Centre de Ressources et de Documentation de l'Espace Éthique PACA-Corse
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Le principe de précaution / Olivier Godard
Titre : Le principe de précaution : dans la conduite des affaires humaines Type de document : texte imprimé Auteurs : Olivier Godard, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Marceau Long, Préfacier, etc. Editeur : Paris : Éd. de la Maison des sciences de l'homme Année de publication : 1997 Importance : 351 p. Présentation : graph., couv. ill. Format : 23 cm ISBN/ISSN/EAN : 2-7380-0717-1 Note générale : Ouvrage publié à la suite des "Journées annuelles de l'Association Natures, sciences, sociétés, dialogues" qui se sont déroulées en décembre 1994 Langues : Français Catégories : Sciences:Sciences:Principe de précaution
Sciences:Sciences:RisqueMots-clés : RISQUE SOCIOLOGIE "CULTURE_SOCIOLOGIE" "Gestion_du_risque" "Sécurité_psychologie" "Principe_de_précaution" Résumé : .
«Civilisation du risque», notre société n'est-elle pas tout autant une civilisation de la sécurité? Catastrophes, dégradations, menaces affectant la santé humaine ou l'environnement alimentent soupçons et doutes : l'évolution technique prend-elle la bonne direction? Les institutions publiques permettent-elles d'intervenir à temps? C'est dans ce contexte que le «principe de précaution» s'est affirmé comme référence nouvelle de l'action: il en appelle à la prévention sans attendre que soit établie la réalité des risques.
Comment interpréter ce principe? Quels changements escompter dans les rapports entre science et décision? Comment traduire l'exigence de précaution en normes opératoires sans se fourvoyer dans des impasses ou déraper dans l'usage rhétorique? Les contributions rassemblées par Olivier Godard sous l'égide de l'Association Natures, Sciences, Sociétés, offrent des outils de pensée à partir de l'étude de situations précises. Des chercheurs de différentes disciplines montrent comment une culture de la précaution pourrait susciter une gestion des risques plus intelligente et plus ouverte aux préoccupations des citoyens. Leurs analyses témoignent aussi des flottements possibles ou de l'ambivalence d'une idée qui, mal interprétée, risque de faire régresser la rationalité de la décision publique ou le droit de la responsabilité.
Olivier Godard est économiste, directeur de recherche au CNRS. Depuis 1973, l'essentiel de son activité de recherche et d'enseignement est consacré aux relations entre environnement et développement économique ainsi qu'aux modalités de l'action publique.
Cet ouvrage trouve son origine dans les Journées annuelles de l'Association «Natures Sciences Sociétés-Dialogues» qui se sont déroulées en décembre 1994.
Contributions de William Dab, François Ewald, Jean-Louis Fabiani, Claude Gilbert et Isabelle Bourdeaux, Olivier Godard, Marie-Angèle Hermitte, Jean- Charles Hourcade, Gérard Huber, Michel Lavérie, Gilles Martin, Gérard Mégie, Marc Pélegrin, Jean-Pierre Réveret et Jacques Weber, Brian Wynne.
Note de contenu : Ouvrage publié à la suite des "Journées annuelles de l'Association Natures, sciences, sociétés, dialogues" qui se sont déroulées en décembre 1994.
Notes bibliogr.Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=1076 Le principe de précaution : dans la conduite des affaires humaines [texte imprimé] / Olivier Godard, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Marceau Long, Préfacier, etc. . - Paris : Éd. de la Maison des sciences de l'homme, 1997 . - 351 p. : graph., couv. ill. ; 23 cm.
ISBN : 2-7380-0717-1
Ouvrage publié à la suite des "Journées annuelles de l'Association Natures, sciences, sociétés, dialogues" qui se sont déroulées en décembre 1994
Langues : Français
Catégories : Sciences:Sciences:Principe de précaution
Sciences:Sciences:RisqueMots-clés : RISQUE SOCIOLOGIE "CULTURE_SOCIOLOGIE" "Gestion_du_risque" "Sécurité_psychologie" "Principe_de_précaution" Résumé : .
«Civilisation du risque», notre société n'est-elle pas tout autant une civilisation de la sécurité? Catastrophes, dégradations, menaces affectant la santé humaine ou l'environnement alimentent soupçons et doutes : l'évolution technique prend-elle la bonne direction? Les institutions publiques permettent-elles d'intervenir à temps? C'est dans ce contexte que le «principe de précaution» s'est affirmé comme référence nouvelle de l'action: il en appelle à la prévention sans attendre que soit établie la réalité des risques.
