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L'amélioration technique de l'être humain: introduction aux différents courants du débat / Laurent Frippiat in Journal International de Bioéthique, Vol.22 N°3-4 (Septembre-Décembre 2011)
[article]
Titre : L'amélioration technique de l'être humain: introduction aux différents courants du débat Type de document : texte imprimé Auteurs : Laurent Frippiat, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : p. 33-50 Langues : Français Mots-clés : Amélioration Transhumanisme Technologie Science Progrès "Devenir_de_l_humanité" Normalité Egalité Résumé : .
L’objectif de cet article est de proposer un éventail des positions du débat sur l’amélioration technique de l’être humain, d’analyser leurs arguments ainsi que de pointer leurs zones de fracture. Le mouvement transhumaniste est d’abord présenté en mettant en surbrillance les thématiques principales de sa philosophie, ses moyens d’action et la pluralité de ses sous-groupes. Le but est de rendre la complexité du transhumanisme de façon introductive, à l’inverse des simplifications excessives qui en sont généralement faites. Dans un second temps, le mouvement dit «bioconservateur», est également abordé afin de dégager les normes et les principes intersubjectivement partagés par les opposants à la modification de l’être humain. Ensuite, les penseurs de l’éthique libérale y sont présentés comme une alternative plus mesurée. Ouverts à l’application des technologies d’amélioration, ils conservent un garde-fou suprême, incarné par le principe du tort et le respect de la liberté individuelle. Une fois les acteurs introduits, le véritable sens des diverses positions est replacé dans le cadre des trois principales lignes de partage: la nature humaine, le critère de normalité et le principe d’égalité. Un débat complexe qui se ramène à une question simple: que va faire l’humain de l’humain au 21e siècle?Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=5795
in Journal International de Bioéthique > Vol.22 N°3-4 (Septembre-Décembre 2011) . - p. 33-50[article] L'amélioration technique de l'être humain: introduction aux différents courants du débat [texte imprimé] / Laurent Frippiat, Auteur . - 2011 . - p. 33-50.
Langues : Français
in Journal International de Bioéthique > Vol.22 N°3-4 (Septembre-Décembre 2011) . - p. 33-50
Mots-clés : Amélioration Transhumanisme Technologie Science Progrès "Devenir_de_l_humanité" Normalité Egalité Résumé : .
L’objectif de cet article est de proposer un éventail des positions du débat sur l’amélioration technique de l’être humain, d’analyser leurs arguments ainsi que de pointer leurs zones de fracture. Le mouvement transhumaniste est d’abord présenté en mettant en surbrillance les thématiques principales de sa philosophie, ses moyens d’action et la pluralité de ses sous-groupes. Le but est de rendre la complexité du transhumanisme de façon introductive, à l’inverse des simplifications excessives qui en sont généralement faites. Dans un second temps, le mouvement dit «bioconservateur», est également abordé afin de dégager les normes et les principes intersubjectivement partagés par les opposants à la modification de l’être humain. Ensuite, les penseurs de l’éthique libérale y sont présentés comme une alternative plus mesurée. Ouverts à l’application des technologies d’amélioration, ils conservent un garde-fou suprême, incarné par le principe du tort et le respect de la liberté individuelle. Une fois les acteurs introduits, le véritable sens des diverses positions est replacé dans le cadre des trois principales lignes de partage: la nature humaine, le critère de normalité et le principe d’égalité. Un débat complexe qui se ramène à une question simple: que va faire l’humain de l’humain au 21e siècle?Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=5795 "Enhancement et éthique" / John Harris in Journal International de Bioéthique, Vol.22 N°3-4 (Septembre-Décembre 2011)
[article]
Titre : "Enhancement et éthique" Type de document : texte imprimé Auteurs : John Harris, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : p. 137-151 Langues : Français Mots-clés : Amélioration "Devenir_de_l_humanité" "théorie_de_l_évolution" Résumé : .
Supposons que nous puissions un jour utiliser le génie génétique, la médecine régénérative ou la pharmacopée (enhancers chimiques, par exemple) ou les technologies de la reproduction ou les nanotechnologies afin de produire des individus en meilleure santé, en meilleure condition physique et plus intelligents: comment devrions-nous réagir? Cela serait-il contraire à l’éthique que d’agir de la sorte? Cela serait-il conforme à l’éthique que de ne pas agir de la sorte?
