Centre de Ressources et de Documentation de l'Espace Éthique PACA-Corse
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La société de déception / Gilles Lipovetsky
Titre : La société de déception Type de document : texte imprimé Auteurs : Gilles Lipovetsky, Personne interviewée ; Bertrand Richard, Intervieweur Editeur : Paris : Textuel Année de publication : 2006 Collection : Conversations pour demain, ISSN 1271-9900 Importance : 110 p. Présentation : couv. ill. Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-84597-195-0 Prix : 17 € Langues : Français Catégories : Philosophie:Philosophie politique
Société et éthique:Dimension sociale:SociétéMots-clés : "Lipovetsky_Gilles--Entretiens" Déception "Individu-et_société" Civilisation Résumé : .
Travail culture, amours, chose publique, peu de domaines de nos vies échappent à l'empire de la déception. Cela est sans précédent. L'analyste de nos sociétés hypermodernes Gilles Lipovetsky pointe bien sûr la frénésie consommatoire, mais refuse d'y voir la seule cause de notre désenchantement. Contre les idées reçues, c'est pour lui du côté des désirs non matériels que la déception opère le plus, et non du côté des simples biens de consommation. N'y aurait-il plus rien à attendre d'une démocratie ramenée au médiocre statut de moins mauvais des régimes?Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=4051 La société de déception [texte imprimé] / Gilles Lipovetsky, Personne interviewée ; Bertrand Richard, Intervieweur . - Paris : Textuel, 2006 . - 110 p. : couv. ill. ; 21 cm. - (Conversations pour demain, ISSN 1271-9900) .
ISBN : 978-2-84597-195-0 : 17 €
Langues : Français
Catégories : Philosophie:Philosophie politique
Société et éthique:Dimension sociale:SociétéMots-clés : "Lipovetsky_Gilles--Entretiens" Déception "Individu-et_société" Civilisation Résumé : .
Travail culture, amours, chose publique, peu de domaines de nos vies échappent à l'empire de la déception. Cela est sans précédent. L'analyste de nos sociétés hypermodernes Gilles Lipovetsky pointe bien sûr la frénésie consommatoire, mais refuse d'y voir la seule cause de notre désenchantement. Contre les idées reçues, c'est pour lui du côté des désirs non matériels que la déception opère le plus, et non du côté des simples biens de consommation. N'y aurait-il plus rien à attendre d'une démocratie ramenée au médiocre statut de moins mauvais des régimes?Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=4051 Exemplaires
Code-barres Cote Support Disponibilité 10578 03LIP Ouvrage Disponible La Technique et la science comme "idéologie" / Jürgen Habermas
Titre : La Technique et la science comme "idéologie" : Titre original: Technik und Wissenschaft als Ideologie Type de document : texte imprimé Auteurs : Jürgen Habermas, Auteur ; Jean-René Ladmiral, Traducteur Editeur : Paris [France] : Gallimard Année de publication : 1990 Collection : Tel, ISSN 0339-8560 Importance : XLIX-211 p. Présentation : couv. ill. en coul Format : 19 cm ISBN/ISSN/EAN : 2-7-07071942-1 Note générale : Trad. de l'allemand. Langues : Français Langues originales : Allemand Catégories : Philosophie:Philosophie des sciences
Philosophie:Philosophie politiqueMots-clés : "Marcuse,Herbert" "Hegel,Georg_Wilhelm_Friedrich" "Weber,Max" "Politique_technologique--Participation_des_citoyens" Idéologie "Sciences_et_civilisation" "Technique_et_civilisation" "Technique--Philosophie" Résumé : .
La technique et la science constituent désormais les forces productives les plus importantes des sociétés développées. Cette situation nouvelle pose le problème de leur relation avec la pratique sociale, telle qu'elle doit s'exercer dans un monde où l'information est elle-même un produit de la technique. Jürgen Habermas examine dans les études réunies dans ce volume l'incidence de la rationalité scientifique sur le «monde social vécu» et ses répercussions sur le fonctionnement de la démocratie. Il montre les limites de la technocratie qui tend à s'abriter derrière une pseudo-rationalité pour assurer le triomphe de ses intérêts. Il analyse le système des valeurs en cours, les finalités que se propose le corps social sans toujours en avoir conscience, la fonction des idéologies qui les systématisent.
