Centre de Ressources et de Documentation de l'Espace Éthique PACA-Corse
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Éthiques de la fin de vie / Paula La Marne
Titre : Éthiques de la fin de vie : acharnement thérapeutique, euthanasie, soins palliatifs Type de document : texte imprimé Auteurs : Paula La Marne, Auteur Editeur : Paris : Ellipses Année de publication : 1999 Collection : La bioéthique en question num. 1 Importance : 128 p. Présentation : couv. ill. en coul. Format : 19 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7298-9855-7 Prix : 55 FF Note générale : Bibliogr. p. 123-124. Index Langues : Français Catégories : Réanimation - Fin de vie:Acharnement thérapeutique
Réanimation - Fin de vie:Attitude envers la mort
Réanimation - Fin de vie:Euthanasie
Réanimation - Fin de vie:soins de fin de vie - Soins palliatifsMots-clés : "Soins_en_phase_terminale--Aspect_moral" "Acharnement_thérapeutique" "Traitement_palliatif" "Éthique_des_médecins" "Attitude_envers_la_mort" "Soins_en_phase_terminale" Euthanasie "Ethique_médicale--France" Résumé : .
Ce premier ouvrage de la collection la bioéthique en question s'adresse aussi bien aux étudiants en médecine qu'à un plus large public cherchant une synthèse claire et accessible sur ce sujet.
Il traite de la fin de vie. Les réformes récentes sur la douleur, les projets de loi sur l'euthanasie, l'extension des soins palliatifs annoncent le retour d'un certain art de mourir moderne.
Mais plusieurs façons de mourir sont aujourd'hui possibles: à quelles visions de la dignité humaine renvoient-elles? Au nom de quelles valeurs se bat-on, ici et là? Quelles lignes de partage séparent les acteurs du débat éthique? C'est à une telle réflexion que convie cet ouvrage.
Paula La Marne enseigne aux C.H.U. de Bicêtre (Paris XI) et de Créteil (Paris XII) et est membre du G.R.E.B.B., Groupe de réflexion sur l'éthique biomédicale de Bicêtre.Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=4062 Éthiques de la fin de vie : acharnement thérapeutique, euthanasie, soins palliatifs [texte imprimé] / Paula La Marne, Auteur . - Paris : Ellipses, 1999 . - 128 p. : couv. ill. en coul. ; 19 cm. - (La bioéthique en question; 1) .
ISBN : 978-2-7298-9855-7 : 55 FF
Bibliogr. p. 123-124. Index
Langues : Français
Catégories : Réanimation - Fin de vie:Acharnement thérapeutique
Réanimation - Fin de vie:Attitude envers la mort
Réanimation - Fin de vie:Euthanasie
Réanimation - Fin de vie:soins de fin de vie - Soins palliatifsMots-clés : "Soins_en_phase_terminale--Aspect_moral" "Acharnement_thérapeutique" "Traitement_palliatif" "Éthique_des_médecins" "Attitude_envers_la_mort" "Soins_en_phase_terminale" Euthanasie "Ethique_médicale--France" Résumé : .
Ce premier ouvrage de la collection la bioéthique en question s'adresse aussi bien aux étudiants en médecine qu'à un plus large public cherchant une synthèse claire et accessible sur ce sujet.
Il traite de la fin de vie. Les réformes récentes sur la douleur, les projets de loi sur l'euthanasie, l'extension des soins palliatifs annoncent le retour d'un certain art de mourir moderne.
Mais plusieurs façons de mourir sont aujourd'hui possibles: à quelles visions de la dignité humaine renvoient-elles? Au nom de quelles valeurs se bat-on, ici et là? Quelles lignes de partage séparent les acteurs du débat éthique? C'est à une telle réflexion que convie cet ouvrage.
