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La science de la communication dans la relation médecin-patient in Journal International de Bioéthique, Vol.18 N°3 (Septembre 2008)
[article]
Titre : La science de la communication dans la relation médecin-patient Type de document : texte imprimé Auteurs : Irina Moroianu Zlatescu, Auteur ; Octav Popescu, Auteur Année de publication : 2008 Article en page(s) : p. 45-50 Langues : Français Mots-clés : "Relation_médecin_patient" Communication "Information_du_patient" Résumé : .
Les auteurs consacrent leur ouvrage à l'amélioration de la communication interhumaine au sein du système sanitaire, principalement dans le sous-système de la relation médecin-patient, dans un esprit de respect des droits de l'homme en général et de respect des droits des patients en particulier. L'emploi conjugué des éléments d'éthique médicale, acquis au long de la formation professionnelle - universitaire et post-universitaire - et des connaissances assimilées suite à une information de dernière heure relative à la science de la communication est un devoir permanent de tous ceux qui participent à l'activité d'assistance médicale de la population, dans le but d'améliorer leurs relations avec les patients. Les auteurs pensent que c'est uniquement de cette manière que peut s'accroître le degré de confiance et de satisfaction de la population vis-à-vis de ceux qui leur dispensent des soins de santé. Les auteurs plaident en faveur de la mise en œuvre, dans la pratique médicale courante, du logo de la communication; «Tu ne communiques pas, tu n'existes pas. Tu ne sais pas, tu es fautif», en tant que principe fondateur de l'éthique et de la déontologie professionnelle médicale, applicable dans la pratique médicale tant privée que de santé publique. La bonne communication médecin-patient engendre la confiance et le respect réciproque. L'absence ou bien une communication défectueuse provoquent la méfiance, la suspicion, l'animosité et même des conflits qui peuvent amener les médecins devant le Collège des Médecins de Roumanie ou bien amener les deux, médecin et patient, devant la justice. S'il est vrai que, au cours de l'activité d'assistance médicale, les patients souhaitent que l'on respecte leur droit d'être soignés et traités en tant qu'hommes dignes, ceux qui les soignent invoquent, à leur tour, leur droit au respect et à la dignité de la part de leurs patients. La législation nationale consacrée au problèmes de la relation professionnelle médecin-patient contient des prévisions en stricte concordance avec les réglementations en la matière de l'Union Européenne. Une fois ces normes éthiques et juridiques présentes dans la législation nationale, le pas suivant doit être dirigé vers la mise en œuvre et le contrôle de la modalité dont ces desiderata sont appliquées dans la vie de la société roumaine.Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=3974
in Journal International de Bioéthique > Vol.18 N°3 (Septembre 2008) . - p. 45-50[article] La science de la communication dans la relation médecin-patient [texte imprimé] / Irina Moroianu Zlatescu, Auteur ; Octav Popescu, Auteur . - 2008 . - p. 45-50.
Langues : Français
in Journal International de Bioéthique > Vol.18 N°3 (Septembre 2008) . - p. 45-50
Mots-clés : "Relation_médecin_patient" Communication "Information_du_patient" Résumé : .
Les auteurs consacrent leur ouvrage à l'amélioration de la communication interhumaine au sein du système sanitaire, principalement dans le sous-système de la relation médecin-patient, dans un esprit de respect des droits de l'homme en général et de respect des droits des patients en particulier. L'emploi conjugué des éléments d'éthique médicale, acquis au long de la formation professionnelle - universitaire et post-universitaire - et des connaissances assimilées suite à une information de dernière heure relative à la science de la communication est un devoir permanent de tous ceux qui participent à l'activité d'assistance médicale de la population, dans le but d'améliorer leurs relations avec les patients. Les auteurs pensent que c'est uniquement de cette manière que peut s'accroître le degré de confiance et de satisfaction de la population vis-à-vis de ceux qui leur dispensent des soins de santé. Les auteurs plaident en faveur de la mise en œuvre, dans la pratique médicale courante, du logo de la communication; «Tu ne communiques pas, tu n'existes pas. Tu ne sais pas, tu es fautif», en tant que principe fondateur de l'éthique et de la déontologie professionnelle médicale, applicable dans la pratique médicale tant privée que de santé publique. La bonne communication médecin-patient engendre la confiance et le respect réciproque. L'absence ou bien une communication défectueuse provoquent la méfiance, la suspicion, l'animosité et même des conflits qui peuvent amener les médecins devant le Collège des Médecins de Roumanie ou bien amener les deux, médecin et patient, devant la justice. S'il est vrai que, au cours de l'activité d'assistance médicale, les patients souhaitent que l'on respecte leur droit d'être soignés et traités en tant qu'hommes dignes, ceux qui les soignent invoquent, à leur tour, leur droit au respect et à la dignité de la part de leurs patients. La législation nationale consacrée au problèmes de la relation professionnelle médecin-patient contient des prévisions en stricte concordance avec les réglementations en la matière de l'Union Européenne. Une fois ces normes éthiques et juridiques présentes dans la législation nationale, le pas suivant doit être dirigé vers la mise en œuvre et le contrôle de la modalité dont ces desiderata sont appliquées dans la vie de la société roumaine.Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=3974 La bioéthique: de l'altération du langage médical à la transformation de la relation médecin-patient / Daniel Serrao in Journal International de Bioéthique, Vol.11 N°3-4-5 (Septembre-Décembre 2000)
[article]
Titre : La bioéthique: de l'altération du langage médical à la transformation de la relation médecin-patient Type de document : texte imprimé Auteurs : Daniel Serrao, Auteur Année de publication : 2004 Article en page(s) : p. 109-114 Langues : Français Mots-clés : "Ethique_médicale" "Relation_médecin_patient" "Pouvoir_médical" "Consentement_éclairé" Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=3756
in Journal International de Bioéthique > Vol.11 N°3-4-5 (Septembre-Décembre 2000) . - p. 109-114[article] La bioéthique: de l'altération du langage médical à la transformation de la relation médecin-patient [texte imprimé] / Daniel Serrao, Auteur . - 2004 . - p. 109-114.