Du même coup il est ici abordé une des plus grandes questions de notre temps: comment le consensus social que postule la démocratie peut-il s'opérer dans les sociétés industrielles avancées?
Jürgen Habermas est né en 1929 et il est Professeur de philosophie et de sociologie à l'Université de Francfort. Il peut être considéré comme un continuateur du courant de pensée connu sous le nom d'École de Francfort, dont Theodor Adorno, Max Horkheimer et Herbert Marcuse furent les principaux représentants.
Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=73 La Technique et la science comme "idéologie" : Titre original: Technik und Wissenschaft als Ideologie [texte imprimé] / Jürgen Habermas, Auteur ; Jean-René Ladmiral, Traducteur . - Paris (5, rue Sébastien-Bottin, cedex 07, 75328, France) : Gallimard, 1990 . - XLIX-211 p. : couv. ill. en coul ; 19 cm. - (Tel, ISSN 0339-8560) .
ISSN : 2-7-07071942-1
Trad. de l'allemand.
Langues : Français Langues originales : Allemand
Catégories : Philosophie:Philosophie des sciences
Philosophie:Philosophie politiqueMots-clés : "Marcuse,Herbert" "Hegel,Georg_Wilhelm_Friedrich" "Weber,Max" "Politique_technologique--Participation_des_citoyens" Idéologie "Sciences_et_civilisation" "Technique_et_civilisation" "Technique--Philosophie" Résumé : .
La technique et la science constituent désormais les forces productives les plus importantes des sociétés développées. Cette situation nouvelle pose le problème de leur relation avec la pratique sociale, telle qu'elle doit s'exercer dans un monde où l'information est elle-même un produit de la technique. Jürgen Habermas examine dans les études réunies dans ce volume l'incidence de la rationalité scientifique sur le «monde social vécu» et ses répercussions sur le fonctionnement de la démocratie. Il montre les limites de la technocratie qui tend à s'abriter derrière une pseudo-rationalité pour assurer le triomphe de ses intérêts. Il analyse le système des valeurs en cours, les finalités que se propose le corps social sans toujours en avoir conscience, la fonction des idéologies qui les systématisent.
Du même coup il est ici abordé une des plus grandes questions de notre temps: comment le consensus social que postule la démocratie peut-il s'opérer dans les sociétés industrielles avancées?
Jürgen Habermas est né en 1929 et il est Professeur de philosophie et de sociologie à l'Université de Francfort. Il peut être considéré comme un continuateur du courant de pensée connu sous le nom d'École de Francfort, dont Theodor Adorno, Max Horkheimer et Herbert Marcuse furent les principaux représentants.
Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=73 Exemplaires
Code-barres Cote Support Disponibilité 10509 03HAB Ouvrage Disponible Théorie de la justice / John Rawls
Titre : Théorie de la justice Type de document : texte imprimé Auteurs : John Rawls, Auteur ; Catherine Audard, Traducteur Editeur : Paris : Éd. du Seuil Année de publication : 1987 Collection : Empreintes, ISSN 0751-4050 Importance : 666 p. Format : 25 cm ISBN/ISSN/EAN : 2-02-014601-0 Note générale : Titre original: A Theory of justice Langues : Français Langues originales : Américain Catégories : Philosophie:Philosophie morale - Morale, éthique, valeurs
Philosophie:Philosophie politiqueMots-clés : POLITIQUE PHILOSOPHIE "Primauté_du_droit" "Justice_sociale" "Droit_et_morale" "Droit--Aspect_social" Justice "Justice_philosophie" "Philosophie_politique" Démocratie Résumé : .