Paula La Marne enseigne aux C.H.U. de Bicêtre (Paris XI) et de Créteil (Paris XII) et est membre du G.R.E.B.B., Groupe de réflexion sur l'éthique biomédicale de Bicêtre.Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=4062 Exemplaires
Code-barres Cote Support Disponibilité 11795 10LAM Ouvrage Disponible Euthanasie & pouvoir médical / André Monjardet
Titre : Euthanasie & pouvoir médical : vivre librement sa mort Type de document : texte imprimé Auteurs : André Monjardet, Auteur Editeur : Paris : L'Harmattan Année de publication : 1999 Collection : Questions contemporaines, ISSN 1286-8698 Importance : 249 p. Format : 22 cm ISBN/ISSN/EAN : 2-7384-8043-8 Langues : Français Catégories : Réanimation - Fin de vie:Acharnement thérapeutique
Réanimation - Fin de vie:Euthanasie
Réanimation - Fin de vie:MortMots-clés : Euthanasie "Personnel_médical--Déontologie--France" "Éthique_médicale" "Acharnement_thérapeutique" "SOINS_PROLONGATION_VIE" "SOINS_AUX_MOURANTS" "Soins_en_phase_terminale" Résumé : .
La façon dont les sociétés ont traité leurs morts a toujours constitué l'un des critères premier du niveau de leur civilisation. La façon dont la société française traite aujourd'hui ses mourants est scandaleuse. La France est l'un des derniers pays occidentaux à refuser tout débat sur l'euthanasie. Ce terme qui veut pourtant dire, «la bonne ou belle mort», doit être «banni», selon l'actuel secrétaire d'État à la Santé, Bernard Kouchner. Pour Bernard Debré, médecin réputé et homme politique, admettre légalement l'euthanasie serait «la pire des déviances».
La question euthanasique met pourtant en évidence les interrogations et les inquiétudes de l'homme occidental face à la mort médicalisée à laquelle le pouvoir médical l'oblige à s'affronter. Mais de quoi parlons-nous? De ces euthanasies honteusement et clandestinement «administrées» quotidiennement dans les hôpitaux de notre pays, à l'insu des patients? Ou du «droit de mourir» que revendiquent légitimement certains Français qui désirent ne pas terminer leurs jours dans un état de déchéance intolérable pour eux et pour leurs proches, dans des souffrances insupportables ou dans un état de démence sénile?
Il reste à nos concitoyens, favorables à plus de 80% à l’«aide à mourir», pour eux et pour leurs proches, à conquérir le droit d'être informés de leur état et la liberté de choisir leur mort. En l'absence de toute «médecine de fin de vie» institutionnalisée au sein même de l'hôpital («soins palliatifs»). les médecins ont pris l'habitude de décider unilatéralement la façon dont chacun d'entre nous doit mourir: soit au terme d'un acharnement thérapeutique inhumain, soit par la mise en œuvre d'une euthanasie camouflée et illégale. Aider, à sa demande, une personne à mourir, ne doit plus être considéré comme un meurtre. Il est donc nécessaire de changer la loi.
Choisir SA mort ne relève pas de la médecine mais d'une exigence éthique personnelle. Le droit de mourir ressort de l'élémentaire liberté de la personne humaine, fondement premier du Droit. Il concerne tous et chacun d'entre nous. La France échapperait-elle à ce débat?
André Monjardet est sociologue et diplômé de l'École Nationale de la Santé publique. Il a dirigé plusieurs établissements médico-sociaux et se consacre actuellement à des travaux de réflexion et d'analyse concernant des questions de société.
Note de contenu : Bibliogr. p. 245-246 Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=465 Euthanasie & pouvoir médical : vivre librement sa mort [texte imprimé] / André Monjardet, Auteur . - Paris : L'Harmattan, 1999 . - 249 p. ; 22 cm. - (Questions contemporaines, ISSN 1286-8698) .
