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Do ethics committees need a legal framework? / Christian Byk in Journal International de Bioéthique, Vol.18 N°1-2 (Mars - Juin 2007)
[article]
Titre : Do ethics committees need a legal framework? Type de document : texte imprimé Auteurs : Christian Byk, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : p. 177-186 Langues : Anglais Mots-clés : "Comité_éthique" "Comité_éthique_de_la_recherche" "Etude_multicentrique" "coopération_internationale" "Pays_en_développement" "règle_de_bonne_pratique" Résumé : .
La question «Les comités d'éthique ont-ils besoin d'un cadre juridique?» pourrait provoquer une discussion fondamentale dans le cas des pays en voie de développement: un cadre éthique leur fournira-t-il une meilleure capacité à assumer leur tâche? Et quelle devrait être cette tâche si nous considérons les particularités de la recherche clinique réalisée dans les pays en voie de développement?Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=3873
in Journal International de Bioéthique > Vol.18 N°1-2 (Mars - Juin 2007) . - p. 177-186[article] Do ethics committees need a legal framework? [texte imprimé] / Christian Byk, Auteur . - 2007 . - p. 177-186.
Langues : Anglais
in Journal International de Bioéthique > Vol.18 N°1-2 (Mars - Juin 2007) . - p. 177-186
Mots-clés : "Comité_éthique" "Comité_éthique_de_la_recherche" "Etude_multicentrique" "coopération_internationale" "Pays_en_développement" "règle_de_bonne_pratique" Résumé : .
La question «Les comités d'éthique ont-ils besoin d'un cadre juridique?» pourrait provoquer une discussion fondamentale dans le cas des pays en voie de développement: un cadre éthique leur fournira-t-il une meilleure capacité à assumer leur tâche? Et quelle devrait être cette tâche si nous considérons les particularités de la recherche clinique réalisée dans les pays en voie de développement?Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=3873 Nanomaterials and the environmental risk: is there some room left for ethics and law? / Christian Byk in Journal International de Bioéthique, Vol.22 N°1-2 (Mars-Juin 2011)
[article]
Titre : Nanomaterials and the environmental risk: is there some room left for ethics and law? Type de document : texte imprimé Auteurs : Christian Byk, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : p. 157-172 Langues : Anglais Mots-clés : nanotechnologie, science, technologie, environnement, législation "contrôle_social_de_la_science" risque "risque_bénéfice" "risque_pour_la_santé" "coopération_internationale" "politique_de_santé" "principe_de_précaution" Europe "Union_européenne" États-Unis France débat Résumé : .
Quelle que soit la légitimité des préoccupations posées par les nanotechnologies en matière de risque pour la santé et l’environnement, une meilleure connaissance de la toxicité des nanomatériaux n’est pas suffisante. Toutefois, comme le Pr D. Sicard l’a relevé, nous ne pensons pas que la réflexion éthique doit se contenter d’être la bonne conscience qui aide la science à se débarasser des peurs sociales car la réflexion éthique est aussi là pour discuter des questions tabous dans la perspective d’une meilleure compréhension sociale.Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=5491
in Journal International de Bioéthique > Vol.22 N°1-2 (Mars-Juin 2011) . - p. 157-172[article] Nanomaterials and the environmental risk: is there some room left for ethics and law? [texte imprimé] / Christian Byk, Auteur . - 2011 . - p. 157-172.
Langues : Anglais
in Journal International de Bioéthique > Vol.22 N°1-2 (Mars-Juin 2011) . - p. 157-172
Mots-clés : nanotechnologie, science, technologie, environnement, législation "contrôle_social_de_la_science" risque "risque_bénéfice" "risque_pour_la_santé" "coopération_internationale" "politique_de_santé" "principe_de_précaution" Europe "Union_européenne" États-Unis France débat Résumé : .
Quelle que soit la légitimité des préoccupations posées par les nanotechnologies en matière de risque pour la santé et l’environnement, une meilleure connaissance de la toxicité des nanomatériaux n’est pas suffisante. Toutefois, comme le Pr D. Sicard l’a relevé, nous ne pensons pas que la réflexion éthique doit se contenter d’être la bonne conscience qui aide la science à se débarasser des peurs sociales car la réflexion éthique est aussi là pour discuter des questions tabous dans la perspective d’une meilleure compréhension sociale.Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=5491 La plateforme intergouvernementale scientifique et politique sur la biodiversité et les services écosystémiques (IPBES) / Sandrine Maljean-Dubois in Journal International de Bioéthique, Vol.25 N°1 (Mars 2014)
[article]
Titre : La plateforme intergouvernementale scientifique et politique sur la biodiversité et les services écosystémiques (IPBES) Type de document : texte imprimé Auteurs : Sandrine Maljean-Dubois, Auteur Année de publication : 2014 Article en page(s) : p. 55-73 Langues : Français Mots-clés : biodiversité "coopération_internationale" Résumé : .