Ce livre est considéré dans le monde anglo-saxon comme le texte contemporain le plus important de la philosophie morale et politique. C'est un défi lancé à tous ceux qui pensent que la justice sociale et l'efficacité économique sont incompatibles. Né de la postérité du New Deal et enraciné dans une tradition profondément américaine de lutte pour les civil rights, reflétant par moments le désarroi moral et la contestation étudiante des années 70, Théorie de la justice est pourtant un livre de portée universelle, à cause, d'une part, du dialogue qu'il instaure entre deux traditions opposées - Rousseau et Kant confrontés à l'utilitarisme de Mill et de Sidgwick - et, d'autre part, de la rigueur et de la profondeur des analyses qui y sont proposées. C'est, au meilleur sens du terme, un livre de philosophe engagé, donnant aux préoccupations morales et politiques de cette fin du XXe siècle - de la justice sociale à l'écologie, de la politique de l'éducation à la théorie de la désobéissance civile, pour ne citer que quelques thèmes - une armature intellectuelle, une clarté déductive qui leur manquaient, les sauvant ainsi du pathos des hommes politiques ou du cynisme d'une certaine philosophie de la «mort de l'homme». Dans ce livre souvent difficile mais exaltant, John Rawls a formulé ce qu'on pourrait appeler une charte de la social-démocratie moderne, avec ses forces et ses faiblesses.
John Rawls est professeur de philosophie à l'université Harvard.
Note de contenu : Titre original: A Theory of justice
IndexPermalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=210 Théorie de la justice [texte imprimé] / John Rawls, Auteur ; Catherine Audard, Traducteur . - Paris : Éd. du Seuil, 1987 . - 666 p. ; 25 cm. - (Empreintes, ISSN 0751-4050) .
ISBN : 2-02-014601-0
Titre original: A Theory of justice
Langues : Français Langues originales : Américain
Catégories : Philosophie:Philosophie morale - Morale, éthique, valeurs
Philosophie:Philosophie politiqueMots-clés : POLITIQUE PHILOSOPHIE "Primauté_du_droit" "Justice_sociale" "Droit_et_morale" "Droit--Aspect_social" Justice "Justice_philosophie" "Philosophie_politique" Démocratie Résumé : .
Ce livre est considéré dans le monde anglo-saxon comme le texte contemporain le plus important de la philosophie morale et politique. C'est un défi lancé à tous ceux qui pensent que la justice sociale et l'efficacité économique sont incompatibles. Né de la postérité du New Deal et enraciné dans une tradition profondément américaine de lutte pour les civil rights, reflétant par moments le désarroi moral et la contestation étudiante des années 70, Théorie de la justice est pourtant un livre de portée universelle, à cause, d'une part, du dialogue qu'il instaure entre deux traditions opposées - Rousseau et Kant confrontés à l'utilitarisme de Mill et de Sidgwick - et, d'autre part, de la rigueur et de la profondeur des analyses qui y sont proposées. C'est, au meilleur sens du terme, un livre de philosophe engagé, donnant aux préoccupations morales et politiques de cette fin du XXe siècle - de la justice sociale à l'écologie, de la politique de l'éducation à la théorie de la désobéissance civile, pour ne citer que quelques thèmes - une armature intellectuelle, une clarté déductive qui leur manquaient, les sauvant ainsi du pathos des hommes politiques ou du cynisme d'une certaine philosophie de la «mort de l'homme». Dans ce livre souvent difficile mais exaltant, John Rawls a formulé ce qu'on pourrait appeler une charte de la social-démocratie moderne, avec ses forces et ses faiblesses.
John Rawls est professeur de philosophie à l'université Harvard.