ISBN : 2-7384-8043-8
Langues : Français
Catégories : Réanimation - Fin de vie:Acharnement thérapeutique
Réanimation - Fin de vie:Euthanasie
Réanimation - Fin de vie:MortMots-clés : Euthanasie "Personnel_médical--Déontologie--France" "Éthique_médicale" "Acharnement_thérapeutique" "SOINS_PROLONGATION_VIE" "SOINS_AUX_MOURANTS" "Soins_en_phase_terminale" Résumé : .
La façon dont les sociétés ont traité leurs morts a toujours constitué l'un des critères premier du niveau de leur civilisation. La façon dont la société française traite aujourd'hui ses mourants est scandaleuse. La France est l'un des derniers pays occidentaux à refuser tout débat sur l'euthanasie. Ce terme qui veut pourtant dire, «la bonne ou belle mort», doit être «banni», selon l'actuel secrétaire d'État à la Santé, Bernard Kouchner. Pour Bernard Debré, médecin réputé et homme politique, admettre légalement l'euthanasie serait «la pire des déviances».
La question euthanasique met pourtant en évidence les interrogations et les inquiétudes de l'homme occidental face à la mort médicalisée à laquelle le pouvoir médical l'oblige à s'affronter. Mais de quoi parlons-nous? De ces euthanasies honteusement et clandestinement «administrées» quotidiennement dans les hôpitaux de notre pays, à l'insu des patients? Ou du «droit de mourir» que revendiquent légitimement certains Français qui désirent ne pas terminer leurs jours dans un état de déchéance intolérable pour eux et pour leurs proches, dans des souffrances insupportables ou dans un état de démence sénile?
Il reste à nos concitoyens, favorables à plus de 80% à l’«aide à mourir», pour eux et pour leurs proches, à conquérir le droit d'être informés de leur état et la liberté de choisir leur mort. En l'absence de toute «médecine de fin de vie» institutionnalisée au sein même de l'hôpital («soins palliatifs»). les médecins ont pris l'habitude de décider unilatéralement la façon dont chacun d'entre nous doit mourir: soit au terme d'un acharnement thérapeutique inhumain, soit par la mise en œuvre d'une euthanasie camouflée et illégale. Aider, à sa demande, une personne à mourir, ne doit plus être considéré comme un meurtre. Il est donc nécessaire de changer la loi.
Choisir SA mort ne relève pas de la médecine mais d'une exigence éthique personnelle. Le droit de mourir ressort de l'élémentaire liberté de la personne humaine, fondement premier du Droit. Il concerne tous et chacun d'entre nous. La France échapperait-elle à ce débat?
André Monjardet est sociologue et diplômé de l'École Nationale de la Santé publique. Il a dirigé plusieurs établissements médico-sociaux et se consacre actuellement à des travaux de réflexion et d'analyse concernant des questions de société.
Note de contenu : Bibliogr. p. 245-246 Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=465 Exemplaires
Code-barres Cote Support Disponibilité 11817 10MON Ouvrage Disponible La mort opportune / Jacques Pohier
Titre : La mort opportune : les droits des vivants sur la fin de leur vie Type de document : texte imprimé Auteurs : Jacques Pohier, Auteur Editeur : Paris : Éd. du Seuil Année de publication : 1998 Collection : Seuil essais, ISSN 1275-1596 Importance : 361 p. Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 2-2-02034973-6 Langues : Français Catégories : Réanimation - Fin de vie:Acharnement thérapeutique
Réanimation - Fin de vie:Euthanasie
Réanimation - Fin de vie:MortMots-clés : "Mort--Aspect_psychologique" "Aide_au_suicide--Aspect_moral" "Euthanasie--Aspect_moral" "Droit_à_la_mort" "Soins_en_phase_terminale--Aspect_psychologique" "Acharnement_thérapeutique" "Malades_en_phase_terminale--Droit" "TRAITEMENT_PALLIATIF" MORT Résumé : .
