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Cours familier de philosophie politique / Pierre Manent
Titre : Cours familier de philosophie politique Type de document : texte imprimé Auteurs : Pierre Manent, Auteur Editeur : Paris : Fayard Année de publication : 2002 Collection : L'esprit de la cité, ISSN 1242-5001 Importance : 346 p. Format : 24 cm ISBN/ISSN/EAN : 2-213-61102-5 Langues : Français Catégories : Philosophie:Philosophie politique Mots-clés : "Science_politique" Démocratie Nation "Droits_Homme" "Religion_et_politique" "Philosophie_politique" Résumé : .
Comment nous orienter dans le monde? C’est la philosophie politique qui peut le mieux nous y aider, répond Pierre Manent. Son livre propose un tableau raisonné du monde actuel. Il est, par là même, nécessairement aussi une réflexion sur le siècle écoulé, sur les guerres et les totalitarismes qui en ont occupé une si grande part.
L‘auteur s’efforce de saisir les articulations selon lesquelles notre monde s’ordonne et se meut. Il considère d’abord notre régime - la démocratie; puis notre forme politique - la nation. Il réfléchit sur les rapports que l’une entretient avec l’autre et sur la crise qui les menace: au seuil du nouveau siècle, la démocratie tend à se détacher non seulement du cadre politique national accoutumé, mais même de toute forme politique reconnaissable. Les cœurs sont émus et les esprits obnubilés par la perspective prochaine d’une démocratie pure, délivrée de la vieille politique, et qui régnerait sans partage selon les règles du droit et les maximes de la morale. Telle est la «grande illusion» de notre temps.
Cette «grande illusion», selon Pierre Manent, est de voir dans la politique l’obstacle qui nous empêche d’accéder à la vraie vie. C’est au contraire l’ordre politique qui est le véritable ordre humain.
Pierre Manent, directeur d’études à l’École des hautes études en sciences sociales, est l’auteur notamment de Tocqueville et la nature de la démocratie (1982, rééd. 1993), d'une Histoire intellectuelle du libéralisme: dix leçons (1987) et de La Cité de l’homme (1994).
Note de contenu : Notes bibliogr. Index Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=719 Cours familier de philosophie politique [texte imprimé] / Pierre Manent, Auteur . - Paris : Fayard, 2002 . - 346 p. ; 24 cm. - (L'esprit de la cité, ISSN 1242-5001) .
ISBN : 2-213-61102-5
Langues : Français
Catégories : Philosophie:Philosophie politique Mots-clés : "Science_politique" Démocratie Nation "Droits_Homme" "Religion_et_politique" "Philosophie_politique" Résumé : .
Comment nous orienter dans le monde? C’est la philosophie politique qui peut le mieux nous y aider, répond Pierre Manent. Son livre propose un tableau raisonné du monde actuel. Il est, par là même, nécessairement aussi une réflexion sur le siècle écoulé, sur les guerres et les totalitarismes qui en ont occupé une si grande part.
L‘auteur s’efforce de saisir les articulations selon lesquelles notre monde s’ordonne et se meut. Il considère d’abord notre régime - la démocratie; puis notre forme politique - la nation. Il réfléchit sur les rapports que l’une entretient avec l’autre et sur la crise qui les menace: au seuil du nouveau siècle, la démocratie tend à se détacher non seulement du cadre politique national accoutumé, mais même de toute forme politique reconnaissable. Les cœurs sont émus et les esprits obnubilés par la perspective prochaine d’une démocratie pure, délivrée de la vieille politique, et qui régnerait sans partage selon les règles du droit et les maximes de la morale. Telle est la «grande illusion» de notre temps.
Cette «grande illusion», selon Pierre Manent, est de voir dans la politique l’obstacle qui nous empêche d’accéder à la vraie vie. C’est au contraire l’ordre politique qui est le véritable ordre humain.