Note de contenu : Titre original: A Theory of justice
IndexPermalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=210 Exemplaires
Code-barres Cote Support Disponibilité 10629 03RAW Ouvrage Disponible Théorie des sentiments moraux / Adam Smith
Titre : Théorie des sentiments moraux Type de document : texte imprimé Auteurs : Adam Smith (1723-1790), Auteur Editeur : Paris : Presses Universitaires de France (PUF) Année de publication : 1999 Collection : Léviathan, ISSN 0989-4462 Importance : 469 p. Présentation : couv. ill. Format : 24 cm ISBN/ISSN/EAN : 2-13-049524-9 Note générale : Titre original: The theory of moral sentiments Langues : Français Langues originales : Anglais Catégories : Philosophie:Philosophie morale - Morale, éthique, valeurs
Philosophie:Philosophie politiqueMots-clés : Morale Résumé : .
La Théorie des sentiments moraux (1759, dernière édition augmentée en 1790) est l’œuvre fondamentale d'Adam Smith, l'un des penseurs éminents des Lumières britanniques. Une lecture qui paraîtra sans aucun doute décisive à quiconque s'intéresse au projet d'une science empiriste de la morale, ainsi qu'à la philosophie du lien social élaborée par celui que l'on considère souvent comme le fondateur de l'économie politique libérale.
Ce projet d'une science de la morale s'inscrit avant tout dans le cadre de ce que l'on peut nommer la tradition des sentiments moraux. Remaniant des questions et des problèmes énoncés, formulés dans la première moitié du XVIIIième siècle par des auteurs comme Shaftesbury, Butler, Hutcheson ou Hume, l'auteur de la Théorie construit une philosophie morale originale, centrée sur le concept de «spectateur impartial». Plus largement, Smith forme le projet ambitieux de concilier l'enseignement moral du christianisme, prônant la sensibilité et l'amour d'autrui, avec le stoïcisme, entendu comme morale de la maîtrise de soi.
La Théorie propose également une philosophie du lien social, nourrie de diverses traditions de philosophie politique que Smith réinterprète à sa façon; par exemple, la tradition du droit naturel, ou encore le républicanisme de Cicéron. Ces réinterprétations ne font d'ailleurs que souligner plus amplement la singularité de la pensée smithienne. La place et la fonction qu'il donne aux conséquences inattendues dans la constitution de la société en sont un exemple parmi d'autres, qu'il désigne par l'expression célèbre de «main invisible». En interrogeant la nature du lien social, la Théorie sert de fondement aux réflexions ultérieures, que ce soit dans le domaine économique avec l’Enquête sur la richesse des nations, ou encore dans le domaine juridique avec les Leçons sur la jurisprudence.
La présente traduction, par son parti-pris de littéralité, s'attache à rendre au mieux la précision des analyses de la Théorie des sentiments moraux. L'appareil critique, développé, s'efforce d'éclairer les rapports de ce texte avec les travaux lus et étudiés par Smith; mais il propose également de multiples renvois aux autres textes de l’œuvre smithienne.
Les traducteurs: Michaël Biziou, Université de Paris X-Nanterre; Claude Gautier, Université Jules Verne de Pircardie; Jean-François Pradeau, Université Marc Bloch de Strasbourg.
Note de contenu : Titre original: The theory of moral sentiments
Notes bibliogr. IndexPermalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=157 Théorie des sentiments moraux [texte imprimé] / Adam Smith (1723-1790), Auteur . - Paris : Presses Universitaires de France (PUF), 1999 . - 469 p. : couv. ill. ; 24 cm. - (Léviathan, ISSN 0989-4462) .
ISBN : 2-13-049524-9
Titre original: The theory of moral sentiments
Langues : Français Langues originales : Anglais
Catégories : Philosophie:Philosophie morale - Morale, éthique, valeurs
Philosophie:Philosophie politiqueMots-clés : Morale Résumé : .
La Théorie des sentiments moraux (1759, dernière édition augmentée en 1790) est l’œuvre fondamentale d'Adam Smith, l'un des penseurs éminents des Lumières britanniques. Une lecture qui paraîtra sans aucun doute décisive à quiconque s'intéresse au projet d'une science empiriste de la morale, ainsi qu'à la philosophie du lien social élaborée par celui que l'on considère souvent comme le fondateur de l'économie politique libérale.
Ce projet d'une science de la morale s'inscrit avant tout dans le cadre de ce que l'on peut nommer la tradition des sentiments moraux. Remaniant des questions et des problèmes énoncés, formulés dans la première moitié du XVIIIième siècle par des auteurs comme Shaftesbury, Butler, Hutcheson ou Hume, l'auteur de la Théorie construit une philosophie morale originale, centrée sur le concept de «spectateur impartial». Plus largement, Smith forme le projet ambitieux de concilier l'enseignement moral du christianisme, prônant la sensibilité et l'amour d'autrui, avec le stoïcisme, entendu comme morale de la maîtrise de soi.
La Théorie propose également une philosophie du lien social, nourrie de diverses traditions de philosophie politique que Smith réinterprète à sa façon; par exemple, la tradition du droit naturel, ou encore le républicanisme de Cicéron. Ces réinterprétations ne font d'ailleurs que souligner plus amplement la singularité de la pensée smithienne. La place et la fonction qu'il donne aux conséquences inattendues dans la constitution de la société en sont un exemple parmi d'autres, qu'il désigne par l'expression célèbre de «main invisible». En interrogeant la nature du lien social, la Théorie sert de fondement aux réflexions ultérieures, que ce soit dans le domaine économique avec l’Enquête sur la richesse des nations, ou encore dans le domaine juridique avec les Leçons sur la jurisprudence.
La présente traduction, par son parti-pris de littéralité, s'attache à rendre au mieux la précision des analyses de la Théorie des sentiments moraux. L'appareil critique, développé, s'efforce d'éclairer les rapports de ce texte avec les travaux lus et étudiés par Smith; mais il propose également de multiples renvois aux autres textes de l’œuvre smithienne.
Les traducteurs: Michaël Biziou, Université de Paris X-Nanterre; Claude Gautier, Université Jules Verne de Pircardie; Jean-François Pradeau, Université Marc Bloch de Strasbourg.
Note de contenu : Titre original: The theory of moral sentiments
Notes bibliogr. IndexPermalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=157 Exemplaires
Code-barres Cote Support Disponibilité 10653 03SMI Ouvrage Disponible L'unicité du savoir / Edward O. Wilson
Titre : L'unicité du savoir : de la biologie à l'art, une même connaissance Type de document : texte imprimé Auteurs : Edward O. Wilson, Auteur ; Constant Winter, Traducteur Editeur : Paris : R. Laffont Année de publication : 2000 Importance : 396 p. Format : 24 cm ISBN/ISSN/EAN : 2-221-08877-8 Note générale : Titre original: Consilience Langues : Français Langues originales : Américain Catégories : Philosophie:Philosophie des sciences
Philosophie:Philosophie politique
Sciences:Sciences:BiologieMots-clés : Interdisciplinarité "Théorie_de_la_Connaissance" "Philosophie_et_sciences" Résumé : .
Dans cet ouvrage qui a provoqué une vive controverse lors de sa sortie aux États-Unis, le grand naturaliste Edward O.Wilson présente une défense vigoureuse et passionnée de l'unité de toutes les formes de connaissance humaine, qu'il s'agisse de science, de philosophie ou d'art.
Ce rêve d'unité remonte aux Grecs anciens. A un moment de notre histoire, il s'est même matérialisé: de la Renaissance aux Lumières, l'unicité fondamentale de la connaissance est devenue une réalité palpable, incarnée par des figures comme Léonard de Vinci, Gaulée, Leibniz, Newton et les encyclopédistes, tous savants, philosophes, artistes. Mais le succès de l'entreprise scientifique a eu un prix: la spécialisation des savoirs et, par voie de conséquence, l'abandon progressif de la quête d'une unité fondamentale, devenue une chimère.
Or, selon Edward O.Wilson, jamais l'unicité de la connaissance n'a autant été à l'ordre du jour. Empruntant ses exemples à la physique, à la biologie, à l'anthropologie, à la psychologie, à la religion, à la philosophie et aux arts, fustigeant l'étroitesse d'esprit de nos spécialistes modernes, Wilson montre comment la quête de l'unité se trouve renouvelée par l'inexorable convergence de toutes les formes de connaissance, au centre desquelles se trouve l'Homme - et son insatiable curiosité.