Grâce aux progrès de la médecine et de l'hygiène, la mort, jadis figurée comme une faucheuse, intervient de plus en plus tard. Aussi le regard que nous portons sur elle peut-il changer: elle n'est pas une instance extérieure à la vie, elle en est une composante, elle est à l'intérieur de la vie. C'est pourquoi les droits et la liberté qu'on reconnaît aux vivants s'étendent à leur mort. Contre l'acharnement thérapeutique ou contre des décisions de soins prises par d'autres, chacun de nous peut choisir la date et les modalités de sa mort. Et pour rendre cela possible, il faut changer la législation. Tel est le point de vue défendu par ce livre qui, se voulant exhaustif, prend en compte et réfute les arguments adverses, mais qui témoigne aussi d'un engagement personnel, très sensible notamment dans le récit final que Jacques Pohier fait des cinq fois où il a aidé quelqu'un à mourir.
Dominicain de 1949 à 1989, a publié de nombreuses études de théologie dogmatique et morale à la lumière des sciences de l'homme. Condamné en 1979 par le Vatican pour son livre Quand je dis Dieu (Le Seuil, 1977), il a expliqué dans Dieu, fractures (Le Seuil, 1985); pourquoi il devait changer de vie. De 1984 à 1995, il a travaillé à l'Association pour le droit de mourir dans la dignité (ADMD), dont il a été secrétaire général, puis président. Membre du bureau de la fédération mondiale des ADMD.
Note de contenu : En appendice, choix de textes et documents. - Notes bibliogr. Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=467 La mort opportune : les droits des vivants sur la fin de leur vie [texte imprimé] / Jacques Pohier, Auteur . - Paris : Éd. du Seuil, 1998 . - 361 p. ; 21 cm. - (Seuil essais, ISSN 1275-1596) .
ISSN : 2-2-02034973-6
Langues : Français
Catégories : Réanimation - Fin de vie:Acharnement thérapeutique
Réanimation - Fin de vie:Euthanasie
Réanimation - Fin de vie:MortMots-clés : "Mort--Aspect_psychologique" "Aide_au_suicide--Aspect_moral" "Euthanasie--Aspect_moral" "Droit_à_la_mort" "Soins_en_phase_terminale--Aspect_psychologique" "Acharnement_thérapeutique" "Malades_en_phase_terminale--Droit" "TRAITEMENT_PALLIATIF" MORT Résumé : .
Grâce aux progrès de la médecine et de l'hygiène, la mort, jadis figurée comme une faucheuse, intervient de plus en plus tard. Aussi le regard que nous portons sur elle peut-il changer: elle n'est pas une instance extérieure à la vie, elle en est une composante, elle est à l'intérieur de la vie. C'est pourquoi les droits et la liberté qu'on reconnaît aux vivants s'étendent à leur mort. Contre l'acharnement thérapeutique ou contre des décisions de soins prises par d'autres, chacun de nous peut choisir la date et les modalités de sa mort. Et pour rendre cela possible, il faut changer la législation. Tel est le point de vue défendu par ce livre qui, se voulant exhaustif, prend en compte et réfute les arguments adverses, mais qui témoigne aussi d'un engagement personnel, très sensible notamment dans le récit final que Jacques Pohier fait des cinq fois où il a aidé quelqu'un à mourir.
Dominicain de 1949 à 1989, a publié de nombreuses études de théologie dogmatique et morale à la lumière des sciences de l'homme. Condamné en 1979 par le Vatican pour son livre Quand je dis Dieu (Le Seuil, 1977), il a expliqué dans Dieu, fractures (Le Seuil, 1985); pourquoi il devait changer de vie. De 1984 à 1995, il a travaillé à l'Association pour le droit de mourir dans la dignité (ADMD), dont il a été secrétaire général, puis président. Membre du bureau de la fédération mondiale des ADMD.