Pierre Manent, directeur d’études à l’École des hautes études en sciences sociales, est l’auteur notamment de Tocqueville et la nature de la démocratie (1982, rééd. 1993), d'une Histoire intellectuelle du libéralisme: dix leçons (1987) et de La Cité de l’homme (1994).
Note de contenu : Notes bibliogr. Index Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=719 Exemplaires
Code-barres Cote Support Disponibilité 10586 03MAN Ouvrage Disponible La justice politique / Otfried Höffe
Titre : La justice politique Type de document : texte imprimé Auteurs : Otfried Höffe, Auteur ; Jean-Christophe Merle, Traducteur Editeur : Paris : Presses Universitaires de France (PUF) Année de publication : 1991 Collection : Léviathan, ISSN 0989-4462 Importance : 397 p. Format : 24 cm ISBN/ISSN/EAN : 2-13-043489-4 Note générale : Titre original: Politische Gerechtigkeit Langues : Français Langues originales : Allemand Catégories : Droit - Législation:Justice
Philosophie:Philosophie politiqueMots-clés : Justice "Philosophie_politique" "Droit_et_État" Résumé : .
C'est en reprenant à neuf le chantier de la philosophie politique et juridique un temps délaissé que la philosophie opère le relevé des discours sur la justice, et ainsi la critique du droit et de l'Etat. De cette façon, la philosophie reconquiert le champ qui est le sien: celui de la philosophie première dont on avait jusqu'à présent laissé échapper le domaine du politique. Malgré les critiques dont elle fut l'objet, l'idée aristotélicienne d'une philosophie de la pratique qui serait une philosophie pratique est donc en droit d'être réhabilitée par un discours philosophique sur la justice. Avec pour arrière-plan le projet de la philosophie antique (Platon, Aristote), ce discours doit alors s'interroger sur notre modernité (Hobbes, Kant), tout en s'inscrivant résolument dans notre univers philosophique actuel (Rawls, Habarmas, Luhmann). En nourrissant sa réflexion de ses travaux «d'éthique appliquée» sur les grands problèmes éthiques contemporains, c'est à une telle entreprise que se consacre Otfried Höffe dans le présent ouvrage déjà classique, et cela sur un double front: la critique du positivisme politique et juridique et celle de l'anarchisme philosophique.
Otfried Höffe est titulaire de la chaire d'éthique et de philosophie politique, ainsi que directeur de l'Institut international de philosophie sociale et politique, à l'Université de Fribourg, en Suisse.
Note de contenu : Titre original: Politische Gerechtigkeit
Bibliogr. p. 375-384. IndexPermalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=194 La justice politique [texte imprimé] / Otfried Höffe, Auteur ; Jean-Christophe Merle, Traducteur . - Paris : Presses Universitaires de France (PUF), 1991 . - 397 p. ; 24 cm. - (Léviathan, ISSN 0989-4462) .
ISBN : 2-13-043489-4
Titre original: Politische Gerechtigkeit
Langues : Français Langues originales : Allemand
Catégories : Droit - Législation:Justice
Philosophie:Philosophie politiqueMots-clés : Justice "Philosophie_politique" "Droit_et_État" Résumé : .
C'est en reprenant à neuf le chantier de la philosophie politique et juridique un temps délaissé que la philosophie opère le relevé des discours sur la justice, et ainsi la critique du droit et de l'Etat. De cette façon, la philosophie reconquiert le champ qui est le sien: celui de la philosophie première dont on avait jusqu'à présent laissé échapper le domaine du politique. Malgré les critiques dont elle fut l'objet, l'idée aristotélicienne d'une philosophie de la pratique qui serait une philosophie pratique est donc en droit d'être réhabilitée par un discours philosophique sur la justice. Avec pour arrière-plan le projet de la philosophie antique (Platon, Aristote), ce discours doit alors s'interroger sur notre modernité (Hobbes, Kant), tout en s'inscrivant résolument dans notre univers philosophique actuel (Rawls, Habarmas, Luhmann). En nourrissant sa réflexion de ses travaux «d'éthique appliquée» sur les grands problèmes éthiques contemporains, c'est à une telle entreprise que se consacre Otfried Höffe dans le présent ouvrage déjà classique, et cela sur un double front: la critique du positivisme politique et juridique et celle de l'anarchisme philosophique.