Edward 0. Wilson est unanimement considéré comme l'un des plus grands naturalistes vivants. Selon le magazine américain Time, il fait partie des «vingt-cinq Américains les plus influents du siècle» et, selon un autre classement, des «cent plus grands scientifiques de tous les temps». Outre ses contributions fondamentales à l'étude des fourmis, sa passion première, et à l'écologie, il est le père d'une discipline scientifique nouvelle, l'étude biologique des sociétés animales ou sociobiologie. Esprit universel, infatigable vulgarisateur, polémiste de talent, il est l'auteur de très nombreux ouvrages et a reçu à deux reprises le prestigieux prix Pulitzer. L'Unicité du savoir est resté de longues semaines sur la liste des meilleures ventes outre-Atlantique.
Note de contenu : Titre original: Consilience
Notes bibliogr.Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=166 L'unicité du savoir : de la biologie à l'art, une même connaissance [texte imprimé] / Edward O. Wilson, Auteur ; Constant Winter, Traducteur . - Paris : R. Laffont, 2000 . - 396 p. ; 24 cm.
ISBN : 2-221-08877-8
Titre original: Consilience
Langues : Français Langues originales : Américain
Catégories : Philosophie:Philosophie des sciences
Philosophie:Philosophie politique
Sciences:Sciences:BiologieMots-clés : Interdisciplinarité "Théorie_de_la_Connaissance" "Philosophie_et_sciences" Résumé : .
Dans cet ouvrage qui a provoqué une vive controverse lors de sa sortie aux États-Unis, le grand naturaliste Edward O.Wilson présente une défense vigoureuse et passionnée de l'unité de toutes les formes de connaissance humaine, qu'il s'agisse de science, de philosophie ou d'art.
Ce rêve d'unité remonte aux Grecs anciens. A un moment de notre histoire, il s'est même matérialisé: de la Renaissance aux Lumières, l'unicité fondamentale de la connaissance est devenue une réalité palpable, incarnée par des figures comme Léonard de Vinci, Gaulée, Leibniz, Newton et les encyclopédistes, tous savants, philosophes, artistes. Mais le succès de l'entreprise scientifique a eu un prix: la spécialisation des savoirs et, par voie de conséquence, l'abandon progressif de la quête d'une unité fondamentale, devenue une chimère.
Or, selon Edward O.Wilson, jamais l'unicité de la connaissance n'a autant été à l'ordre du jour. Empruntant ses exemples à la physique, à la biologie, à l'anthropologie, à la psychologie, à la religion, à la philosophie et aux arts, fustigeant l'étroitesse d'esprit de nos spécialistes modernes, Wilson montre comment la quête de l'unité se trouve renouvelée par l'inexorable convergence de toutes les formes de connaissance, au centre desquelles se trouve l'Homme - et son insatiable curiosité.
Edward 0. Wilson est unanimement considéré comme l'un des plus grands naturalistes vivants. Selon le magazine américain Time, il fait partie des «vingt-cinq Américains les plus influents du siècle» et, selon un autre classement, des «cent plus grands scientifiques de tous les temps». Outre ses contributions fondamentales à l'étude des fourmis, sa passion première, et à l'écologie, il est le père d'une discipline scientifique nouvelle, l'étude biologique des sociétés animales ou sociobiologie. Esprit universel, infatigable vulgarisateur, polémiste de talent, il est l'auteur de très nombreux ouvrages et a reçu à deux reprises le prestigieux prix Pulitzer. L'Unicité du savoir est resté de longues semaines sur la liste des meilleures ventes outre-Atlantique.
Note de contenu : Titre original: Consilience
Notes bibliogr.Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=166 Exemplaires
Code-barres Cote Support Disponibilité 10667 03WIL Ouvrage Disponible L'Utilitarisme / John Stuart Mill
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