Centre de Ressources et de Documentation de l'Espace Éthique PACA-Corse
En raison de circonstances exceptionnelles, l'accès au centre de documentation n'est possible que sur réservation.
A partir de cette page vous pouvez :
Retourner au premier écran avec les étagères virtuelles... | Votre compte |
Résultat de la recherche
1 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'Plante'
Ajouter le résultat dans votre panier Affiner la recherche Générer le flux rss de la recherche
Partager le résultat de cette recherche Interroger des sources externes
Where humans fear to tread (fools rush in). Ethics of global public goods in food and agriculture / Michiel Korthals in Journal International de Bioéthique, Vol.17 N°4 (Décembre 2006)
[article]
Titre : Where humans fear to tread (fools rush in). Ethics of global public goods in food and agriculture Type de document : texte imprimé Auteurs : Michiel Korthals, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : p. 19-27 Langues : Anglais Mots-clés : "bien_général" Nutrition Plante Environnement "Règle_de_bonne_pratique" Justice Résumé : .
Les ressources publiques globales et communes ont un caractère composite, elles dépendent d'un bon nombre d'acteurs, de circonstances historiques et de hiérarchie gouvernementale (il n'existe pas de BPG innés). À cause de leur caractère public, leur définition, production, consommation et évaluation (surveillance) est l'affaire des communautés et des peuples concernés. Leur nature de biens doit garantir un bénéfice pour tous, en particulier pour les pauvres. Leur nature globale signifie qu'ils exigent une coopération intense entre les nations, les groupes d'experts, les ONGs, les professions et les partenaires économiques. Dans cet article on fait la distinction entre trois processus d'identification, de gestion et d'évaluation. 1. Prise de décision politique: Qui décide si un bien est public ou privé? Définition de la qualité des biens communs et de l'intérêt. 2. Production des biens publics : qui paye quoi ? Financement et gestion ; et consommation des biens publics : accès juste et équitable : Gestion internationale et globale. Dans cette étude nous avons décrit les avantages et les inconvénients de plusieurs types de régimes de gestion, suivant la complexité faible ou forte des questions morales et le champ politique. Tout comme pour les consultations concernant la définition et la qualité des BPGs, ici aussi des règles éthiques s'appliquent pour la gestion des BPGs (droit d'accès, sortie, voix). 3. Responsabilité : fixer des cibles, attribuer des responsabilités, pour les biens globaux à produire, surveiller et évaluer les résultats, corriger les erreurs dans la production des biens globaux. En ce qui concerne la demande croissante de responsabilité (surveillance et évaluation des régimes de gestion), nous avons décrit l'importance des agences et des espaces publics indépendants. Cependant, nous avons également souligné le besoin de structures de responsabilité pour ces agences (ONGs) tout comme, bien sûr, pour les institutions internationales. Par conséquent, à côté des organisations formelles, des espaces publics informels sont nécessaires pour donner une voix aux opinions et pour les diriger vers le processus d'audit.Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=3722
in Journal International de Bioéthique > Vol.17 N°4 (Décembre 2006) . - p. 19-27[article] Where humans fear to tread (fools rush in). Ethics of global public goods in food and agriculture [texte imprimé] / Michiel Korthals, Auteur . - 2007 . - p. 19-27.
Langues : Anglais
in Journal International de Bioéthique > Vol.17 N°4 (Décembre 2006) . - p. 19-27
Mots-clés : "bien_général" Nutrition Plante Environnement "Règle_de_bonne_pratique" Justice Résumé : .
Les ressources publiques globales et communes ont un caractère composite, elles dépendent d'un bon nombre d'acteurs, de circonstances historiques et de hiérarchie gouvernementale (il n'existe pas de BPG innés). À cause de leur caractère public, leur définition, production, consommation et évaluation (surveillance) est l'affaire des communautés et des peuples concernés. Leur nature de biens doit garantir un bénéfice pour tous, en particulier pour les pauvres. Leur nature globale signifie qu'ils exigent une coopération intense entre les nations, les groupes d'experts, les ONGs, les professions et les partenaires économiques. Dans cet article on fait la distinction entre trois processus d'identification, de gestion et d'évaluation. 1. Prise de décision politique: Qui décide si un bien est public ou privé? Définition de la qualité des biens communs et de l'intérêt. 2. Production des biens publics : qui paye quoi ? Financement et gestion ; et consommation des biens publics : accès juste et équitable : Gestion internationale et globale. Dans cette étude nous avons décrit les avantages et les inconvénients de plusieurs types de régimes de gestion, suivant la complexité faible ou forte des questions morales et le champ politique. Tout comme pour les consultations concernant la définition et la qualité des BPGs, ici aussi des règles éthiques s'appliquent pour la gestion des BPGs (droit d'accès, sortie, voix). 3. Responsabilité : fixer des cibles, attribuer des responsabilités, pour les biens globaux à produire, surveiller et évaluer les résultats, corriger les erreurs dans la production des biens globaux. En ce qui concerne la demande croissante de responsabilité (surveillance et évaluation des régimes de gestion), nous avons décrit l'importance des agences et des espaces publics indépendants. Cependant, nous avons également souligné le besoin de structures de responsabilité pour ces agences (ONGs) tout comme, bien sûr, pour les institutions internationales. Par conséquent, à côté des organisations formelles, des espaces publics informels sont nécessaires pour donner une voix aux opinions et pour les diriger vers le processus d'audit.Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=3722
pour une recherche utilisant le catalogue AMU: