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Undue game of baseline principles: the physician-patient relationship from a bioethical perspective / Xia Guomei in Journal International de Bioéthique, Vol.23 N°2 (Juin 2012)
[article]
Titre : Undue game of baseline principles: the physician-patient relationship from a bioethical perspective Type de document : texte imprimé Auteurs : Xia Guomei, Auteur Année de publication : 2012 Article en page(s) : p. 77-81 Langues : Anglais Mots-clés : "relation_médecin-patient" Chine Résumé : .
Cet article a été inspiré par un accident survenu dans un hôpital lorsqu’une femme enceinte est décédée sur la table d’opération parce que son mari ne voulait pas signer le formulaire de consentement à l’opération. Ce qui se cache derrière cette tragédie est la crise de confiance entre médecins et patients en Chine. Cette crise est le résultat de l’introduction du marché dans le domaine du système de santé, ce qui génère une relation déséquilibrée entre médecins et patients. Une telle relation empêche les patients de protéger activement leurs droits. D’un point de vue bio-éthique, la santé est un droit fondamental pour tous. Afin d’améliorer la relation médecin-patient, les droits à la santé doivent être considérés comme une priorité lorsqu’une politique est élaborée. Bien que le gouvernement chinois essaie de mettre en place une couverture universelle en matière de santé, ce qui constitue un vrai progrès, il existe toujours des problèmes et des difficultés à égaliser le statut des patients par rapport aux médecins et à reconstruire une relation médecin-patient bienveillante.Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=5950
in Journal International de Bioéthique > Vol.23 N°2 (Juin 2012) . - p. 77-81[article] Undue game of baseline principles: the physician-patient relationship from a bioethical perspective [texte imprimé] / Xia Guomei, Auteur . - 2012 . - p. 77-81.
Langues : Anglais
in Journal International de Bioéthique > Vol.23 N°2 (Juin 2012) . - p. 77-81
Mots-clés : "relation_médecin-patient" Chine Résumé : .
Cet article a été inspiré par un accident survenu dans un hôpital lorsqu’une femme enceinte est décédée sur la table d’opération parce que son mari ne voulait pas signer le formulaire de consentement à l’opération. Ce qui se cache derrière cette tragédie est la crise de confiance entre médecins et patients en Chine. Cette crise est le résultat de l’introduction du marché dans le domaine du système de santé, ce qui génère une relation déséquilibrée entre médecins et patients. Une telle relation empêche les patients de protéger activement leurs droits. D’un point de vue bio-éthique, la santé est un droit fondamental pour tous. Afin d’améliorer la relation médecin-patient, les droits à la santé doivent être considérés comme une priorité lorsqu’une politique est élaborée. Bien que le gouvernement chinois essaie de mettre en place une couverture universelle en matière de santé, ce qui constitue un vrai progrès, il existe toujours des problèmes et des difficultés à égaliser le statut des patients par rapport aux médecins et à reconstruire une relation médecin-patient bienveillante.Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=5950 Legal aspects of the risks raised by nanotechnologies in the field of medicine / Isabelle Poirot-Mazères in Journal International de Bioéthique, Vol.22 N°1-2 (Mars-Juin 2011)
[article]
Titre : Legal aspects of the risks raised by nanotechnologies in the field of medicine Type de document : texte imprimé Auteurs : Isabelle Poirot-Mazères, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : p. 99-118 Langues : Anglais Mots-clés : nanotechnologie nanomédecine science technologie "risque_pour_la_santé" "contrôle_social_de_la_science" bienfaisance respect "relation_médecin-patient" législation risque "risque_bénéfice" "principe_de_précaution" médecine "autorisation_de_mise_sur_le_marché" "sécurité_sanitaire" évaluation "évaluation_du_traitement" "consentement_éclairé" "essai_thérapeutique" "industrie_pharmaceutique" responsabilité "responsabilité_juridique" "droit_international" "dépistage_génétique" "médecine_prédictive" "test_génétique" "vie_privée" confidentialité Résumé : .
