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7 résultat(s) recherche sur le mot-clé '"Personne_de_confiance"'
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Appropriation de la notion de personne de confiance en psychiatrie aupres des patients psychotiques chroniques: entre modèle éthique et faits cliniques / Carole Milan
Titre : Appropriation de la notion de personne de confiance en psychiatrie aupres des patients psychotiques chroniques: entre modèle éthique et faits cliniques Type de document : texte manuscrit Auteurs : Carole Milan, Auteur Année de publication : 2011 Importance : 60 p. Note générale : D.I.U. d’Ethique Médicale Langues : Français Mots-clés : Éthique "Droit_des_malades" "Loi_du_4_mars_2002" "Personne_de_confiance" Psychiatrie Psychose Secret Résumé : .
La loi du 4 mars 2002 énonce le droit aux patients de désigner une personne de confiance. Le service de psychiatrie de l'hôpital militaire de Laveran à Marseille a réalisé une étude sur l'appréciation de cette disposition par les patients atteints de psychose chronique c'est-à-dire ayant des symptômes tels que le délire, la discordance, le repli. Les résultats montrent que l'existence de la personne de confiance est mal connue et son rôle et ses responsabilités semblent mal compris. La question soulevée est de savoir comment tendre vers une utilisation la plus pertinente possible de la notion, dans le but de garantir une meilleure prise en charge des patients.Note de contenu : D.I.U. d’Ethique Médicale Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=5698 Appropriation de la notion de personne de confiance en psychiatrie aupres des patients psychotiques chroniques: entre modèle éthique et faits cliniques [texte manuscrit] / Carole Milan, Auteur . - 2011 . - 60 p.
D.I.U. d’Ethique Médicale
Langues : Français
Mots-clés : Éthique "Droit_des_malades" "Loi_du_4_mars_2002" "Personne_de_confiance" Psychiatrie Psychose Secret Résumé : .
La loi du 4 mars 2002 énonce le droit aux patients de désigner une personne de confiance. Le service de psychiatrie de l'hôpital militaire de Laveran à Marseille a réalisé une étude sur l'appréciation de cette disposition par les patients atteints de psychose chronique c'est-à-dire ayant des symptômes tels que le délire, la discordance, le repli. Les résultats montrent que l'existence de la personne de confiance est mal connue et son rôle et ses responsabilités semblent mal compris. La question soulevée est de savoir comment tendre vers une utilisation la plus pertinente possible de la notion, dans le but de garantir une meilleure prise en charge des patients.Note de contenu : D.I.U. d’Ethique Médicale Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=5698 Exemplaires
Code-barres Cote Support Disponibilité 2457 m 2011 MIL mémoire Disponible Connaissances et pratiques vis-à-vis de la désignation de la personne de confiance au centre hospitalier de Cayenne (Guyane) / C. Basurko in Ethique et santé, Vol.10 N°2 (Juin 2013)
[article]
Titre : Connaissances et pratiques vis-à-vis de la désignation de la personne de confiance au centre hospitalier de Cayenne (Guyane) Type de document : texte imprimé Auteurs : C. Basurko, Auteur ; D.-R. Rochemont, Auteur ; V. Dufit, Auteur ; O. Casse, Auteur ; H. Mathurin, Auteur ; P. Beauvais, Auteur ; M. Nacher, Auteur Année de publication : 2013 Article en page(s) : p. 103-108 Langues : Français Mots-clés : "Personne_de_confiance" "Droits_du_patient" Éthique Enquête Guyane Résumé : .