Répondant à un réel besoin, la constitution d’un mécanisme international d’interface science/politique, expert/décideur, dans le domaine de la biodiversité ne va pourtant pas sans difficultés. Cette nouvelle institution est le fruit d’un processus relativement long et ardu de négociations internationales, dont le point de départ a été une idée lancée à Paris en 2005 lors d’une conférence internationale sur la biodiversité et soutenue par le Président Chirac. La « plateforme intergouvernementale scientifique et politique sur la biodiversité et les services écosystémiques » (IPBES) s’inscrit dans un paysage juridico-institutionnel complexe et morcelé. Même si elle a été officiellement établie en 2012 et tiendra sa première réunion en janvier 2013, son statut et sa gouvernance, de même que ses procédures et modalités de fonctionnement restent encore à définir. Souvent présentée comme le GIEC (Groupe intergouvernemental d’experts sur le climat) de la biodiversité, elle s’inspire en effet de ce dernier tout en s’en distinguant à plusieurs égards.Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6729
in Journal International de Bioéthique > Vol.25 N°1 (Mars 2014) . - p. 55-73[article] La plateforme intergouvernementale scientifique et politique sur la biodiversité et les services écosystémiques (IPBES) [texte imprimé] / Sandrine Maljean-Dubois, Auteur . - 2014 . - p. 55-73.
Langues : Français
in Journal International de Bioéthique > Vol.25 N°1 (Mars 2014) . - p. 55-73
Mots-clés : biodiversité "coopération_internationale" Résumé : .
Répondant à un réel besoin, la constitution d’un mécanisme international d’interface science/politique, expert/décideur, dans le domaine de la biodiversité ne va pourtant pas sans difficultés. Cette nouvelle institution est le fruit d’un processus relativement long et ardu de négociations internationales, dont le point de départ a été une idée lancée à Paris en 2005 lors d’une conférence internationale sur la biodiversité et soutenue par le Président Chirac. La « plateforme intergouvernementale scientifique et politique sur la biodiversité et les services écosystémiques » (IPBES) s’inscrit dans un paysage juridico-institutionnel complexe et morcelé. Même si elle a été officiellement établie en 2012 et tiendra sa première réunion en janvier 2013, son statut et sa gouvernance, de même que ses procédures et modalités de fonctionnement restent encore à définir. Souvent présentée comme le GIEC (Groupe intergouvernemental d’experts sur le climat) de la biodiversité, elle s’inspire en effet de ce dernier tout en s’en distinguant à plusieurs égards.Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6729 Télémédecine et gérontechnologie pour la maladie d’Alzheimer : nécessité d’un pilotage international par l’éthique / Vincent Rialle in Journal International de Bioéthique, Vol.25 N°3 (Septembre 2014)
[article]
Titre : Télémédecine et gérontechnologie pour la maladie d’Alzheimer : nécessité d’un pilotage international par l’éthique Type de document : texte imprimé Auteurs : Vincent Rialle, Auteur ; Pierre Rumeau, Auteur ; Catherine Ollivet, Auteur ; Juliette Sabliera, Auteur ; Christian Hervé, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : p. 127-145 Langues : Français Mots-clés : télémédecinegériatrie technologie "maladie_d’Alzheimer" "coopération_internationale" Résumé : .
La télémédecine et la gérontechnologie se développent sur un mode que l’on peut qualifier d’« immobilisme hyperactif », soit une multiplication anarchique d’expérimentations et d’outils soldée par une incapacité à mettre en place des produits utiles, souhaitées et pérennes. L’objectif de cet article est de montrer, à partir de travaux scientifiques nationaux et internationaux, la nécessité d’ancrer la mise en place des expérimentations de nouvelles pratiques et de nouvelles organisations sur la notion d’éthique si l’on souhaite véritablement sortir de cet immobilisme hyperactif. En effet, le contexte actuel international de vieillissement des populations et de crise socio-économique rend urgent le développement de produits fiables et accessibles d’aide aux personnes vulnérables, en particulier celles qui sont atteintes de la maladie d’Alzheimer ou d’une maladie apparentée. Mais ce contexte exerce dans le même temps une pression pour un développement d’outils davantage rentables à très courts termes et rapidement obsolescents qu’adaptés aux vrais besoins. Il en résulte, dans l’opinion publique, la sphère politique et le monde scientifique et des craintes pouvant jouer un rôle protecteur face aux dérives possibles de la techno-science, mais pouvant aussi aller à l’encontre du droit de chaque citoyen de bénéficier des avancées de la science et de ses retombées technologiques. Il relève justement de la mission de l’éthique de définir et de mettre en application les principes permettant de résoudre ce dilemme. L’éthique cependant ne saurait être limitée à un rôle normatif ou consultatif. Elle devrait aussi présider aux décisions et être le moteur d’un usage raisonné et maîtrisé des technologies, afin que soit respecté l’objectif principal de cet usage : venir en aide à des personnes en souffrance.Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6879
in Journal International de Bioéthique > Vol.25 N°3 (Septembre 2014) . - p. 127-145[article] Télémédecine et gérontechnologie pour la maladie d’Alzheimer : nécessité d’un pilotage international par l’éthique [texte imprimé] / Vincent Rialle, Auteur ; Pierre Rumeau, Auteur ; Catherine Ollivet, Auteur ; Juliette Sabliera, Auteur ; Christian Hervé, Auteur . - 2015 . - p. 127-145.
