paris XII Saint Maur. Ses travaux portent notamment sur l'analyse du contenu et des conditions d'élaboration d'un droit de la bioéthique.
Note de contenu : Bibliogr. p. 427-438 Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=2044 Exemplaires
Code-barres Cote Support Disponibilité 10270 01HEN Ouvrage Disponible
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