La notion de personne de confiance introduite en 1998, à la demande des soignants et des patients fait aujourd’hui partie de la loi du 4 mars 2002. Dix ans après sa publication dans le Code de la santé publique, le centre hospitalier de Cayenne a voulu évaluer son application sur le terrain. Une enquête transversale de type « connaissances attitudes pratiques » a été mise en place dans les services du centre hospitalier. L’étude a consisté à faire passer au cours d’un entretien individuel, un questionnaire aux patients majeurs hospitalisés et un questionnaire aux professionnels de santé en poste au moment de l’enquête. Quatre cent quatre-vingt-quatre personnes (257 patients et 167 soignants) ont été interrogées. Sur dix questions de connaissance, la moitié des soignants ont répondu conformément à la loi, au moins sept fois sur dix et la moitié des patients, au moins six fois sur dix. En pratique, moins d’un patient sur deux a déclaré avoir entendu parlé à l’hôpital de la possibilité de désigner une personne de confiance. Vingt-huit pour cent des professionnels interrogés ont déclaré que les personnes qui devaient proposer aux patients de désigner une personne de confiance devaient être les administratifs. Les résultats de cette première enquête sur la notion de personne de confiance, au centre hospitalier de Cayenne ont confirmé la tendance observée dans les autres hôpitaux de France à savoir la difficulté d’application sur le terrain de la loi par les professionnels pour permettre aux patients un choix éclairé.Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6400
in Ethique et santé > Vol.10 N°2 (Juin 2013) . - p. 103-108[article] Connaissances et pratiques vis-à-vis de la désignation de la personne de confiance au centre hospitalier de Cayenne (Guyane) [texte imprimé] / C. Basurko, Auteur ; D.-R. Rochemont, Auteur ; V. Dufit, Auteur ; O. Casse, Auteur ; H. Mathurin, Auteur ; P. Beauvais, Auteur ; M. Nacher, Auteur . - 2013 . - p. 103-108.
Langues : Français
in Ethique et santé > Vol.10 N°2 (Juin 2013) . - p. 103-108
Mots-clés : "Personne_de_confiance" "Droits_du_patient" Éthique Enquête Guyane Résumé : .
La notion de personne de confiance introduite en 1998, à la demande des soignants et des patients fait aujourd’hui partie de la loi du 4 mars 2002. Dix ans après sa publication dans le Code de la santé publique, le centre hospitalier de Cayenne a voulu évaluer son application sur le terrain. Une enquête transversale de type « connaissances attitudes pratiques » a été mise en place dans les services du centre hospitalier. L’étude a consisté à faire passer au cours d’un entretien individuel, un questionnaire aux patients majeurs hospitalisés et un questionnaire aux professionnels de santé en poste au moment de l’enquête. Quatre cent quatre-vingt-quatre personnes (257 patients et 167 soignants) ont été interrogées. Sur dix questions de connaissance, la moitié des soignants ont répondu conformément à la loi, au moins sept fois sur dix et la moitié des patients, au moins six fois sur dix. En pratique, moins d’un patient sur deux a déclaré avoir entendu parlé à l’hôpital de la possibilité de désigner une personne de confiance. Vingt-huit pour cent des professionnels interrogés ont déclaré que les personnes qui devaient proposer aux patients de désigner une personne de confiance devaient être les administratifs. Les résultats de cette première enquête sur la notion de personne de confiance, au centre hospitalier de Cayenne ont confirmé la tendance observée dans les autres hôpitaux de France à savoir la difficulté d’application sur le terrain de la loi par les professionnels pour permettre aux patients un choix éclairé.Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6400 Dangers pour la personne de confiance : vers une équité de sa désignation / Richard Pougnet ; Laurence Pougnet ; David Jousset ; Jean-Michel Boles in Ethique et santé, Vol.14 N°1 (Mars 2017)
[article]
Titre : Dangers pour la personne de confiance : vers une équité de sa désignation Type de document : texte imprimé Auteurs : Richard Pougnet, Auteur ; Laurence Pougnet, Auteur ; David Jousset, Auteur ; Jean-Michel Boles, Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 49-56 Langues : Français Mots-clés : "Personne_de_confiance" "Troubles_réactionnels" Bienfaisance "Non-malfaisance" Équité Résumé : .
Les personnes malades ont besoin d’accompagnement au cours de leurs maladies, à la fois sur le plan psychologique et pour l’aide aux démarches de soins. En France, le législateur a mis en place la personne de confiance (PC) dont le rôle est d’accompagner le malade au cours de ses démarches et de ses soins, ainsi que de représenter sa volonté dans le dialogue avec les équipes soignantes le cas échéant. Comme la PC est en contact rapproché avec les soins, elle peut être soumise à un stress particulier, d’autant plus important qu’elle peut être amenée à considérer son rôle comme déterminant pour les décisions médicales ; certaines études montrent ainsi des prévalences supérieures de troubles réactionnels, comme le trouble de stress post-traumatique, chez la PC par rapport aux autres personnes. À partir de ce constat, nous nous interrogeons sur les enjeux éthiques pour la désignation de la personne de confiance. Cette personne doit en effet être proche du patient (famille, amis, médecins traitant) et suffisamment solide psychologiquement pour accompagner la maladie. Comment désigner une personne PC sans la soumettre à un risque trop important pour la santé ? Comment traverser la tension éthique entre les principes de bienfaisance pour le patient et de non-malfaisance pour la PC ? Nous explorons les différentes possibilités offertes par la loi sur la désignation et nous proposons une manière équitable de désignation de la PC à partir de la notion d’accompagnement de celle-ci par le corps médical.Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=7365
in Ethique et santé > Vol.14 N°1 (Mars 2017) . - p. 49-56[article] Dangers pour la personne de confiance : vers une équité de sa désignation [texte imprimé] / Richard Pougnet, Auteur ; Laurence Pougnet, Auteur ; David Jousset, Auteur ; Jean-Michel Boles, Auteur . - 2017 . - p. 49-56.
Langues : Français
in Ethique et santé > Vol.14 N°1 (Mars 2017) . - p. 49-56
Mots-clés : "Personne_de_confiance" "Troubles_réactionnels" Bienfaisance "Non-malfaisance" Équité Résumé : .
Les personnes malades ont besoin d’accompagnement au cours de leurs maladies, à la fois sur le plan psychologique et pour l’aide aux démarches de soins. En France, le législateur a mis en place la personne de confiance (PC) dont le rôle est d’accompagner le malade au cours de ses démarches et de ses soins, ainsi que de représenter sa volonté dans le dialogue avec les équipes soignantes le cas échéant. Comme la PC est en contact rapproché avec les soins, elle peut être soumise à un stress particulier, d’autant plus important qu’elle peut être amenée à considérer son rôle comme déterminant pour les décisions médicales ; certaines études montrent ainsi des prévalences supérieures de troubles réactionnels, comme le trouble de stress post-traumatique, chez la PC par rapport aux autres personnes. À partir de ce constat, nous nous interrogeons sur les enjeux éthiques pour la désignation de la personne de confiance. Cette personne doit en effet être proche du patient (famille, amis, médecins traitant) et suffisamment solide psychologiquement pour accompagner la maladie. Comment désigner une personne PC sans la soumettre à un risque trop important pour la santé ? Comment traverser la tension éthique entre les principes de bienfaisance pour le patient et de non-malfaisance pour la PC ? Nous explorons les différentes possibilités offertes par la loi sur la désignation et nous proposons une manière équitable de désignation de la PC à partir de la notion d’accompagnement de celle-ci par le corps médical.Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=7365 La personne de confiance : analyse de sa posture dans notre pratique / M. Khetta ; E. Guédon ; D. Martin ; A. Bounacer ; Sophie Haas in Ethique et santé, Vol.12 N°3 (Septembre 2015)
[article]
Titre : La personne de confiance : analyse de sa posture dans notre pratique Type de document : texte imprimé Auteurs : M. Khetta, Auteur ; E. Guédon, Auteur ; D. Martin, Auteur ; A. Bounacer, Auteur ; Sophie Haas, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : p. 171-176 Langues : Français Mots-clés : "Personne_de_confiance" "Connaissances_des_lois" "Droits_des_patients" Responsabilité Autonomie Résumé : .