Note de contenu : En appendice, choix de textes et documents. - Notes bibliogr. Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=467 Exemplaires
Code-barres Cote Support Disponibilité 11822 10POH Ouvrage Disponible Face à celui qui meurt / Patrick Verspieren
Titre : Face à celui qui meurt : euthanasie, acharnement thérapeutique, accompagnement Type de document : texte imprimé Auteurs : Patrick Verspieren, Auteur Editeur : Paris : Desclée de Brouwer Année de publication : 1994 Collection : Temps et contretemps, ISSN 0769-301X Importance : 205 p. Format : 22 cm ISBN/ISSN/EAN : 2-220-02524-1 Langues : Français Mots-clés : "Soins_en_phase_terminale" Euthanasie "Acharnement_thérapeutique" "Mort--Aspect_psychologique" Résumé : .
Si la mort, aujourd’hui, est écartée de notre horizon quotidien, plus que jamais elle s’impose à notre attention, par des chemins détournés. Euthanasie, mort douce, cocktails lytiques, testaments de vie, acharnement thérapeutique, font périodiquement l’objet de débats, plus ou moins confus et équivoque. Le présent ouvrage opère un travail de clarification. Né de multiples rencontres avec des médecins, des infirmières, des malades et leurs familles, prenant appui sur les expériences françaises, anglaises, américaines et canadiennes les plus significatives, il montre comment respecter celui qui meurt, répondre à ses besoins et à ses appels, le soulager de sa souffrance, l'aider à vivre la dernière phase de son existence. Et surtout recevoir de lui son ultime expérience. Patrick Verspieren pose, dans un monde scientifique en pleine mutation, les fondements d'une éthique médicale et infirmière.
Patrick Verspieren, jésuite, a été de 1967 à 1982 aumônier d'étudiants en médecine, puis directeur du Centre Laennec. Il collabore à la revue Études et enseigne l'éthique biomédicale au Centre Sèvres, Institut d'enseignement supérieur de la Compagnie de. Jésus à Paris.
Note de contenu : Notes bibliogr. Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=471 Face à celui qui meurt : euthanasie, acharnement thérapeutique, accompagnement [texte imprimé] / Patrick Verspieren, Auteur . - Paris : Desclée de Brouwer, 1994 . - 205 p. ; 22 cm. - (Temps et contretemps, ISSN 0769-301X) .
ISBN : 2-220-02524-1
Langues : Français
Mots-clés : "Soins_en_phase_terminale" Euthanasie "Acharnement_thérapeutique" "Mort--Aspect_psychologique" Résumé : .
Si la mort, aujourd’hui, est écartée de notre horizon quotidien, plus que jamais elle s’impose à notre attention, par des chemins détournés. Euthanasie, mort douce, cocktails lytiques, testaments de vie, acharnement thérapeutique, font périodiquement l’objet de débats, plus ou moins confus et équivoque. Le présent ouvrage opère un travail de clarification. Né de multiples rencontres avec des médecins, des infirmières, des malades et leurs familles, prenant appui sur les expériences françaises, anglaises, américaines et canadiennes les plus significatives, il montre comment respecter celui qui meurt, répondre à ses besoins et à ses appels, le soulager de sa souffrance, l'aider à vivre la dernière phase de son existence. Et surtout recevoir de lui son ultime expérience. Patrick Verspieren pose, dans un monde scientifique en pleine mutation, les fondements d'une éthique médicale et infirmière.
Patrick Verspieren, jésuite, a été de 1967 à 1982 aumônier d'étudiants en médecine, puis directeur du Centre Laennec. Il collabore à la revue Études et enseigne l'éthique biomédicale au Centre Sèvres, Institut d'enseignement supérieur de la Compagnie de. Jésus à Paris.