Langues : Français
in Journal International de Bioéthique > Vol.11 N°3-4-5 (Septembre-Décembre 2000) . - p. 109-114
Mots-clés : "Ethique_médicale" "Relation_médecin_patient" "Pouvoir_médical" "Consentement_éclairé" Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=3756 Communication non verbale, enseignement et éducation à la santé / V. Baty ; A. Baty in Ethique et santé, Vol.13 N°4 (Décembre 2016)
[article]
Titre : Communication non verbale, enseignement et éducation à la santé Type de document : texte imprimé Auteurs : V. Baty, Auteur ; A. Baty, Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 235-243 Langues : Français Mots-clés : "Communication_non_verbale" "Médecine_connectée" "Relation_médecin–patient" "Gestes_et_postures_professionnels" "Éducation_à_la_santé" Résumé : .
La médecine personnalisée vise à redonner au patient une autonomie réelle face au discours médical. Le développement des objets mobiles appliqués à la santé et des techniques de l’information et de la communication font envisager une médecine connectée ou la place du médecin reste à définir. Pourtant, la relation médecin–patient est fondée sur le partage d’émotions dont la communication non verbale est un vecteur essentiel. Que devient ce mode de communication lorsque la relation se déroule à distance et quant l’interface n’est que numérique ? Comment construire une relation forte et durable lorsque le besoin d’information des patients privilégie l’immédiateté ? Comment imaginer une éducation à la santé sans médecin ? Le parallèle avec l’enseignement à distance développé au sein de l’éducation nationale permet une première approche en insistant sur le rôle des émotions dans le transfert d’information et en soulignant la différence entre information et formation. L’évolution de la relation patient–médecin dans le contexte de la médecine connectée impose de nouvelles postures qui devront intégrer le rôle de la communication non verbale pour conserver le sens des émotions et la qualité des échanges.Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=7309
in Ethique et santé > Vol.13 N°4 (Décembre 2016) . - p. 235-243[article] Communication non verbale, enseignement et éducation à la santé [texte imprimé] / V. Baty, Auteur ; A. Baty, Auteur . - 2017 . - p. 235-243.
Langues : Français
in Ethique et santé > Vol.13 N°4 (Décembre 2016) . - p. 235-243
Mots-clés : "Communication_non_verbale" "Médecine_connectée" "Relation_médecin–patient" "Gestes_et_postures_professionnels" "Éducation_à_la_santé" Résumé : .
La médecine personnalisée vise à redonner au patient une autonomie réelle face au discours médical. Le développement des objets mobiles appliqués à la santé et des techniques de l’information et de la communication font envisager une médecine connectée ou la place du médecin reste à définir. Pourtant, la relation médecin–patient est fondée sur le partage d’émotions dont la communication non verbale est un vecteur essentiel. Que devient ce mode de communication lorsque la relation se déroule à distance et quant l’interface n’est que numérique ? Comment construire une relation forte et durable lorsque le besoin d’information des patients privilégie l’immédiateté ? Comment imaginer une éducation à la santé sans médecin ? Le parallèle avec l’enseignement à distance développé au sein de l’éducation nationale permet une première approche en insistant sur le rôle des émotions dans le transfert d’information et en soulignant la différence entre information et formation. L’évolution de la relation patient–médecin dans le contexte de la médecine connectée impose de nouvelles postures qui devront intégrer le rôle de la communication non verbale pour conserver le sens des émotions et la qualité des échanges.Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=7309 How nonverbal communication shapes doctor-patient relationship: From paternalism to the ethics of care in oncology / C. Bommier in Journal International de Bioéthique, Vol.24 N°4 (Décembre 2013)
[article]
Titre : How nonverbal communication shapes doctor-patient relationship: From paternalism to the ethics of care in oncology Type de document : texte imprimé Auteurs : C. Bommier, Auteur ; Marie-France Mamzer-Bruneel, Auteur ; D. Desmarchelier, Auteur ; Christian Hervé, Auteur Année de publication : 2014 Article en page(s) : p. 137-158 Langues : Anglais Mots-clés : "relation_médecin_patient" cancer paternalisme "éthique_clinique" communication "pratique_médicale" "information_du_patient" Résumé : .