Comment interpréter ce principe? Quels changements escompter dans les rapports entre science et décision? Comment traduire l'exigence de précaution en normes opératoires sans se fourvoyer dans des impasses ou déraper dans l'usage rhétorique? Les contributions rassemblées par Olivier Godard sous l'égide de l'Association Natures, Sciences, Sociétés, offrent des outils de pensée à partir de l'étude de situations précises. Des chercheurs de différentes disciplines montrent comment une culture de la précaution pourrait susciter une gestion des risques plus intelligente et plus ouverte aux préoccupations des citoyens. Leurs analyses témoignent aussi des flottements possibles ou de l'ambivalence d'une idée qui, mal interprétée, risque de faire régresser la rationalité de la décision publique ou le droit de la responsabilité.
Olivier Godard est économiste, directeur de recherche au CNRS. Depuis 1973, l'essentiel de son activité de recherche et d'enseignement est consacré aux relations entre environnement et développement économique ainsi qu'aux modalités de l'action publique.
Cet ouvrage trouve son origine dans les Journées annuelles de l'Association «Natures Sciences Sociétés-Dialogues» qui se sont déroulées en décembre 1994.
Contributions de William Dab, François Ewald, Jean-Louis Fabiani, Claude Gilbert et Isabelle Bourdeaux, Olivier Godard, Marie-Angèle Hermitte, Jean- Charles Hourcade, Gérard Huber, Michel Lavérie, Gilles Martin, Gérard Mégie, Marc Pélegrin, Jean-Pierre Réveret et Jacques Weber, Brian Wynne.
Note de contenu : Ouvrage publié à la suite des "Journées annuelles de l'Association Natures, sciences, sociétés, dialogues" qui se sont déroulées en décembre 1994.
Notes bibliogr.Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=1076 Exemplaires
Code-barres Cote Support Disponibilité 10823 05GOD Ouvrage Disponible 10822 05GOD Ouvrage Disponible Legal aspects of the risks raised by nanotechnologies in the field of medicine / Isabelle Poirot-Mazères in Journal International de Bioéthique, Vol.22 N°1-2 (Mars-Juin 2011)
[article]
Titre : Legal aspects of the risks raised by nanotechnologies in the field of medicine Type de document : texte imprimé Auteurs : Isabelle Poirot-Mazères, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : p. 99-118 Langues : Anglais Mots-clés : nanotechnologie nanomédecine science technologie "risque_pour_la_santé" "contrôle_social_de_la_science" bienfaisance respect "relation_médecin-patient" législation risque "risque_bénéfice" "principe_de_précaution" médecine "autorisation_de_mise_sur_le_marché" "sécurité_sanitaire" évaluation "évaluation_du_traitement" "consentement_éclairé" "essai_thérapeutique" "industrie_pharmaceutique" responsabilité "responsabilité_juridique" "droit_international" "dépistage_génétique" "médecine_prédictive" "test_génétique" "vie_privée" confidentialité Résumé : .
Les avancées majeures réalisées dans les nanotechnologies ouvrent de nouvelles pistes dans le domaine des soins de santé – une aide au diagnostic, une mise à jour de l’efficacité d’un traitement médical, la mise au point de la médecine régénératrice. Mais elles sont également associées à des risques, d’où un besoin croissant de législation. Jusqu’à présent, très peu de recherche a été réalisé sur cette technologie dont les applications sont encore limitées et dont les dangers potentiels ne sont pas encore clairement compris. L’usage de plus en plus fréquent des nanoparticules dans l’imagerie médicale et dans des projets actuels de recherche traitant de l’ingénierie des tissus ou de RFID soulève la question suivante: le cadre actuel de la législation est-il pertinent étant donné les spécificités des nano-objets? Le défi est double: l’approche juridique doit englober l’élément nanométrique lui-même comme «objet juridique» mais elle doit inclure l’usage des nanotechnologies et leur finalité. Il existe encore un degré d’incertitude concernant le caractère inoffensif des nanoparticules; ainsi l’usage des nano-éléments comme aide au diagnostic médical et lors d’essais cliniques doit anticiper et tenir compte des effets nocifs potentiels sur les patients et sur les équipes de recherche biomédicale. Mais comme il manque encore la compréhension claire des nanoparticules comme objets spécifiques avec des caractéristiques nouvelles, la réglementation existante sur les substances chimiques, les produits médicinaux, les appareils médicaux ou la cosmétique ne semble pas être appropriée. Ainsi, la considération des nanoparticules comme des objets juridiques «singuliers» constitue un préalable qui nécessite une approche basée sur le principe de précaution. Le mauvais usage des nanotechnologies dans le domaine médical provoque aussi beaucoup d’inquiétude. Les menaces pour la liberté individuelle et pour la vie privée ainsi que pour l’identité humaine sont réelles, soulevant des questions récurrentes. Les éventuelles déviations dans l’usage de ces techniques, la tentation d’«outrepasser les limites» sont également communes à l’informatique et aux biotechnologies, mais les menaces declenchées par les nanotechnologies sont augmentées par les possibilités offertes par la taille nanométrique et par la convergence attendue de ces différentes technologies. On devrait se référer aux principales directives afin de résoudre les conflits futurs entre les différentes ensembles de valeurs, surtout dans le domaine médical en se rappelant toujours le serment d’Hippocrate «primum non nocere, deinde curare».Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=5487
in Journal International de Bioéthique > Vol.22 N°1-2 (Mars-Juin 2011) . - p. 99-118[article] Legal aspects of the risks raised by nanotechnologies in the field of medicine [texte imprimé] / Isabelle Poirot-Mazères, Auteur . - 2011 . - p. 99-118.
Langues : Anglais
in Journal International de Bioéthique > Vol.22 N°1-2 (Mars-Juin 2011) . - p. 99-118
Mots-clés : nanotechnologie nanomédecine science technologie "risque_pour_la_santé" "contrôle_social_de_la_science" bienfaisance respect "relation_médecin-patient" législation risque "risque_bénéfice" "principe_de_précaution" médecine "autorisation_de_mise_sur_le_marché" "sécurité_sanitaire" évaluation "évaluation_du_traitement" "consentement_éclairé" "essai_thérapeutique" "industrie_pharmaceutique" responsabilité "responsabilité_juridique" "droit_international" "dépistage_génétique" "médecine_prédictive" "test_génétique" "vie_privée" confidentialité Résumé : .
Les avancées majeures réalisées dans les nanotechnologies ouvrent de nouvelles pistes dans le domaine des soins de santé – une aide au diagnostic, une mise à jour de l’efficacité d’un traitement médical, la mise au point de la médecine régénératrice. Mais elles sont également associées à des risques, d’où un besoin croissant de législation. Jusqu’à présent, très peu de recherche a été réalisé sur cette technologie dont les applications sont encore limitées et dont les dangers potentiels ne sont pas encore clairement compris. L’usage de plus en plus fréquent des nanoparticules dans l’imagerie médicale et dans des projets actuels de recherche traitant de l’ingénierie des tissus ou de RFID soulève la question suivante: le cadre actuel de la législation est-il pertinent étant donné les spécificités des nano-objets? Le défi est double: l’approche juridique doit englober l’élément nanométrique lui-même comme «objet juridique» mais elle doit inclure l’usage des nanotechnologies et leur finalité. Il existe encore un degré d’incertitude concernant le caractère inoffensif des nanoparticules; ainsi l’usage des nano-éléments comme aide au diagnostic médical et lors d’essais cliniques doit anticiper et tenir compte des effets nocifs potentiels sur les patients et sur les équipes de recherche biomédicale. Mais comme il manque encore la compréhension claire des nanoparticules comme objets spécifiques avec des caractéristiques nouvelles, la réglementation existante sur les substances chimiques, les produits médicinaux, les appareils médicaux ou la cosmétique ne semble pas être appropriée. Ainsi, la considération des nanoparticules comme des objets juridiques «singuliers» constitue un préalable qui nécessite une approche basée sur le principe de précaution. Le mauvais usage des nanotechnologies dans le domaine médical provoque aussi beaucoup d’inquiétude. Les menaces pour la liberté individuelle et pour la vie privée ainsi que pour l’identité humaine sont réelles, soulevant des questions récurrentes. Les éventuelles déviations dans l’usage de ces techniques, la tentation d’«outrepasser les limites» sont également communes à l’informatique et aux biotechnologies, mais les menaces declenchées par les nanotechnologies sont augmentées par les possibilités offertes par la taille nanométrique et par la convergence attendue de ces différentes technologies. On devrait se référer aux principales directives afin de résoudre les conflits futurs entre les différentes ensembles de valeurs, surtout dans le domaine médical en se rappelant toujours le serment d’Hippocrate «primum non nocere, deinde curare».Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=5487 Nanomaterials and the environmental risk: is there some room left for ethics and law? / Christian Byk in Journal International de Bioéthique, Vol.22 N°1-2 (Mars-Juin 2011)
[article]
Titre : Nanomaterials and the environmental risk: is there some room left for ethics and law? Type de document : texte imprimé Auteurs : Christian Byk, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : p. 157-172 Langues : Anglais Mots-clés : nanotechnologie, science, technologie, environnement, législation "contrôle_social_de_la_science" risque "risque_bénéfice" "risque_pour_la_santé" "coopération_internationale" "politique_de_santé" "principe_de_précaution" Europe "Union_européenne" États-Unis France débat Résumé : .
Quelle que soit la légitimité des préoccupations posées par les nanotechnologies en matière de risque pour la santé et l’environnement, une meilleure connaissance de la toxicité des nanomatériaux n’est pas suffisante. Toutefois, comme le Pr D. Sicard l’a relevé, nous ne pensons pas que la réflexion éthique doit se contenter d’être la bonne conscience qui aide la science à se débarasser des peurs sociales car la réflexion éthique est aussi là pour discuter des questions tabous dans la perspective d’une meilleure compréhension sociale.Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=5491
in Journal International de Bioéthique > Vol.22 N°1-2 (Mars-Juin 2011) . - p. 157-172[article] Nanomaterials and the environmental risk: is there some room left for ethics and law? [texte imprimé] / Christian Byk, Auteur . - 2011 . - p. 157-172.
Langues : Anglais
in Journal International de Bioéthique > Vol.22 N°1-2 (Mars-Juin 2011) . - p. 157-172
Mots-clés : nanotechnologie, science, technologie, environnement, législation "contrôle_social_de_la_science" risque "risque_bénéfice" "risque_pour_la_santé" "coopération_internationale" "politique_de_santé" "principe_de_précaution" Europe "Union_européenne" États-Unis France débat Résumé : .
Quelle que soit la légitimité des préoccupations posées par les nanotechnologies en matière de risque pour la santé et l’environnement, une meilleure connaissance de la toxicité des nanomatériaux n’est pas suffisante. Toutefois, comme le Pr D. Sicard l’a relevé, nous ne pensons pas que la réflexion éthique doit se contenter d’être la bonne conscience qui aide la science à se débarasser des peurs sociales car la réflexion éthique est aussi là pour discuter des questions tabous dans la perspective d’une meilleure compréhension sociale.Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=5491 Democracy and bioethical controversies / Christian Byk in Journal International de Bioéthique, Vol.18 N°1-2 (Mars - Juin 2007)
[article]
Titre : Democracy and bioethical controversies Type de document : texte imprimé Auteurs : Christian Byk, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : p. 21-27 Langues : Anglais Mots-clés : "Ethique_biomédicale" Démocratie "Comité_éthique" Risque "Prise_de_décision" Résumé : .
Parler de bioéthique et de débat public constitue certainement un non sens pour ceux qui croient encore que l'exercice de la médecine reste une question de rapports individuels entre un médecin et son patient, cette relation étant seulement réglée par la conscience que le médecin a de ses devoirs éthiques envers le patient. Toutefois, pour ceux qui pensent que les médecins et autres personnels de santé ne peuvent plus trouver aujourd'hui dans leur éthique professionnelle les réponses aux questions soulevées par l'essor des techniques biomédicales, trois questions doivent être posées. Les institutions démocratiques traditionnelles peuvent-elles faire face à ces questions? Faut-il mettre en place de nouvelles institutions? Ces mécanismes -anciens et nouveaux - sont-ils à même d'alimenter un débat public?Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=3862
in Journal International de Bioéthique > Vol.18 N°1-2 (Mars - Juin 2007) . - p. 21-27[article] Democracy and bioethical controversies [texte imprimé] / Christian Byk, Auteur . - 2007 . - p. 21-27.
Langues : Anglais
in Journal International de Bioéthique > Vol.18 N°1-2 (Mars - Juin 2007) . - p. 21-27
Mots-clés : "Ethique_biomédicale" Démocratie "Comité_éthique" Risque "Prise_de_décision" Résumé : .
Parler de bioéthique et de débat public constitue certainement un non sens pour ceux qui croient encore que l'exercice de la médecine reste une question de rapports individuels entre un médecin et son patient, cette relation étant seulement réglée par la conscience que le médecin a de ses devoirs éthiques envers le patient. Toutefois, pour ceux qui pensent que les médecins et autres personnels de santé ne peuvent plus trouver aujourd'hui dans leur éthique professionnelle les réponses aux questions soulevées par l'essor des techniques biomédicales, trois questions doivent être posées. Les institutions démocratiques traditionnelles peuvent-elles faire face à ces questions? Faut-il mettre en place de nouvelles institutions? Ces mécanismes -anciens et nouveaux - sont-ils à même d'alimenter un débat public?Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=3862
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