Note de contenu : Notes bibliogr. Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=471 Exemplaires
Code-barres Cote Support Disponibilité 1501 13VER Ouvrage Exclu du prêt Core values in bioethics: A natural law perspective / L. Steffen in Ethics, Medicine & Public Health, Vol.2 N°2 (Avril-Juin 2016)
[article]
Titre : Core values in bioethics: A natural law perspective : Valeurs fondamentales en bioéthique: sous l’angle de la loi naturelle Type de document : texte imprimé Auteurs : L. Steffen, Auteur Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 170-180 Langues : Anglais Mots-clés : "Loi_naturelle" "Accords_moraux_communs" "Acharnement_thérapeutique" "Modèle_de_la_guerre_juste" "Critères_de_justice" Principes Valeurs "Les_biens_de_la_vie" Autonomie Bienfaisance Résumé : .
L’éthique du droit naturel peut contribuer à une évaluation des valeurs fondamentales en matière de bioéthique. Dans l’éthique du droit naturel, la raison reconnaît les biens intrinsèques nécessaires pour s’épanouir. Parmi ces biens on trouve la vie elle-même, une raison pratique, l’expérience esthétique, le jeu, l’intégrité physique, l’amitié, et d’autres; et la loi naturelle affirme qu’il existe une structure de signification morale qui présente à la raison des « principes moraux objectifs » qui aident à l’intégrité de ces biens. Ce sont des accords moraux communs que les gens raisonnables de bonne volonté peuvent affirmer. Même s’ils sont décrits comme « objectifs », ces accords moraux communs ne sont pas des absolus moraux. Les personnes raisonnables de bonne volonté les considèrent comme universels, et tout le travail du raisonnement moral est d’examiner comment fonctionnent ces principes dans des situations particulières. Des problèmes moraux surgissent lorsque certaines circonstances suggèrent qu’il peut y avoir des exceptions à un accord moral commun. Il suffit de penser à la guerre, produit de l’éthique du droit naturel, comme un exemple de base de la façon dont fonctionne une éthique de la loi naturelle – l’accord moral commun que la force ne devrait pas être utilisée pour régler les conflits est accompagné de plusieurs critères liés à la justice, qui, s’ils sont soulevés, permettent qu’exceptionnellement il puisse y avoir une utilisation (limitée) de la force. La guerre fournit ici un modèle de la manière dont une éthique de la loi naturelle aborde les problèmes moraux, et c’est applicable aux questions de bioéthique. La question de l’acharnement médical illustre comment une éthique de la loi naturelle œuvre dans le domaine de la bioéthique. Les gens raisonnables de bonne volonté conviendront que les personnes confrontées à de terribles conditions de santé en fin de vie doivent recevoir des soins, mais l’acharnement soulève la question de l’étendue de ces soins. Le cas de Baby K est pris en exemple. Baby K était un bébé anencéphale, né sans cortex cérébral. Sa situation était médicalement catastrophique, sans aucune perspective raisonnable d’épanouissement. La vie elle-même n’avait pas de valeur pour elle. Sa mère, cependant, mettant en avant le caractère sacré de la vie, a demandé des soins agressifs, notamment chirurgicaux, que le personnel médical ne voulait pas accomplir étant donné l’état de santé du bébé. Les tribunaux, à la suite d’une loi fédérale américaine qui oblige les hôpitaux à fournir des soins d’urgence à tout patient, ont suivi la mère et le bébé a reçu un traitement agressif, et a vécu plus longtemps que les bébés avec la même pathologie. L’affaire soulève des questions de bioéthique liées à l’acharnement thérapeutique. Baby K a reçu un traitement parce que les gens raisonnables de bonne volonté conviennent universellement que même les patients gravement en détresse doivent recevoir des soins médicaux. Sur le modèle loi naturelle de la « guerre juste », cependant, étant donné la situation désastreuse de Baby K, plusieurs critères peuvent être avancés qui permettraient un refus de traitement en faveur des soins palliatifs. Ces critères tiennent compte d’un ensemble d’éléments tels que l’appréciation des médecins pour qui les interventions thérapeutiques ne