Le but de cette étude est de rechercher, après la dénonciation du paternalisme menée jusqu’aujourd’hui, si une utilisation maîtrisée de la communication non orale par les praticiens risque de le laisser subsister dans la consultation en oncologie (choisie comme exemple de relation médecin-patient). Ainsi, l’étude a consisté en une recherche qualitative basée sur des observations et des questionnaires, et s’est fondée sur des références de sociologie et d’anthropologie reconnues. Nous avons pu constater que l’encadrement législatif contraignant de la relation médecin-patient n’a fait que déplacer le problème du paternalisme du langage parlé vers un nouvel outil que les médecins ne savent pas encore totalement maîtriser et dont les patients négligent encore trop l’existence : la communication non orale. Cette étude montre que toutes les lois encadrant la relation médecin-patient peuvent être contournées et qu’une maîtrise de la communication non orale peut aboutir à un retour au paternalisme. Alors, le rejet du paternalisme doit se traduire par une lecture appropriée de l’histoire du patient: cette lecture, en terme éthique, n’est valable que si on veille au conditionnement non paternaliste du patient par la structure hospitalière, à la compréhension de sa temporalité par le médecin, et à l’engagement complet de ce dernier dans le serment d’Hippocrate, codifié par l’éthique du care.Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6724
in Journal International de Bioéthique > Vol.24 N°4 (Décembre 2013) . - p. 137-158[article] How nonverbal communication shapes doctor-patient relationship: From paternalism to the ethics of care in oncology [texte imprimé] / C. Bommier, Auteur ; Marie-France Mamzer-Bruneel, Auteur ; D. Desmarchelier, Auteur ; Christian Hervé, Auteur . - 2014 . - p. 137-158.
Langues : Anglais
in Journal International de Bioéthique > Vol.24 N°4 (Décembre 2013) . - p. 137-158
Mots-clés : "relation_médecin_patient" cancer paternalisme "éthique_clinique" communication "pratique_médicale" "information_du_patient" Résumé : .
Le but de cette étude est de rechercher, après la dénonciation du paternalisme menée jusqu’aujourd’hui, si une utilisation maîtrisée de la communication non orale par les praticiens risque de le laisser subsister dans la consultation en oncologie (choisie comme exemple de relation médecin-patient). Ainsi, l’étude a consisté en une recherche qualitative basée sur des observations et des questionnaires, et s’est fondée sur des références de sociologie et d’anthropologie reconnues. Nous avons pu constater que l’encadrement législatif contraignant de la relation médecin-patient n’a fait que déplacer le problème du paternalisme du langage parlé vers un nouvel outil que les médecins ne savent pas encore totalement maîtriser et dont les patients négligent encore trop l’existence : la communication non orale. Cette étude montre que toutes les lois encadrant la relation médecin-patient peuvent être contournées et qu’une maîtrise de la communication non orale peut aboutir à un retour au paternalisme. Alors, le rejet du paternalisme doit se traduire par une lecture appropriée de l’histoire du patient: cette lecture, en terme éthique, n’est valable que si on veille au conditionnement non paternaliste du patient par la structure hospitalière, à la compréhension de sa temporalité par le médecin, et à l’engagement complet de ce dernier dans le serment d’Hippocrate, codifié par l’éthique du care.Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6724 How nonverbal communication shapes doctor-patient relationship: from paternalism to the ethics of care in oncology / C. Bommier in Journal International de Bioéthique, Vol.25 N°4 (Décembre 2014)
[article]
Titre : How nonverbal communication shapes doctor-patient relationship: from paternalism to the ethics of care in oncology Type de document : texte imprimé Auteurs : C. Bommier, Auteur ; Marie-France Mamzer-Bruneel, Auteur ; D. Desmarchelier, Auteur ; Christian Hervé, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : p. 29-49 Langues : Anglais Mots-clés : "relation_médecin_patient" paternalisme "communication_non_verbale" Résumé : .