Langues : Français
in Journal International de Bioéthique > Vol.25 N°3 (Septembre 2014) . - p. 127-145
Mots-clés : télémédecinegériatrie technologie "maladie_d’Alzheimer" "coopération_internationale" Résumé : .
La télémédecine et la gérontechnologie se développent sur un mode que l’on peut qualifier d’« immobilisme hyperactif », soit une multiplication anarchique d’expérimentations et d’outils soldée par une incapacité à mettre en place des produits utiles, souhaitées et pérennes. L’objectif de cet article est de montrer, à partir de travaux scientifiques nationaux et internationaux, la nécessité d’ancrer la mise en place des expérimentations de nouvelles pratiques et de nouvelles organisations sur la notion d’éthique si l’on souhaite véritablement sortir de cet immobilisme hyperactif. En effet, le contexte actuel international de vieillissement des populations et de crise socio-économique rend urgent le développement de produits fiables et accessibles d’aide aux personnes vulnérables, en particulier celles qui sont atteintes de la maladie d’Alzheimer ou d’une maladie apparentée. Mais ce contexte exerce dans le même temps une pression pour un développement d’outils davantage rentables à très courts termes et rapidement obsolescents qu’adaptés aux vrais besoins. Il en résulte, dans l’opinion publique, la sphère politique et le monde scientifique et des craintes pouvant jouer un rôle protecteur face aux dérives possibles de la techno-science, mais pouvant aussi aller à l’encontre du droit de chaque citoyen de bénéficier des avancées de la science et de ses retombées technologiques. Il relève justement de la mission de l’éthique de définir et de mettre en application les principes permettant de résoudre ce dilemme. L’éthique cependant ne saurait être limitée à un rôle normatif ou consultatif. Elle devrait aussi présider aux décisions et être le moteur d’un usage raisonné et maîtrisé des technologies, afin que soit respecté l’objectif principal de cet usage : venir en aide à des personnes en souffrance.Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6879 Le traitement de la connaissance scientifique dans le cadre de la « CITES » / Marie-Pierre Lanfranchi in Journal International de Bioéthique, Vol.25 N°1 (Mars 2014)
[article]
Titre : Le traitement de la connaissance scientifique dans le cadre de la « CITES » Type de document : texte imprimé Auteurs : Marie-Pierre Lanfranchi, Auteur Année de publication : 2014 Article en page(s) : p. 75-89 Langues : Français Mots-clés : biodiversité "coopération_internationale" Résumé : .
L’accès à la connaissance scientifique dans le cadre de la CITES constitue une question cruciale. L’effectivité du texte repose en effet très largement sur une connaissance scientifique adéquate des espèces CITES. Ce défi est majeur : plus de 30.000 espèces sauvages et 178 parties sont concernées. L’enjeu de l’expertise n’est pourtant pas réellement abordé par la Convention. La question a donc été laissée à l’examen de la COP. Celle-ci a créé deux Comités scientifiques ad hoc : le Comité pour les plantes et le Comité pour les animaux, en leur assignant un ambitieux mandat. L’étude revient sur les forts enjeux liés aux questions institutionnelles et sur le bilan mitigé, à la lumière des vingt-cinq années de pratique.Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6730
in Journal International de Bioéthique > Vol.25 N°1 (Mars 2014) . - p. 75-89[article] Le traitement de la connaissance scientifique dans le cadre de la « CITES » [texte imprimé] / Marie-Pierre Lanfranchi, Auteur . - 2014 . - p. 75-89.
Langues : Français
in Journal International de Bioéthique > Vol.25 N°1 (Mars 2014) . - p. 75-89
Mots-clés : biodiversité "coopération_internationale" Résumé : .
L’accès à la connaissance scientifique dans le cadre de la CITES constitue une question cruciale. L’effectivité du texte repose en effet très largement sur une connaissance scientifique adéquate des espèces CITES. Ce défi est majeur : plus de 30.000 espèces sauvages et 178 parties sont concernées. L’enjeu de l’expertise n’est pourtant pas réellement abordé par la Convention. La question a donc été laissée à l’examen de la COP. Celle-ci a créé deux Comités scientifiques ad hoc : le Comité pour les plantes et le Comité pour les animaux, en leur assignant un ambitieux mandat. L’étude revient sur les forts enjeux liés aux questions institutionnelles et sur le bilan mitigé, à la lumière des vingt-cinq années de pratique.Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6730 WeTelemed, le réseau global de femmes en télémédecine / Véronique Inès Thouvenot in Journal International de Bioéthique, Vol.25 N°3 (Septembre 2014)
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