Otfried Höffe est titulaire de la chaire d'éthique et de philosophie politique, ainsi que directeur de l'Institut international de philosophie sociale et politique, à l'Université de Fribourg, en Suisse.
Note de contenu : Titre original: Politische Gerechtigkeit
Bibliogr. p. 375-384. IndexPermalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=194 Exemplaires
Code-barres Cote Support Disponibilité 10522 03HOF Ouvrage Disponible Le sage et la politique / Norberto Bobbio
Titre : Le sage et la politique : écrits moraux sur la vieillesse et la douceur Type de document : texte imprimé Auteurs : Norberto Bobbio, Auteur ; Pierre-Emmanuel Dauzat (1958-....), Traducteur ; Denis Trierweiler, Traducteur Editeur : Paris : A. Michel Année de publication : 2004 Collection : Bibliothèque Albin Michel Sous-collection : Idées Importance : 153 p. Présentation : couv. ill. Format : 19 cm ISBN/ISSN/EAN : 2-226-14250-9 Prix : 12 EUR Note générale : Recueil de textes extr. de "Diogène, revue internationale des sciences humaines", 1996-2000 Langues : Français Langues originales : Italien Catégories : Philosophie:Philosophie morale - Morale, éthique, valeurs
Philosophie:Philosophie politiqueMots-clés : "Politique_et_morale" "Vieillesse--Aspect_moral" "Philosophie_politique" Résumé : .
Considéré comme le père spirituel de la gauche italienne, Norberto Bobbio est une figure emblématique d'une approche philosophique de la politique. Sa vie comme ses travaux ont été conditionnés par les vicissitudes de la démocratie dans son pays ; la lutte qu'il a menée contre le fascisme a eu une très forte influence sur la question des libertés civiles et politiques.
Avec pudeur et modestie, Bobbio livre dans ces textes en partie autobiographiques une très belle réflexion sur la vieillesse et sur le caractère particulier du lien entre morale et politique. Évoquant les vertus morales, il justifie son choix pour la mitesza, la douceur, mais aussi la mansuétude, la tolérance ; une notion qui exclut tout esprit de conflit, de rivalité. Ni soumission ni docilité, mais aptitude à ne pas être vindicatif ou rancunier, c'est une vertu sociale, une disposition envers autrui. En ce sens, conclut-il, le refus d'exercer la violence contre qui que ce soit est une vertu non politique ; elle est même l'antithèse de la politique.
Professeur de philosophie politique dans de nombreuses universités italiennes et internationales, président de l'Académie des Sciences de Turin, sénateur à vie, Norberto Bobbio a écrit plus d'une cinquantaine d'ouvrages. Il vient de disparaître en janvier 2004.
Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=2904 Le sage et la politique : écrits moraux sur la vieillesse et la douceur [texte imprimé] / Norberto Bobbio, Auteur ; Pierre-Emmanuel Dauzat (1958-....), Traducteur ; Denis Trierweiler, Traducteur . - Paris : A. Michel, 2004 . - 153 p. : couv. ill. ; 19 cm. - (Bibliothèque Albin Michel. Idées) .
ISBN : 2-226-14250-9 : 12 EUR
Recueil de textes extr. de "Diogène, revue internationale des sciences humaines", 1996-2000
Langues : Français Langues originales : Italien
Catégories : Philosophie:Philosophie morale - Morale, éthique, valeurs
Philosophie:Philosophie politiqueMots-clés : "Politique_et_morale" "Vieillesse--Aspect_moral" "Philosophie_politique" Résumé : .