Le cadre législatif français permet à tout patient de désigner une personne de confiance, qui sera amenée à soutenir et à accompagner le malade tout au long de son parcours médical. Elle a également un rôle consultatif majeur si le patient ne peut s’exprimer. Cette fonction soulève la question de l’autonomie du patient inconscient, et implique des responsabilités potentiellement importantes, que les personnes désignées sous-estiment. Ce travail a pour but de comparer les rôles théoriques aux rôles exercés en pratique quotidienne par les personnes désignées, au sein de plusieurs services hospitaliers et à domicile. Les objectifs secondaires sont d’évaluer les connaissances des textes par les patients et leurs personnes de confiance, et de faire le point sur le vécu de la personne désignée. Les résultats des 129 questionnaires révèlent une grande discordance entre la loi et la pratique, en lien avec une mauvaise connaissance des textes législatifs, aussi bien par les malades que par les personnes désignées. Cette carence est probablement en partie due à un manque d’informations de la part des soignants (61 % des patients et 56 % des personnes de confiance disent ne pas avoir reçu d’information). Les conditions de désignation ne sont peut-être pas propices à un choix éclairé, beaucoup d’informations médicales et administratives étant demandées à l’arrivée du patient, fragilisé par une situation imposant une hospitalisation. Les personnes désignées semblent plus souvent correspondre aux personnes « à prévenir », et en qui les malades « ont confiance », plus qu’aux personnes de confiance telle que la loi le propose. Soixante et onze pour cent d’entre elles ont déjà aidé leur proche à prendre une décision médicale, et 69 % ont déjà accompagné leur proche plus de trois fois à des entretiens médicaux lors d’annonce diagnostique, de suivi et/ou d’aggravation. Ces chiffres montrent une certaine implication dans le parcours de santé de leur proche. La plupart des personnes désignées ont accepté d’emblée ce rôle, qu’elles vivent de façon légitime, naturelle, évidente. Cependant, seules 8 personnes de confiance évoquent spontanément la notion de responsabilité à propos de leur ressenti sur leur statut. Pourtant, devant les progrès incessants de la médecine, provoquant parfois des situations complexes sur le plan éthique, la mission de la personne de confiance est renforcée. Des améliorations sont à envisager afin de faire appliquer cette loi, au service des patients. Il en est de même pour faire connaître la notion de directives anticipées, rédigées par seulement 3 des patients interrogés…Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6998
in Ethique et santé > Vol.12 N°3 (Septembre 2015) . - p. 171-176[article] La personne de confiance : analyse de sa posture dans notre pratique [texte imprimé] / M. Khetta, Auteur ; E. Guédon, Auteur ; D. Martin, Auteur ; A. Bounacer, Auteur ; Sophie Haas, Auteur . - 2015 . - p. 171-176.
Langues : Français
in Ethique et santé > Vol.12 N°3 (Septembre 2015) . - p. 171-176
Mots-clés : "Personne_de_confiance" "Connaissances_des_lois" "Droits_des_patients" Responsabilité Autonomie Résumé : .
Le cadre législatif français permet à tout patient de désigner une personne de confiance, qui sera amenée à soutenir et à accompagner le malade tout au long de son parcours médical. Elle a également un rôle consultatif majeur si le patient ne peut s’exprimer. Cette fonction soulève la question de l’autonomie du patient inconscient, et implique des responsabilités potentiellement importantes, que les personnes désignées sous-estiment. Ce travail a pour but de comparer les rôles théoriques aux rôles exercés en pratique quotidienne par les personnes désignées, au sein de plusieurs services hospitaliers et à domicile. Les objectifs secondaires sont d’évaluer les connaissances des textes par les patients et leurs personnes de confiance, et de faire le point sur le vécu de la personne désignée. Les résultats des 129 questionnaires révèlent une grande discordance entre la loi et la pratique, en lien avec une mauvaise connaissance des textes législatifs, aussi bien par les malades que par les personnes désignées. Cette carence est probablement en partie due à un manque d’informations de la part des soignants (61 % des patients et 56 % des personnes de confiance disent ne pas avoir reçu d’information). Les conditions de désignation ne sont peut-être pas propices à un choix éclairé, beaucoup d’informations médicales et administratives étant demandées à l’arrivée du patient, fragilisé par une situation imposant une hospitalisation. Les personnes désignées semblent plus souvent correspondre aux personnes « à prévenir », et en qui les malades « ont confiance », plus qu’aux personnes de confiance telle que la loi le propose. Soixante et onze pour cent d’entre elles ont déjà aidé leur proche à prendre une décision médicale, et 69 % ont déjà accompagné leur proche plus de trois fois à des entretiens médicaux lors d’annonce diagnostique, de suivi et/ou d’aggravation. Ces chiffres montrent une certaine implication dans le parcours de santé de leur proche. La plupart des personnes désignées ont accepté d’emblée ce rôle, qu’elles vivent de façon légitime, naturelle, évidente. Cependant, seules 8 personnes de confiance évoquent spontanément la notion de responsabilité à propos de leur ressenti sur leur statut. Pourtant, devant les progrès incessants de la médecine, provoquant parfois des situations complexes sur le plan éthique, la mission de la personne de confiance est renforcée. Des améliorations sont à envisager afin de faire appliquer cette loi, au service des patients. Il en est de même pour faire connaître la notion de directives anticipées, rédigées par seulement 3 des patients interrogés…Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6998 La démarche en éthique clinique. Guide pour la mise en place d’une réunion de concertation pluridisciplinaire en éthique / Alain de Broca in Ethique et santé, Vol.9 N°1 (Mars 2012)
[article]
Titre : La démarche en éthique clinique. Guide pour la mise en place d’une réunion de concertation pluridisciplinaire en éthique Type de document : texte imprimé Auteurs : Alain de Broca, Auteur Année de publication : 2012 Article en page(s) : p. 14-21 Langues : Français Mots-clés : "Loi_Leonetti" Autonomie Konomie "Directives_anticipées" "Personne_de_confiance" "Évaluation_des_pratiques_professionnelles" "Réunion_de_concertation_pluridisciplinaire_éthique" Collégialité Résumé : .