Les avancées majeures réalisées dans les nanotechnologies ouvrent de nouvelles pistes dans le domaine des soins de santé – une aide au diagnostic, une mise à jour de l’efficacité d’un traitement médical, la mise au point de la médecine régénératrice. Mais elles sont également associées à des risques, d’où un besoin croissant de législation. Jusqu’à présent, très peu de recherche a été réalisé sur cette technologie dont les applications sont encore limitées et dont les dangers potentiels ne sont pas encore clairement compris. L’usage de plus en plus fréquent des nanoparticules dans l’imagerie médicale et dans des projets actuels de recherche traitant de l’ingénierie des tissus ou de RFID soulève la question suivante: le cadre actuel de la législation est-il pertinent étant donné les spécificités des nano-objets? Le défi est double: l’approche juridique doit englober l’élément nanométrique lui-même comme «objet juridique» mais elle doit inclure l’usage des nanotechnologies et leur finalité. Il existe encore un degré d’incertitude concernant le caractère inoffensif des nanoparticules; ainsi l’usage des nano-éléments comme aide au diagnostic médical et lors d’essais cliniques doit anticiper et tenir compte des effets nocifs potentiels sur les patients et sur les équipes de recherche biomédicale. Mais comme il manque encore la compréhension claire des nanoparticules comme objets spécifiques avec des caractéristiques nouvelles, la réglementation existante sur les substances chimiques, les produits médicinaux, les appareils médicaux ou la cosmétique ne semble pas être appropriée. Ainsi, la considération des nanoparticules comme des objets juridiques «singuliers» constitue un préalable qui nécessite une approche basée sur le principe de précaution. Le mauvais usage des nanotechnologies dans le domaine médical provoque aussi beaucoup d’inquiétude. Les menaces pour la liberté individuelle et pour la vie privée ainsi que pour l’identité humaine sont réelles, soulevant des questions récurrentes. Les éventuelles déviations dans l’usage de ces techniques, la tentation d’«outrepasser les limites» sont également communes à l’informatique et aux biotechnologies, mais les menaces declenchées par les nanotechnologies sont augmentées par les possibilités offertes par la taille nanométrique et par la convergence attendue de ces différentes technologies. On devrait se référer aux principales directives afin de résoudre les conflits futurs entre les différentes ensembles de valeurs, surtout dans le domaine médical en se rappelant toujours le serment d’Hippocrate «primum non nocere, deinde curare».Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=5487
in Journal International de Bioéthique > Vol.22 N°1-2 (Mars-Juin 2011) . - p. 99-118[article] Legal aspects of the risks raised by nanotechnologies in the field of medicine [texte imprimé] / Isabelle Poirot-Mazères, Auteur . - 2011 . - p. 99-118.
Langues : Anglais
in Journal International de Bioéthique > Vol.22 N°1-2 (Mars-Juin 2011) . - p. 99-118
Mots-clés : nanotechnologie nanomédecine science technologie "risque_pour_la_santé" "contrôle_social_de_la_science" bienfaisance respect "relation_médecin-patient" législation risque "risque_bénéfice" "principe_de_précaution" médecine "autorisation_de_mise_sur_le_marché" "sécurité_sanitaire" évaluation "évaluation_du_traitement" "consentement_éclairé" "essai_thérapeutique" "industrie_pharmaceutique" responsabilité "responsabilité_juridique" "droit_international" "dépistage_génétique" "médecine_prédictive" "test_génétique" "vie_privée" confidentialité Résumé : .
Les avancées majeures réalisées dans les nanotechnologies ouvrent de nouvelles pistes dans le domaine des soins de santé – une aide au diagnostic, une mise à jour de l’efficacité d’un traitement médical, la mise au point de la médecine régénératrice. Mais elles sont également associées à des risques, d’où un besoin croissant de législation. Jusqu’à présent, très peu de recherche a été réalisé sur cette technologie dont les applications sont encore limitées et dont les dangers potentiels ne sont pas encore clairement compris. L’usage de plus en plus fréquent des nanoparticules dans l’imagerie médicale et dans des projets actuels de recherche traitant de l’ingénierie des tissus ou de RFID soulève la question suivante: le cadre actuel de la législation est-il pertinent étant donné les spécificités des nano-objets? Le défi est double: l’approche juridique doit englober l’élément nanométrique lui-même comme «objet juridique» mais elle doit inclure l’usage des nanotechnologies et leur finalité. Il existe encore un degré d’incertitude concernant le caractère inoffensif des nanoparticules; ainsi l’usage des nano-éléments comme aide au diagnostic médical et lors d’essais cliniques doit anticiper et tenir compte des effets nocifs potentiels sur les patients et sur les équipes de recherche biomédicale. Mais comme il manque encore la compréhension claire des nanoparticules comme objets spécifiques avec des caractéristiques nouvelles, la réglementation existante sur les substances chimiques, les produits médicinaux, les appareils médicaux ou la cosmétique ne semble pas être appropriée. Ainsi, la considération des nanoparticules comme des objets juridiques «singuliers» constitue un préalable qui nécessite une approche basée sur le principe de précaution. Le mauvais usage des nanotechnologies dans le domaine médical provoque aussi beaucoup d’inquiétude. Les menaces pour la liberté individuelle et pour la vie privée ainsi que pour l’identité humaine sont réelles, soulevant des questions récurrentes. Les éventuelles déviations dans l’usage de ces techniques, la tentation d’«outrepasser les limites» sont également communes à l’informatique et aux biotechnologies, mais les menaces declenchées par les nanotechnologies sont augmentées par les possibilités offertes par la taille nanométrique et par la convergence attendue de ces différentes technologies. On devrait se référer aux principales directives afin de résoudre les conflits futurs entre les différentes ensembles de valeurs, surtout dans le domaine médical en se rappelant toujours le serment d’Hippocrate «primum non nocere, deinde curare».Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=5487 Malade et médecin, partenaires / Patrick Verspieren in Etudes, Tome 402 n°1 (Janvier 2005)
[article]
Titre : Malade et médecin, partenaires Type de document : texte imprimé Auteurs : Patrick Verspieren, Auteur Année de publication : 2005 Article en page(s) : p. 27-38 Langues : Français Mots-clés : "Relation_Médecin-patient" Résumé : .
Le médecin serait-il devenu un pur scientifique, ou un technicien? Et celui qu’on qualifiait de «patient» doit-il désormais se considérer comme un «client» s’adressant à un «prestataire de services» qui le laissera choisir en toute liberté... et solitude?Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6029
in Etudes > Tome 402 n°1 (Janvier 2005) . - p. 27-38[article] Malade et médecin, partenaires [texte imprimé] / Patrick Verspieren, Auteur . - 2005 . - p. 27-38.
Langues : Français
in Etudes > Tome 402 n°1 (Janvier 2005) . - p. 27-38
Mots-clés : "Relation_Médecin-patient" Résumé : .
Le médecin serait-il devenu un pur scientifique, ou un technicien? Et celui qu’on qualifiait de «patient» doit-il désormais se considérer comme un «client» s’adressant à un «prestataire de services» qui le laissera choisir en toute liberté... et solitude?Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6029 La maladie d’Alzheimer, un défi à l’autonomie du patient d’un point de vue compatibiliste ? / L. Huber in Ethique et santé, Vol.9 N°1 (Mars 2012)
[article]
Titre : La maladie d’Alzheimer, un défi à l’autonomie du patient d’un point de vue compatibiliste ? Type de document : texte imprimé Auteurs : L. Huber, Auteur Année de publication : 2012 Article en page(s) : p. 34-38 Langues : Français Mots-clés : Autonomie Capabilité Authenticité Rationalité "Relation_médecin-patient" Alzheimer Résumé : .
Le concept d’autonomie de l’éthique biomédicale (entendue comme capabilité) postule un patient indépendant qui saurait ce qui est bon pour lui s’il était informé au mieux. Actuellement, la critique la plus radicale de ce concept idéaliste est très réducteur de l’homme, réside dans l’idée que chaque maladie présente un amoindrissement de l’aptitude à l’autonomie. Peut-on valider cette opinion, défendue en particulier par l’éthique de soin? Y-a-t-il une spécificité de l’autonomie du malade par rapport à celle de l’homme en général? Dans les années 1980, Onora O’Neill critiquait la pratique paternaliste de l’éthique biomédicale qui suppose le consentement idéalisé d’un patient purement rationnel, au lieu de partir du consentement factuel tel qu’il s’exerce réellement. Plus récemment, avec le développement de la recherche en psychologie cognitive, ce sont des théories compatibilistes de l’autonomie qui deviennent prépondérantes en philosophie générale. D’après ces théories, l’action d’un individu doit être regardée comme autonome si elle révèle des aptitudes identifiées. Dans cette perspective, cet article débat des aspects clés des théories compatibilistes, dans l’optique de prendre en compte les capacités de fait de la personne, pour fonder le concept d’une autonomie humaine relative, à l’œuvre dans les décisions autonomes spécifiques. En posant, à partir de l’examen du processus décisionnaire qui n’est jamais purement rationnel, un concept d’autonomie relativisé, cet article en appelle à la place fondamentale des valeurs et vues permanentes d’un individu dans les choix qu’il exerce. Concernant l’humain en général, ce concept d’autonomie pourrait être fécond pour l’éthique médicale. En outre, cet article a pour objet les défis conceptuels auxquels est exposé le modèle compatibiliste face à des maladies neurodégéneratives dans la mesure où celles-ci s’accompagnent d’une diminution des capacités cognitive et émotive, comme c’est le cas avec la maladie d’Alzheimer.Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=5728
in Ethique et santé > Vol.9 N°1 (Mars 2012) . - p. 34-38[article] La maladie d’Alzheimer, un défi à l’autonomie du patient d’un point de vue compatibiliste ? [texte imprimé] / L. Huber, Auteur . - 2012 . - p. 34-38.