Voici la question que je pose: si nous considérons qu’il est légitime de nous efforcer de réaliser par l’éducation – y compris par l’éducation à la santé de la communauté en général – des buts comme l’amélioration de l’intelligence, l’augmentation des facultés et des capacités et un meilleur état de santé, pourquoi ne serait-il pas légitime de réaliser de tels but par des techniques ou par des procédés d’enhancement, dès lors que ces techniques et ces procédés sont sans risques?
Si ce sont des buts légitimes de l’éducation, comment peuvent-ils être illégitimes en devenant des buts pour les sciences médicales ou biologiques, par opposition avec les sciences de l’éducation?Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=5801
in Journal International de Bioéthique > Vol.22 N°3-4 (Septembre-Décembre 2011) . - p. 137-151[article] "Enhancement et éthique" [texte imprimé] / John Harris, Auteur . - 2011 . - p. 137-151.
Langues : Français
in Journal International de Bioéthique > Vol.22 N°3-4 (Septembre-Décembre 2011) . - p. 137-151
Mots-clés : Amélioration "Devenir_de_l_humanité" "théorie_de_l_évolution" Résumé : .
Supposons que nous puissions un jour utiliser le génie génétique, la médecine régénérative ou la pharmacopée (enhancers chimiques, par exemple) ou les technologies de la reproduction ou les nanotechnologies afin de produire des individus en meilleure santé, en meilleure condition physique et plus intelligents: comment devrions-nous réagir? Cela serait-il contraire à l’éthique que d’agir de la sorte? Cela serait-il conforme à l’éthique que de ne pas agir de la sorte?
Voici la question que je pose: si nous considérons qu’il est légitime de nous efforcer de réaliser par l’éducation – y compris par l’éducation à la santé de la communauté en général – des buts comme l’amélioration de l’intelligence, l’augmentation des facultés et des capacités et un meilleur état de santé, pourquoi ne serait-il pas légitime de réaliser de tels but par des techniques ou par des procédés d’enhancement, dès lors que ces techniques et ces procédés sont sans risques?
Si ce sont des buts légitimes de l’éducation, comment peuvent-ils être illégitimes en devenant des buts pour les sciences médicales ou biologiques, par opposition avec les sciences de l’éducation?Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=5801 Humain, transhumain, posthumain. Représentations du corps entre incomplétude et amélioration / Marina Maestrutti in Journal International de Bioéthique, Vol.22 N°3-4 (Septembre-Décembre 2011)
[article]
Titre : Humain, transhumain, posthumain. Représentations du corps entre incomplétude et amélioration Type de document : texte imprimé Auteurs : Marina Maestrutti, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : p. 51-66 Langues : Français Mots-clés : Amélioration Transhumanisme Technologie Science Progrès "Devenir_de_l_humanité" Humanisme Ethno-Anthropologie "Théorie_de_l_évolution" "Corps_humain" Résumé : .
La notion de posthumain est souvent utilisée pour indiquer une série de postures, pratiques, prospectives et visions qui concernent l’avenir de l’être humain en stricte relation avec l’utilisation des technologies contemporaines. Cette contribution voudrait analyser diverses conceptions de la notion de posthumain et la présenter comme possible forme de pensée «non anthropocentrée» qui considère les changements technologiques comme des réalités non humaines étroitement impliquées dans la construction et la définition de ce qui constitue l’humain (et son corps) et ses prédicats.
Face à un anthropocentrisme qui caractérise la pensée occidentale depuis l’humanisme jusqu’aux issues extrêmes du transhumanisme, le posthumanisme non anthropocentré met en évidence comment l’être humain, depuis toujours produit de l’hybridation avec le non-humain (l’environnement, l’animal et la technique), ne se construit – «fabrique» – pas que par ses seules forces mais toujours à travers ce qui constitue son partenariat et son milieu.
La notion d’amélioration du corps par la technologie en vue d’atteindre une autre étape de l’évolution humaine est un des éléments constants qui caractérisent la vision transhumaniste. Le posthumanisme propose de ne plus considérer l’interface avec la technologie sous la forme d’une ergonomie de l’instrument qui prolonge le corps en restant extérieur, mais sous la forme d’une compénétration qui remet en discussion sa séparation et sa centralité en posant la question de son identité et son degré de liberté.