peuvent plus améliorer l’état du patient, une communication claire avec les familles et les décideurs de substitution sur le pronostic médical, et la prise en compte du genre ou des préjugés raciaux qui pourraient avoir une incidence sur la fourniture de soins et sur les prises de décisions dans les cas graves. L’approche de la loi naturelle met l’accent sur la délibération motivée en tant que professionnels médicaux traitent des questions identifiées dans les critères de « juste acharnement » en considérant les prochaines étapes dans les soins aux patients. Les valeurs liées aux biens de la vie émergent dans les débats sur l’acharnement. Le patient comme personne et sa vie sont clairement des valeurs fondamentales comme est également raisonnable de considérer, ce qui, en tant que bien de la vie, entre en conflit avec le bien de la vie lui-même dans les cas d’acharnements. L’éthique du droit naturel tend vers une prise de décision se fondant sur des délibérations rationnelles et éclairées sur des questions éthiques, des valeurs comme l’équité et l’égalité des personnes, une communication sans masque, et une considération de la mort comme une étape naturelle dans le processus de la vie. L’attention est donnée aux soins centrés sur le patient, sur un dialogue et une communication claire entre le personnel médical et les familles, ainsi qu’à la possibilité que la volonté de bien faire peut annuler l’autonomie devrait faire résister les familles à la tentation des soins agressifs. Les valeurs fondamentales liées à l’acharnement et aux soins des patients en général peuvent être identifiés dans cette discussion d’une approche naturelle de la loi de bioéthique.Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=7186
in Ethics, Medicine & Public Health > Vol.2 N°2 (Avril-Juin 2016) . - p. 170-180[article] Core values in bioethics: A natural law perspective : Valeurs fondamentales en bioéthique: sous l’angle de la loi naturelle [texte imprimé] / L. Steffen, Auteur . - 2016 . - p. 170-180.
Langues : Anglais
in Ethics, Medicine & Public Health > Vol.2 N°2 (Avril-Juin 2016) . - p. 170-180
Mots-clés : "Loi_naturelle" "Accords_moraux_communs" "Acharnement_thérapeutique" "Modèle_de_la_guerre_juste" "Critères_de_justice" Principes Valeurs "Les_biens_de_la_vie" Autonomie Bienfaisance Résumé : .
L’éthique du droit naturel peut contribuer à une évaluation des valeurs fondamentales en matière de bioéthique. Dans l’éthique du droit naturel, la raison reconnaît les biens intrinsèques nécessaires pour s’épanouir. Parmi ces biens on trouve la vie elle-même, une raison pratique, l’expérience esthétique, le jeu, l’intégrité physique, l’amitié, et d’autres; et la loi naturelle affirme qu’il existe une structure de signification morale qui présente à la raison des « principes moraux objectifs » qui aident à l’intégrité de ces biens. Ce sont des accords moraux communs que les gens raisonnables de bonne volonté peuvent affirmer. Même s’ils sont décrits comme « objectifs », ces accords moraux communs ne sont pas des absolus moraux. Les personnes raisonnables de bonne volonté les considèrent comme universels, et tout le travail du raisonnement moral est d’examiner comment fonctionnent ces principes dans des situations particulières. Des problèmes moraux surgissent lorsque certaines circonstances suggèrent qu’il peut y avoir des exceptions à un accord moral commun. Il suffit de penser à la guerre, produit de l’éthique du droit naturel, comme un exemple de base de la façon dont fonctionne une éthique de la loi naturelle – l’accord moral commun que la force ne devrait pas être utilisée pour régler les conflits est accompagné de plusieurs critères liés à la justice, qui, s’ils sont soulevés, permettent qu’exceptionnellement il puisse y avoir une utilisation (limitée) de la force. La guerre fournit ici un modèle de la manière dont une éthique de la loi naturelle aborde les problèmes moraux, et c’est applicable aux questions de bioéthique. La question de l’acharnement médical illustre comment une éthique de la loi naturelle œuvre dans le domaine de la bioéthique. Les gens raisonnables de bonne volonté