Le but de cette étude est de rechercher, après la dénonciation du paternalisme menée jusqu’aujourd’hui, si une utilisation maîtrisée de la communication non orale par les praticiens risque de le laisser subsister dans la consultation en oncologie (choisie comme exemple de relation médecin-patient). Ainsi, l’étude a consisté en une recherche qualitative basée sur des observations et des questionnaires, et s’est fondée sur des références de sociologie et d’anthropologie reconnues. Nous avons pu constater que l’encadrement législatif contraignant de la relation médecin-patient n’a fait que déplacer le problème du paternalisme du langage parlé vers un nouvel outil que les médecins ne savent pas encore totalement maîtriser et dont les patients négligent encore trop l’existence : la communication non orale. Cette étude montre que toutes les lois encadrant la relation médecin-patient peuvent être contournées et qu’une maîtrise de la communication non orale peut aboutir à un retour au paternalisme. Alors, le rejet du paternalisme doit se traduire par une lecture appropriée de l’histoire du patient : cette lecture, en terme éthique, n’est valable que si on veille au conditionnement non paternaliste du patient par la structure hospitalière, à la compréhension de sa temporalité par le médecin, et à l’engagement complet de ce dernier dans le serment d’Hippocrate, codifié par l’éthique du care.Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6883
in Journal International de Bioéthique > Vol.25 N°4 (Décembre 2014) . - p. 29-49[article] How nonverbal communication shapes doctor-patient relationship: from paternalism to the ethics of care in oncology [texte imprimé] / C. Bommier, Auteur ; Marie-France Mamzer-Bruneel, Auteur ; D. Desmarchelier, Auteur ; Christian Hervé, Auteur . - 2015 . - p. 29-49.
Langues : Anglais
in Journal International de Bioéthique > Vol.25 N°4 (Décembre 2014) . - p. 29-49
Mots-clés : "relation_médecin_patient" paternalisme "communication_non_verbale" Résumé : .
Le but de cette étude est de rechercher, après la dénonciation du paternalisme menée jusqu’aujourd’hui, si une utilisation maîtrisée de la communication non orale par les praticiens risque de le laisser subsister dans la consultation en oncologie (choisie comme exemple de relation médecin-patient). Ainsi, l’étude a consisté en une recherche qualitative basée sur des observations et des questionnaires, et s’est fondée sur des références de sociologie et d’anthropologie reconnues. Nous avons pu constater que l’encadrement législatif contraignant de la relation médecin-patient n’a fait que déplacer le problème du paternalisme du langage parlé vers un nouvel outil que les médecins ne savent pas encore totalement maîtriser et dont les patients négligent encore trop l’existence : la communication non orale. Cette étude montre que toutes les lois encadrant la relation médecin-patient peuvent être contournées et qu’une maîtrise de la communication non orale peut aboutir à un retour au paternalisme. Alors, le rejet du paternalisme doit se traduire par une lecture appropriée de l’histoire du patient : cette lecture, en terme éthique, n’est valable que si on veille au conditionnement non paternaliste du patient par la structure hospitalière, à la compréhension de sa temporalité par le médecin, et à l’engagement complet de ce dernier dans le serment d’Hippocrate, codifié par l’éthique du care.Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6883 Undue game of baseline principles: the physician-patient relationship from a bioethical perspective / Xia Guomei in Journal International de Bioéthique, Vol.23 N°2 (Juin 2012)
PermalinkLa chirurgie esthétique entre "quatre causes": promenade éthique autour du "lifting" / Florence Vinit in Journal International de Bioéthique, Vol.9 N°4 (Décembre 1998)
PermalinkInterprétariat, droits du malade et éthique de la communication / Marta Spranzi Zuber in Journal International de Bioéthique, Vol.11 N°3-4-5 (Septembre-Décembre 2000)
PermalinkLegal aspects of the risks raised by nanotechnologies in the field of medicine / Isabelle Poirot-Mazères in Journal International de Bioéthique, Vol.22 N°1-2 (Mars-Juin 2011)
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PermalinkLa maladie d’Alzheimer, un défi à l’autonomie du patient d’un point de vue compatibiliste ? / L. Huber in Ethique et santé, Vol.9 N°1 (Mars 2012)
PermalinkThe asymmetrical relationship between the health care professional and the patient in publics hospitals in Journal International de Bioéthique, Vol.19 N°1-2 (Mars - Juin 2008)
PermalinkThe development and perspectives of chinese bioethics in Journal International de Bioéthique, Vol.19 N°4 (Décembre 2008)
PermalinkTruth telling and informed consent: is "primum docere" the new motto of clinical practice? / Christian Byk in Journal International de Bioéthique, Vol.18 N°3 (Septembre 2008)
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