Dans cette perspective, il ne s’agit pas et jamais de simplement établir quel est l’usage correct d’une technologie mais, à chaque fois, de se redéfinir dans ses perspectives et ses prédicats par rapport à ce qu’une technologie nous permet et nous ouvre.Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=5796
in Journal International de Bioéthique > Vol.22 N°3-4 (Septembre-Décembre 2011) . - p. 51-66[article] Humain, transhumain, posthumain. Représentations du corps entre incomplétude et amélioration [texte imprimé] / Marina Maestrutti, Auteur . - 2011 . - p. 51-66.
Langues : Français
in Journal International de Bioéthique > Vol.22 N°3-4 (Septembre-Décembre 2011) . - p. 51-66
Mots-clés : Amélioration Transhumanisme Technologie Science Progrès "Devenir_de_l_humanité" Humanisme Ethno-Anthropologie "Théorie_de_l_évolution" "Corps_humain" Résumé : .
La notion de posthumain est souvent utilisée pour indiquer une série de postures, pratiques, prospectives et visions qui concernent l’avenir de l’être humain en stricte relation avec l’utilisation des technologies contemporaines. Cette contribution voudrait analyser diverses conceptions de la notion de posthumain et la présenter comme possible forme de pensée «non anthropocentrée» qui considère les changements technologiques comme des réalités non humaines étroitement impliquées dans la construction et la définition de ce qui constitue l’humain (et son corps) et ses prédicats.
Face à un anthropocentrisme qui caractérise la pensée occidentale depuis l’humanisme jusqu’aux issues extrêmes du transhumanisme, le posthumanisme non anthropocentré met en évidence comment l’être humain, depuis toujours produit de l’hybridation avec le non-humain (l’environnement, l’animal et la technique), ne se construit – «fabrique» – pas que par ses seules forces mais toujours à travers ce qui constitue son partenariat et son milieu.
La notion d’amélioration du corps par la technologie en vue d’atteindre une autre étape de l’évolution humaine est un des éléments constants qui caractérisent la vision transhumaniste. Le posthumanisme propose de ne plus considérer l’interface avec la technologie sous la forme d’une ergonomie de l’instrument qui prolonge le corps en restant extérieur, mais sous la forme d’une compénétration qui remet en discussion sa séparation et sa centralité en posant la question de son identité et son degré de liberté.
Dans cette perspective, il ne s’agit pas et jamais de simplement établir quel est l’usage correct d’une technologie mais, à chaque fois, de se redéfinir dans ses perspectives et ses prédicats par rapport à ce qu’une technologie nous permet et nous ouvre.Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=5796 L'humanité se dit de multiples manières / Bernard Baertschi in Journal International de Bioéthique, Vol.22 N°3-4 (Septembre-Décembre 2011)
[article]
Titre : L'humanité se dit de multiples manières Type de document : texte imprimé Auteurs : Bernard Baertschi (1949-....), Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : p. 67-76 Langues : Français Mots-clés : Amélioration Transhumanisme Technologie Science "Devenir_de_l_humanité" Résumé : .
Les débats sur l’amélioration de l’être humain posent la question du caractère moralement désirable de l’amélioration de nos capacités. En un sens, la réponse est immédiate: améliorer est, par définition, une bonne chose. Toutefois, il s’agit ici d’une amélioration dans un sens bien précis, celui d’aller au-delà de nos capacités «naturelles». Est-ce encore une bonne chose? Pour répondre à cette question, il faut se demander quelle est la valeur des biens que nous poursuivons quand nous cherchons à nous améliorer, ce qui n’est possible que si on les place à l’intérieur d’une conception de la vie bonne elle-même désirable. Il existe plusieurs conceptions de la vie bonne qui sont désirables, même si toutes ne le sont pas. Chacune demande que nous nous améliorons dans une certaine direction, selon les types d’excellences et l’idéal de la personne qu’elle promeut. Mais tous les moyens sont-ils permis pour atteindre ces excellences et cet idéal? Ce n’est évidemment pas le cas. Pour y voir plus clair, une série de principes normatifs est proposée afin de déterminer quels sont les moyens moralement admissibles pour nous améliorer. Il en ressort que l’usage de moyens technologiques et biotechnologiques ne pose aucun problème particulier.Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=5797
in Journal International de Bioéthique > Vol.22 N°3-4 (Septembre-Décembre 2011) . - p. 67-76[article] L'humanité se dit de multiples manières [texte imprimé] / Bernard Baertschi (1949-....), Auteur . - 2011 . - p. 67-76.