conviendront que les personnes confrontées à de terribles conditions de santé en fin de vie doivent recevoir des soins, mais l’acharnement soulève la question de l’étendue de ces soins. Le cas de Baby K est pris en exemple. Baby K était un bébé anencéphale, né sans cortex cérébral. Sa situation était médicalement catastrophique, sans aucune perspective raisonnable d’épanouissement. La vie elle-même n’avait pas de valeur pour elle. Sa mère, cependant, mettant en avant le caractère sacré de la vie, a demandé des soins agressifs, notamment chirurgicaux, que le personnel médical ne voulait pas accomplir étant donné l’état de santé du bébé. Les tribunaux, à la suite d’une loi fédérale américaine qui oblige les hôpitaux à fournir des soins d’urgence à tout patient, ont suivi la mère et le bébé a reçu un traitement agressif, et a vécu plus longtemps que les bébés avec la même pathologie. L’affaire soulève des questions de bioéthique liées à l’acharnement thérapeutique. Baby K a reçu un traitement parce que les gens raisonnables de bonne volonté conviennent universellement que même les patients gravement en détresse doivent recevoir des soins médicaux. Sur le modèle loi naturelle de la « guerre juste », cependant, étant donné la situation désastreuse de Baby K, plusieurs critères peuvent être avancés qui permettraient un refus de traitement en faveur des soins palliatifs. Ces critères tiennent compte d’un ensemble d’éléments tels que l’appréciation des médecins pour qui les interventions thérapeutiques ne peuvent plus améliorer l’état du patient, une communication claire avec les familles et les décideurs de substitution sur le pronostic médical, et la prise en compte du genre ou des préjugés raciaux qui pourraient avoir une incidence sur la fourniture de soins et sur les prises de décisions dans les cas graves. L’approche de la loi naturelle met l’accent sur la délibération motivée en tant que professionnels médicaux traitent des questions identifiées dans les critères de « juste acharnement » en considérant les prochaines étapes dans les soins aux patients. Les valeurs liées aux biens de la vie émergent dans les débats sur l’acharnement. Le patient comme personne et sa vie sont clairement des valeurs fondamentales comme est également raisonnable de considérer, ce qui, en tant que bien de la vie, entre en conflit avec le bien de la vie lui-même dans les cas d’acharnements. L’éthique du droit naturel tend vers une prise de décision se fondant sur des délibérations rationnelles et éclairées sur des questions éthiques, des valeurs comme l’équité et l’égalité des personnes, une communication sans masque, et une considération de la mort comme une étape naturelle dans le processus de la vie. L’attention est donnée aux soins centrés sur le patient, sur un dialogue et une communication claire entre le personnel médical et les familles, ainsi qu’à la possibilité que la volonté de bien faire peut annuler l’autonomie devrait faire résister les familles à la tentation des soins agressifs. Les valeurs fondamentales liées à l’acharnement et aux soins des patients en général peuvent être identifiés dans cette discussion d’une approche naturelle de la loi de bioéthique.Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=7186 Elle s'appelait EMMA / Alain Thiesse
PermalinkEthique Bouddhiste: fin de vie et mort / Olivier Rabary
PermalinkVers une mort solidaire / Paula La Marne
PermalinkÉthique de la mort et droit à la mort / Jean-Louis Baudouin ; Danielle Blondeau
PermalinkFutile and/or useless medical care: from anguish to the serenity of a bioethical balance / William Saad Hossne in Journal International de Bioéthique, Vol.25 N°4 (Décembre 2014)
PermalinkIs there a death with dignity in today's medicine ? / Iva Sorta-Bilajac in Journal International de Bioéthique, Vol.21 N°4 (Décembre 2010)
PermalinkRecevoir le consentement en gériatrie / Chantal Regnier in Laennec, 4-2011 (Octobre 2011)
PermalinkThe role of law in the development of american bioethics / Mark A. Rothstein in Journal International de Bioéthique, Vol.20 N°4 (Décembre 2009)
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