Considéré comme le père spirituel de la gauche italienne, Norberto Bobbio est une figure emblématique d'une approche philosophique de la politique. Sa vie comme ses travaux ont été conditionnés par les vicissitudes de la démocratie dans son pays ; la lutte qu'il a menée contre le fascisme a eu une très forte influence sur la question des libertés civiles et politiques.
Avec pudeur et modestie, Bobbio livre dans ces textes en partie autobiographiques une très belle réflexion sur la vieillesse et sur le caractère particulier du lien entre morale et politique. Évoquant les vertus morales, il justifie son choix pour la mitesza, la douceur, mais aussi la mansuétude, la tolérance ; une notion qui exclut tout esprit de conflit, de rivalité. Ni soumission ni docilité, mais aptitude à ne pas être vindicatif ou rancunier, c'est une vertu sociale, une disposition envers autrui. En ce sens, conclut-il, le refus d'exercer la violence contre qui que ce soit est une vertu non politique ; elle est même l'antithèse de la politique.
Professeur de philosophie politique dans de nombreuses universités italiennes et internationales, président de l'Académie des Sciences de Turin, sénateur à vie, Norberto Bobbio a écrit plus d'une cinquantaine d'ouvrages. Il vient de disparaître en janvier 2004.
Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=2904 Exemplaires
Code-barres Cote Support Disponibilité 10400 03BOB Ouvrage Disponible Le Monde morcelé / Cornelius Castoriadis
Titre : Le Monde morcelé : 2e éd. rev. et corr. Titre original : Les Carrefours du labyrinthe . (3) Type de document : texte imprimé Auteurs : Cornelius Castoriadis, Auteur Editeur : Paris : Éd. du Seuil Année de publication : 1990 Collection : La couleur des idées, ISSN 0993-684X Importance : 277 p. Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 2-2-02012350-9 Note générale : Textes composés entre 1987 et 1989 Langues : Français Catégories : Philosophie:Philosophie politique Mots-clés : "Civilisation--Philosophie" Psychoanalyses "Philosophie_politique" Démocratie "Psychanalyse_et_politique" "Individu_et_société" "Philosophie_sociale" Résumé : .
Jamais les tâches de la réflexion philosophique n'ont été aussi lourdes et difficiles qu'aujourd'hui. C'est peut-être pourquoi la stérilité de l'époque s'empresse de proclamer la fin de la philosophie, la clôture de la métaphysique ou la nécessité de nous soumettre derechef à la Loi révélée par un Autre inaccessible.
La fin de la philosophie signifierait la fin du projet d'autonomie. En cela, ces proclamations intrinsèquement absurdes acquièrent la dignité d'un symptôme historique. Car il est vrai que ce projet, imparfaitement et partiellement incarné dans l'histoire gréco-occidentale, se trouve aujourd'hui menacé. Expansion follement autonomisée et potentiellement létale de la techno-science; évanescence du conflit politique et social; lamentable démission des intellectuels empressés autour des pouvoirs ou retirés dans leurs tours de polystyrène, tout conspire à créer un type d'être humain absorbé par la consommation et le plaisir du moment, apathique devant les affaires communes, tout à la fois cynique et conformiste. Comment, avec de tels citoyens, la fameuse démocratie pourrait-elle fonctionner ou même à la longue survivre? Nos philosophes politiques ne prennent pas la peine de l'expliquer. Certes, il n'est point de politique pouvant être directement déduite de la philosophie. Mais l'activité philosophique, la réflexion critique, l'interrogation qui ne permet à rien de l'arrêter a, comme telle, une portée éminemment politique.
Ce livre qui rassemble un ensemble de textes, souvent inédits, poursuit et approfondit le travail entamé par Cornélius Castoriadis dans les premiers tomes des Carrefours du labyrinthe.
Cornélius Castoriadis: né en 1922, vit en France depuis 1945.
Cofondateur du groupe et de la revue Socialisme ou Barbarie, auteur des principaux textes qui en définissent les idées et l'orientation, il en est l'animateur du début à la fin (1949-1965).
