Centre de Ressources et de Documentation de l'Espace Éthique PACA-Corse
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Définition d'un cocept: approches anthropologique et sociologique de la croyance et sa fonction / M.-C. Leneveu in Ethique et santé, Vol.9 N°4 (Décembre 2012)
[article]
Titre : Définition d'un cocept: approches anthropologique et sociologique de la croyance et sa fonction Type de document : texte imprimé Auteurs : M.-C. Leneveu, Auteur Année de publication : 2013 Article en page(s) : p. 156-158 Langues : Français Mots-clés : Croyance Corporéité Culture Pratiques "Représentations_symboliques" Résumé : .
Selon Durkheim et Mauss, «le symbolique» est au cœur du procès de création de la société et parce qu’elles en constituent le fondement même, il existe des croyances dans toutes les sociétés. Composées d’un ensemble de normes forgé à partir d’un système symbolique original, ces dernières développent nécessairement un type de croyance particulier. En effet, sous tous ses aspects et à tous les moments de son histoire, la vie sociale n’est possible que grâce à un vaste symbolisme qui manifeste, via le corps de l’homme, un système de croyances collectives. Domaine de l’abstrait, la société utilise donc la corporéité pour entrer dans le domaine de la visibilité. En s’imprimant dans le corps et en s’exprimant par les pratiques humaines, l’empreinte porteuse de significations fait ainsi de la corporéité un phénomène social. In fine , médiateur de la culture du groupe au sein duquel son corps va évoluer, l’homme est en quelque sorte le produit et le porte-parole du système de croyances de la communauté à laquelle il appartient.Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6203
in Ethique et santé > Vol.9 N°4 (Décembre 2012) . - p. 156-158[article] Définition d'un cocept: approches anthropologique et sociologique de la croyance et sa fonction [texte imprimé] / M.-C. Leneveu, Auteur . - 2013 . - p. 156-158.
Langues : Français
in Ethique et santé > Vol.9 N°4 (Décembre 2012) . - p. 156-158
Mots-clés : Croyance Corporéité Culture Pratiques "Représentations_symboliques" Résumé : .
Selon Durkheim et Mauss, «le symbolique» est au cœur du procès de création de la société et parce qu’elles en constituent le fondement même, il existe des croyances dans toutes les sociétés. Composées d’un ensemble de normes forgé à partir d’un système symbolique original, ces dernières développent nécessairement un type de croyance particulier. En effet, sous tous ses aspects et à tous les moments de son histoire, la vie sociale n’est possible que grâce à un vaste symbolisme qui manifeste, via le corps de l’homme, un système de croyances collectives. Domaine de l’abstrait, la société utilise donc la corporéité pour entrer dans le domaine de la visibilité. En s’imprimant dans le corps et en s’exprimant par les pratiques humaines, l’empreinte porteuse de significations fait ainsi de la corporéité un phénomène social. In fine , médiateur de la culture du groupe au sein duquel son corps va évoluer, l’homme est en quelque sorte le produit et le porte-parole du système de croyances de la communauté à laquelle il appartient.Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6203 La force de conviction / Jean-Claude Guillebaud
Titre : La force de conviction : à quoi pouvons-nous croire ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Claude Guillebaud, Auteur Editeur : Paris : Éd. du Seuil Année de publication : 2005 Importance : 389 p. Présentation : couv. ill. en coul. Format : 25 cm ISBN/ISSN/EAN : 2-02-063927-0 Prix : 22 € Langues : Français Catégories : Philosophie:Philosophie morale - Morale, éthique, valeurs
Société et éthique:Dimension sociale:Religions - SacréMots-clés : Croyance "théorie_de_la_connaissance" "Évolution_sociale" Résumé : .
Nul homme ne peut vivre sans croyance. Aucune société humaine ne peut survivre sans une conviction minimale qui la maintienne debout. Or, en ce début de millénaire, une violence nouvelle semble avoir envahi le monde. Un peu partout, des fanatismes se déchaînent, des assassins tuent et terrorisent au nom de Dieu. Hier, c'est au nom de l'idéologie qu'ils le faisaient. Une folie paraît s'attacher, décidément, à toutes les croyances. Elle nous fait horreur. Dans le même temps, nous sentons rôder autour de nous le désabusement général. Un doute délétère nous habite. Le XXe siècle, avec ses massacres et ses désastres, nous a appris à nous méfier des adhésions rassembleuses et des utopies. Nous voudrions bien croire encore, mais à quoi? Nous errons encre intolérance et désenchantement, crédulité et cynisme. Quelque chose paraît s'être détraqué dans notre capacité de conviction.
Ainsi la grande question devient-elle aujourd'hui celle du croire, et de ses diverses pathologies. Cette question déborde largement le cadre du religieux et de son prétendu «retour». Ailleurs aussi, des dogmatismes et des cléricalismes menacent, d'autant plus redoutables qu'ils se présentent comme des savoirs. En politique ou en économie, dans la science ou dans la religion, il nous faut réapprendre à distinguer la croyance aveugle de la conviction raisonnable, la pure crédulité de la détermination réfléchie. C'est à cette patiente et minutieuse interrogation que nous invite ce livre: à quoi pouvons-nous croire?
Jean-Claude Guillebaud est écrivain et journaliste. Derniers livres publiés: La Trahison des Lumières (prix Jean-Jacques Rousseau, 1995), La Tyrannie du. plaisir (prix Renaudot essai, 1998), La Refondation du monde (1999), Le Principe d'humanité (Grand Prix européen de l'essai, 2002), Le Goût de l'avenir (2003).
Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=3144 La force de conviction : à quoi pouvons-nous croire ? [texte imprimé] / Jean-Claude Guillebaud, Auteur . - Paris : Éd. du Seuil, 2005 . - 389 p. : couv. ill. en coul. ; 25 cm.
ISBN : 2-02-063927-0 : 22 €
Langues : Français
Catégories : Philosophie:Philosophie morale - Morale, éthique, valeurs
Société et éthique:Dimension sociale:Religions - SacréMots-clés : Croyance "théorie_de_la_connaissance" "Évolution_sociale" Résumé : .
Nul homme ne peut vivre sans croyance. Aucune société humaine ne peut survivre sans une conviction minimale qui la maintienne debout. Or, en ce début de millénaire, une violence nouvelle semble avoir envahi le monde. Un peu partout, des fanatismes se déchaînent, des assassins tuent et terrorisent au nom de Dieu. Hier, c'est au nom de l'idéologie qu'ils le faisaient. Une folie paraît s'attacher, décidément, à toutes les croyances. Elle nous fait horreur. Dans le même temps, nous sentons rôder autour de nous le désabusement général. Un doute délétère nous habite. Le XXe siècle, avec ses massacres et ses désastres, nous a appris à nous méfier des adhésions rassembleuses et des utopies. Nous voudrions bien croire encore, mais à quoi? Nous errons encre intolérance et désenchantement, crédulité et cynisme. Quelque chose paraît s'être détraqué dans notre capacité de conviction.
Ainsi la grande question devient-elle aujourd'hui celle du croire, et de ses diverses pathologies. Cette question déborde largement le cadre du religieux et de son prétendu «retour». Ailleurs aussi, des dogmatismes et des cléricalismes menacent, d'autant plus redoutables qu'ils se présentent comme des savoirs. En politique ou en économie, dans la science ou dans la religion, il nous faut réapprendre à distinguer la croyance aveugle de la conviction raisonnable, la pure crédulité de la détermination réfléchie. C'est à cette patiente et minutieuse interrogation que nous invite ce livre: à quoi pouvons-nous croire?
Jean-Claude Guillebaud est écrivain et journaliste. Derniers livres publiés: La Trahison des Lumières (prix Jean-Jacques Rousseau, 1995), La Tyrannie du. plaisir (prix Renaudot essai, 1998), La Refondation du monde (1999), Le Principe d'humanité (Grand Prix européen de l'essai, 2002), Le Goût de l'avenir (2003).
Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=3144 Exemplaires
Code-barres Cote Support Disponibilité 10504 03GUI Ouvrage Disponible Memento mori ou comment l’éthique, qui est une pensée de la vie, peut-elle inclure l’idée de la mort ? / Jean-Pierre Cléro in Ethics, Medicine & Public Health, Vol.2 N°2 (Avril-Juin 2016)
[article]
Titre : Memento mori ou comment l’éthique, qui est une pensée de la vie, peut-elle inclure l’idée de la mort ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Pierre Cléro, Auteur Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 246-255 Langues : Français Mots-clés : Croyance Imaginaire Sagesse Savoir Symbolique Résumé : .
Nombreuses sont les doctrines qui, sous les noms de sagesses ou de religions, cherchent à nous accommoder de notre mort, qui ne peut être ni objet de connaissance, ni ne laisse le sujet en état de connaître. Pourtant, ce non-savoir de la mort qui, lorsqu’il est symbolique, n’a guère d’imaginaire, et qui, lorsqu’il est imaginaire ne peut pas se symboliser, est essentiel à l’éthique. On distingue souvent, non sans raison, l’événement mortel, qui met fin à notre vie, du principe de néantisation qu’on a parfois appelé « instinct de mort », qui diffuse dans notre vie et l’essentialise. Il ne faut ignorer en éthique ni la mort comme événement, ni la mort comme soumettant la vie à sa loi. On examinera particulièrement ici comment l’événement mortel, dont on estime qu’il se rapproche, modifie les conceptions que l’on se fait de la mort pour s’en accommoder, alors même qu’elles ont été formées loin de cet événement. Ce faisant, nous prenons le contrepied d’une opinion courante qui veut que ce n’est pas quand la mort est présente, sous la forme de la mort de l’autre, que nous sommes en meilleure position pour la penser et l’admettre. Nous n’ignorons pas que notre texte ne prend en compte la mort que lorsque son événement qui se rapproche est constamment envisagé. Dans un très grand nombre de cas, la question ne se pose pas dans ces termes.Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=7247
in Ethics, Medicine & Public Health > Vol.2 N°2 (Avril-Juin 2016) . - p. 246-255[article] Memento mori ou comment l’éthique, qui est une pensée de la vie, peut-elle inclure l’idée de la mort ? [texte imprimé] / Jean-Pierre Cléro, Auteur . - 2016 . - p. 246-255.
Langues : Français
in Ethics, Medicine & Public Health > Vol.2 N°2 (Avril-Juin 2016) . - p. 246-255
Mots-clés : Croyance Imaginaire Sagesse Savoir Symbolique Résumé : .
Nombreuses sont les doctrines qui, sous les noms de sagesses ou de religions, cherchent à nous accommoder de notre mort, qui ne peut être ni objet de connaissance, ni ne laisse le sujet en état de connaître. Pourtant, ce non-savoir de la mort qui, lorsqu’il est symbolique, n’a guère d’imaginaire, et qui, lorsqu’il est imaginaire ne peut pas se symboliser, est essentiel à l’éthique. On distingue souvent, non sans raison, l’événement mortel, qui met fin à notre vie, du principe de néantisation qu’on a parfois appelé « instinct de mort », qui diffuse dans notre vie et l’essentialise. Il ne faut ignorer en éthique ni la mort comme événement, ni la mort comme soumettant la vie à sa loi. On examinera particulièrement ici comment l’événement mortel, dont on estime qu’il se rapproche, modifie les conceptions que l’on se fait de la mort pour s’en accommoder, alors même qu’elles ont été formées loin de cet événement. Ce faisant, nous prenons le contrepied d’une opinion courante qui veut que ce n’est pas quand la mort est présente, sous la forme de la mort de l’autre, que nous sommes en meilleure position pour la penser et l’admettre. Nous n’ignorons pas que notre texte ne prend en compte la mort que lorsque son événement qui se rapproche est constamment envisagé. Dans un très grand nombre de cas, la question ne se pose pas dans ces termes.Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=7247
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