Les situations éthiques difficiles créées par des maladies invalidantes nécessitant des traitements maintenant la vie ou celles des malades en fin de vie entrent dans le cadre de la loi relative au droit des malades et à la fin de vie – n°2005-370 du 22 avril 2005 dite Loi Leonetti. Elle garantit à tout patient conscient ou inconscient (via sa personne de confiance) de pouvoir demander l’arrêt des traitements substitutifs même si la mort survient du fait de cet arrêt. La loi met en avant plusieurs notions dont celle d’obstination déraisonnable, celle de l’autonomie du patient, celle de directives anticipées. Elle souligne le rôle de la personne de confiance et demande à mettre en œuvre des réunions éthiques où collégialité et pluridisciplinarité sont les maîtres mots. Nous proposons ici une aide pour la mise en place d’une démarche en éthique clinique au sein des équipes soignantes. Cette démarche éthique est à mettre en place à l’instigation du médecin référent lorsque le malade ou la personne de confiance (quand le malade ne peut pas parler pour lui-même) souligne le côté déraisonnable de sa prise en charge thérapeutique. La démarche en éthique clinique comporte quatre étapes essentielles successives: l’analyse contextuelle de la situation et la compréhension de la question du malade, la réunion de concertation pluridisciplinaire éthique (RCPE), la phase de la réalisation de la décision et la phase de l’évaluation au décours de la situation et d’élaboration de préconisations afin d’améliorer les pratiques des équipes.Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=5725
in Ethique et santé > Vol.9 N°1 (Mars 2012) . - p. 14-21[article] La démarche en éthique clinique. Guide pour la mise en place d’une réunion de concertation pluridisciplinaire en éthique [texte imprimé] / Alain de Broca, Auteur . - 2012 . - p. 14-21.
Langues : Français
in Ethique et santé > Vol.9 N°1 (Mars 2012) . - p. 14-21
Mots-clés : "Loi_Leonetti" Autonomie Konomie "Directives_anticipées" "Personne_de_confiance" "Évaluation_des_pratiques_professionnelles" "Réunion_de_concertation_pluridisciplinaire_éthique" Collégialité Résumé : .
Les situations éthiques difficiles créées par des maladies invalidantes nécessitant des traitements maintenant la vie ou celles des malades en fin de vie entrent dans le cadre de la loi relative au droit des malades et à la fin de vie – n°2005-370 du 22 avril 2005 dite Loi Leonetti. Elle garantit à tout patient conscient ou inconscient (via sa personne de confiance) de pouvoir demander l’arrêt des traitements substitutifs même si la mort survient du fait de cet arrêt. La loi met en avant plusieurs notions dont celle d’obstination déraisonnable, celle de l’autonomie du patient, celle de directives anticipées. Elle souligne le rôle de la personne de confiance et demande à mettre en œuvre des réunions éthiques où collégialité et pluridisciplinarité sont les maîtres mots. Nous proposons ici une aide pour la mise en place d’une démarche en éthique clinique au sein des équipes soignantes. Cette démarche éthique est à mettre en place à l’instigation du médecin référent lorsque le malade ou la personne de confiance (quand le malade ne peut pas parler pour lui-même) souligne le côté déraisonnable de sa prise en charge thérapeutique. La démarche en éthique clinique comporte quatre étapes essentielles successives: l’analyse contextuelle de la situation et la compréhension de la question du malade, la réunion de concertation pluridisciplinaire éthique (RCPE), la phase de la réalisation de la décision et la phase de l’évaluation au décours de la situation et d’élaboration de préconisations afin d’améliorer les pratiques des équipes.Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=5725 Le consentement médical en droit français / Claudine Bergoignan Esper in Laennec, 4-2011 (Octobre 2011)
PermalinkUn consentement pleinement libre et éclairé ? / Nicole Pélicier in Laennec, 4-2011 (Octobre 2011)
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