Langues : Français
in Journal International de Bioéthique > Vol.22 N°3-4 (Septembre-Décembre 2011) . - p. 67-76
Mots-clés : Amélioration Transhumanisme Technologie Science "Devenir_de_l_humanité" Résumé : .
Les débats sur l’amélioration de l’être humain posent la question du caractère moralement désirable de l’amélioration de nos capacités. En un sens, la réponse est immédiate: améliorer est, par définition, une bonne chose. Toutefois, il s’agit ici d’une amélioration dans un sens bien précis, celui d’aller au-delà de nos capacités «naturelles». Est-ce encore une bonne chose? Pour répondre à cette question, il faut se demander quelle est la valeur des biens que nous poursuivons quand nous cherchons à nous améliorer, ce qui n’est possible que si on les place à l’intérieur d’une conception de la vie bonne elle-même désirable. Il existe plusieurs conceptions de la vie bonne qui sont désirables, même si toutes ne le sont pas. Chacune demande que nous nous améliorons dans une certaine direction, selon les types d’excellences et l’idéal de la personne qu’elle promeut. Mais tous les moyens sont-ils permis pour atteindre ces excellences et cet idéal? Ce n’est évidemment pas le cas. Pour y voir plus clair, une série de principes normatifs est proposée afin de déterminer quels sont les moyens moralement admissibles pour nous améliorer. Il en ressort que l’usage de moyens technologiques et biotechnologiques ne pose aucun problème particulier.Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=5797 Nature humaine et amélioration de l'être humain à la lumière du programme transhumaniste / Jean-Yves Goffi in Journal International de Bioéthique, Vol.22 N°3-4 (Septembre-Décembre 2011)
[article]
Titre : Nature humaine et amélioration de l'être humain à la lumière du programme transhumaniste Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Yves Goffi, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : p. 19-32 Langues : Français Mots-clés : Amélioration Existentialisme Transhumanisme Technologie Science Progrès "Devenir_de_l_humanité" Résumé : .
On distingue classiquement trois positions relatives à la question de la nature humaine. Selon l’approche essentialiste, il existe une nature humaine invariable, la même pour tous; selon l’approche existentialiste, il n’existe pas de nature humaine, mais des invariants existentiaux; selon une approche médiane, il n’existe de nature humaine qu’en un sens faible et il vaudrait mieux parler d’invariants anthropologiques. On s’intéresse ici aux spéculations des transhumanistes qui pensent qu’il existe bien une nature humaine, mais en font un stade particulier de l’évolution biologique, destiné à être dépassé au moyen des technologies de l’hyper-modernité. On montre que ce projet radicalise et caricature les possibilités effectives d’amélioration de l’être humain.Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=5794
in Journal International de Bioéthique > Vol.22 N°3-4 (Septembre-Décembre 2011) . - p. 19-32[article] Nature humaine et amélioration de l'être humain à la lumière du programme transhumaniste [texte imprimé] / Jean-Yves Goffi, Auteur . - 2011 . - p. 19-32.
Langues : Français
in Journal International de Bioéthique > Vol.22 N°3-4 (Septembre-Décembre 2011) . - p. 19-32
Mots-clés : Amélioration Existentialisme Transhumanisme Technologie Science Progrès "Devenir_de_l_humanité" Résumé : .
On distingue classiquement trois positions relatives à la question de la nature humaine. Selon l’approche essentialiste, il existe une nature humaine invariable, la même pour tous; selon l’approche existentialiste, il n’existe pas de nature humaine, mais des invariants existentiaux; selon une approche médiane, il n’existe de nature humaine qu’en un sens faible et il vaudrait mieux parler d’invariants anthropologiques. On s’intéresse ici aux spéculations des transhumanistes qui pensent qu’il existe bien une nature humaine, mais en font un stade particulier de l’évolution biologique, destiné à être dépassé au moyen des technologies de l’hyper-modernité. On montre que ce projet radicalise et caricature les possibilités effectives d’amélioration de l’être humain.Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=5794
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