Langues : Français
in Ethique et santé > Vol.9 N°1 (Mars 2012) . - p. 34-38
Mots-clés : Autonomie Capabilité Authenticité Rationalité "Relation_médecin-patient" Alzheimer Résumé : .
Le concept d’autonomie de l’éthique biomédicale (entendue comme capabilité) postule un patient indépendant qui saurait ce qui est bon pour lui s’il était informé au mieux. Actuellement, la critique la plus radicale de ce concept idéaliste est très réducteur de l’homme, réside dans l’idée que chaque maladie présente un amoindrissement de l’aptitude à l’autonomie. Peut-on valider cette opinion, défendue en particulier par l’éthique de soin? Y-a-t-il une spécificité de l’autonomie du malade par rapport à celle de l’homme en général? Dans les années 1980, Onora O’Neill critiquait la pratique paternaliste de l’éthique biomédicale qui suppose le consentement idéalisé d’un patient purement rationnel, au lieu de partir du consentement factuel tel qu’il s’exerce réellement. Plus récemment, avec le développement de la recherche en psychologie cognitive, ce sont des théories compatibilistes de l’autonomie qui deviennent prépondérantes en philosophie générale. D’après ces théories, l’action d’un individu doit être regardée comme autonome si elle révèle des aptitudes identifiées. Dans cette perspective, cet article débat des aspects clés des théories compatibilistes, dans l’optique de prendre en compte les capacités de fait de la personne, pour fonder le concept d’une autonomie humaine relative, à l’œuvre dans les décisions autonomes spécifiques. En posant, à partir de l’examen du processus décisionnaire qui n’est jamais purement rationnel, un concept d’autonomie relativisé, cet article en appelle à la place fondamentale des valeurs et vues permanentes d’un individu dans les choix qu’il exerce. Concernant l’humain en général, ce concept d’autonomie pourrait être fécond pour l’éthique médicale. En outre, cet article a pour objet les défis conceptuels auxquels est exposé le modèle compatibiliste face à des maladies neurodégéneratives dans la mesure où celles-ci s’accompagnent d’une diminution des capacités cognitive et émotive, comme c’est le cas avec la maladie d’Alzheimer.Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=5728 The development and perspectives of chinese bioethics in Journal International de Bioéthique, Vol.19 N°4 (Décembre 2008)
[article]
Titre : The development and perspectives of chinese bioethics Type de document : texte imprimé Auteurs : Hongwen Li, Auteur ; Yali Cong, Auteur Année de publication : 2009 Article en page(s) : p. 21-32 Langues : Anglais Mots-clés : "Ethique_biomédicale" Confucianisme Bouddhisme "Relation_médecin-patient" Chine Résumé : .
La bioéthique a commencé à paraître en Chine à la fin des années 1980 en provenance des pays occidentaux. Mais la bioéthique chinoise suit un modèle différent de la bioéthique occidentale de par sa base philosophique et son environnement culturel qui ont été influencés par le confucianisme, le taoïsme et le bouddhisme. Les chercheurs universitaires dans le domaine de la bioéthique, les décideurs et le public ont des opinions différentes sur les questions bioéthiques. Bien que partageant certaines préoccupations de la bioéthique occidentale, la bioéthique chinoise traite de sujets différents et urgents, tels que les inégalités dans la réforme du système de santé, les rapports médecin-patient, et un modèle différent du consentement éclairé.Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=4649
in Journal International de Bioéthique > Vol.19 N°4 (Décembre 2008) . - p. 21-32[article] The development and perspectives of chinese bioethics [texte imprimé] / Hongwen Li, Auteur ; Yali Cong, Auteur . - 2009 . - p. 21-32.
Langues : Anglais
in Journal International de Bioéthique > Vol.19 N°4 (Décembre 2008) . - p. 21-32
Mots-clés : "Ethique_biomédicale" Confucianisme Bouddhisme "Relation_médecin-patient" Chine Résumé : .
La bioéthique a commencé à paraître en Chine à la fin des années 1980 en provenance des pays occidentaux. Mais la bioéthique chinoise suit un modèle différent de la bioéthique occidentale de par sa base philosophique et son environnement culturel qui ont été influencés par le confucianisme, le taoïsme et le bouddhisme. Les chercheurs universitaires dans le domaine de la bioéthique, les décideurs et le public ont des opinions différentes sur les questions bioéthiques. Bien que partageant certaines préoccupations de la bioéthique occidentale, la bioéthique chinoise traite de sujets différents et urgents, tels que les inégalités dans la réforme du système de santé, les rapports médecin-patient, et un modèle différent du consentement éclairé.Permalink : http://www.2em.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=4649
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