A publié au Seuil L'Institution imaginaire de la société (1975), Les Carrefours du labyrinthe (1978) et Domaines de l'homme - Les Carrefours du labyrinthe II (1986).
Note de contenu : Notes bibliogr. Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=21 Le Monde morcelé = Les Carrefours du labyrinthe . (3) : 2e éd. rev. et corr. [texte imprimé] / Cornelius Castoriadis, Auteur . - Paris : Éd. du Seuil, 1990 . - 277 p. ; 21 cm. - (La couleur des idées, ISSN 0993-684X) .
ISSN : 2-2-02012350-9
Textes composés entre 1987 et 1989
Langues : Français
Catégories : Philosophie:Philosophie politique Mots-clés : "Civilisation--Philosophie" Psychoanalyses "Philosophie_politique" Démocratie "Psychanalyse_et_politique" "Individu_et_société" "Philosophie_sociale" Résumé : .
Jamais les tâches de la réflexion philosophique n'ont été aussi lourdes et difficiles qu'aujourd'hui. C'est peut-être pourquoi la stérilité de l'époque s'empresse de proclamer la fin de la philosophie, la clôture de la métaphysique ou la nécessité de nous soumettre derechef à la Loi révélée par un Autre inaccessible.
La fin de la philosophie signifierait la fin du projet d'autonomie. En cela, ces proclamations intrinsèquement absurdes acquièrent la dignité d'un symptôme historique. Car il est vrai que ce projet, imparfaitement et partiellement incarné dans l'histoire gréco-occidentale, se trouve aujourd'hui menacé. Expansion follement autonomisée et potentiellement létale de la techno-science; évanescence du conflit politique et social; lamentable démission des intellectuels empressés autour des pouvoirs ou retirés dans leurs tours de polystyrène, tout conspire à créer un type d'être humain absorbé par la consommation et le plaisir du moment, apathique devant les affaires communes, tout à la fois cynique et conformiste. Comment, avec de tels citoyens, la fameuse démocratie pourrait-elle fonctionner ou même à la longue survivre? Nos philosophes politiques ne prennent pas la peine de l'expliquer. Certes, il n'est point de politique pouvant être directement déduite de la philosophie. Mais l'activité philosophique, la réflexion critique, l'interrogation qui ne permet à rien de l'arrêter a, comme telle, une portée éminemment politique.
Ce livre qui rassemble un ensemble de textes, souvent inédits, poursuit et approfondit le travail entamé par Cornélius Castoriadis dans les premiers tomes des Carrefours du labyrinthe.
Cornélius Castoriadis: né en 1922, vit en France depuis 1945.
Cofondateur du groupe et de la revue Socialisme ou Barbarie, auteur des principaux textes qui en définissent les idées et l'orientation, il en est l'animateur du début à la fin (1949-1965).
A publié au Seuil L'Institution imaginaire de la société (1975), Les Carrefours du labyrinthe (1978) et Domaines de l'homme - Les Carrefours du labyrinthe II (1986).
Note de contenu : Notes bibliogr. Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=21 Exemplaires
Code-barres Cote Support Disponibilité 10414 03CAS Ouvrage Disponible Théorie de la justice / John Rawls
Titre : Théorie de la justice Type de document : texte imprimé Auteurs : John Rawls, Auteur ; Catherine Audard, Traducteur Editeur : Paris : Éd. du Seuil Année de publication : 1987 Collection : Empreintes, ISSN 0751-4050 Importance : 666 p. Format : 25 cm ISBN/ISSN/EAN : 2-02-014601-0 Note générale : Titre original: A Theory of justice Langues : Français Langues originales : Américain Catégories : Philosophie:Philosophie morale - Morale, éthique, valeurs
Philosophie:Philosophie politiqueMots-clés : POLITIQUE PHILOSOPHIE "Primauté_du_droit" "Justice_sociale" "Droit_et_morale" "Droit--Aspect_social" Justice "Justice_philosophie" "Philosophie_politique" Démocratie Résumé : .
Ce livre est considéré dans le monde anglo-saxon comme le texte contemporain le plus important de la philosophie morale et politique. C'est un défi lancé à tous ceux qui pensent que la justice sociale et l'efficacité économique sont incompatibles. Né de la postérité du New Deal et enraciné dans une tradition profondément américaine de lutte pour les civil rights, reflétant par moments le désarroi moral et la contestation étudiante des années 70, Théorie de la justice est pourtant un livre de portée universelle, à cause, d'une part, du dialogue qu'il instaure entre deux traditions opposées - Rousseau et Kant confrontés à l'utilitarisme de Mill et de Sidgwick - et, d'autre part, de la rigueur et de la profondeur des analyses qui y sont proposées. C'est, au meilleur sens du terme, un livre de philosophe engagé, donnant aux préoccupations morales et politiques de cette fin du XXe siècle - de la justice sociale à l'écologie, de la politique de l'éducation à la théorie de la désobéissance civile, pour ne citer que quelques thèmes - une armature intellectuelle, une clarté déductive qui leur manquaient, les sauvant ainsi du pathos des hommes politiques ou du cynisme d'une certaine philosophie de la «mort de l'homme». Dans ce livre souvent difficile mais exaltant, John Rawls a formulé ce qu'on pourrait appeler une charte de la social-démocratie moderne, avec ses forces et ses faiblesses.
John Rawls est professeur de philosophie à l'université Harvard.
Note de contenu : Titre original: A Theory of justice
IndexPermalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=210 Théorie de la justice [texte imprimé] / John Rawls, Auteur ; Catherine Audard, Traducteur . - Paris : Éd. du Seuil, 1987 . - 666 p. ; 25 cm. - (Empreintes, ISSN 0751-4050) .
ISBN : 2-02-014601-0
Titre original: A Theory of justice
Langues : Français Langues originales : Américain
Catégories : Philosophie:Philosophie morale - Morale, éthique, valeurs
Philosophie:Philosophie politiqueMots-clés : POLITIQUE PHILOSOPHIE "Primauté_du_droit" "Justice_sociale" "Droit_et_morale" "Droit--Aspect_social" Justice "Justice_philosophie" "Philosophie_politique" Démocratie Résumé : .
Ce livre est considéré dans le monde anglo-saxon comme le texte contemporain le plus important de la philosophie morale et politique. C'est un défi lancé à tous ceux qui pensent que la justice sociale et l'efficacité économique sont incompatibles. Né de la postérité du New Deal et enraciné dans une tradition profondément américaine de lutte pour les civil rights, reflétant par moments le désarroi moral et la contestation étudiante des années 70, Théorie de la justice est pourtant un livre de portée universelle, à cause, d'une part, du dialogue qu'il instaure entre deux traditions opposées - Rousseau et Kant confrontés à l'utilitarisme de Mill et de Sidgwick - et, d'autre part, de la rigueur et de la profondeur des analyses qui y sont proposées. C'est, au meilleur sens du terme, un livre de philosophe engagé, donnant aux préoccupations morales et politiques de cette fin du XXe siècle - de la justice sociale à l'écologie, de la politique de l'éducation à la théorie de la désobéissance civile, pour ne citer que quelques thèmes - une armature intellectuelle, une clarté déductive qui leur manquaient, les sauvant ainsi du pathos des hommes politiques ou du cynisme d'une certaine philosophie de la «mort de l'homme». Dans ce livre souvent difficile mais exaltant, John Rawls a formulé ce qu'on pourrait appeler une charte de la social-démocratie moderne, avec ses forces et ses faiblesses.
John Rawls est professeur de philosophie à l'université Harvard.
Note de contenu : Titre original: A Theory of justice
IndexPermalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=210 Exemplaires
Code-barres Cote Support Disponibilité 10629 03RAW Ouvrage Disponible Justice / Michael J. Sandel
PermalinkLa dictature de la transparence / Mazarine Pingeot
PermalinkEthique et politique / Henri Hude
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